Accueil🇫🇷Chercher

Église Saint-Joseph d'Annonay

L'église Saint-Joseph de Cance est érigée dans la commune d'Annonay, département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes. Son architecture de style néogothique est l'œuvre de l'architecte Prosper Borione (1815 - 1895). L'édifice est situé dans le centre d'Annonay, à l'angle de la place Chanoine-Joseph-Thibon et du quai de Merle, au bord de la Cance.

Église Saint-Joseph
Image illustrative de l’article Église Saint-Joseph d'Annonay
Présentation
Nom local Église de Cance
Culte Catholique romain
DĂ©dicataire Saint Joseph
Type Église paroissiale
Rattachement Paroisse Bienheureux Gabriel Longueville - Diocèse de Viviers
DĂ©but de la construction 1870
Fin des travaux 1872
Autres campagnes de travaux 1892, 1965
Style dominant néogothique
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
Département Ardèche
Ville Annonay
CoordonnĂ©es 45° 14′ 19″ nord, 4° 40′ 11″ est
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
(Voir situation sur carte : Ardèche)
Église Saint-Joseph
GĂ©olocalisation sur la carte : RhĂ´ne-Alpes
(Voir situation sur carte : RhĂ´ne-Alpes)
Église Saint-Joseph

Historique

Les documents cités dans la bibliographie de l'article permettent d'établir la chronologie suivante :

  • 1854 : visite pastorale de Mgr Joseph Hippolyte Guibert, Ă©vĂŞque de Viviers. Constat du besoin de dĂ©veloppement des infrastructures paroissiales face au doublement en cinquante ans du nombre de catholiques annonĂ©ens.
  • 1860 : crĂ©ation de la paroisse Saint-Joseph dans le quartier de Cance. La chapelle de Trachin sert d’église paroissiale.
  • 1870 : bĂ©nĂ©diction et pose de la première pierre de l’église Saint-Joseph ().
  • 1872 : ouverture et bĂ©nĂ©diction de l’église (1er novembre, jour de la Toussaint).
  • 1873 : bĂ©nĂ©diction et installation d'une cloche.
  • 1892 : bĂ©nĂ©diction et installation de deux cloches.
  • 1897 : installation de l’orgue.
  • 1906 : inventaire de l’église dans le cadre de la Loi de sĂ©paration des Églises et de l'État. Le alors que l’opĂ©ration est prĂ©vue, il y a protestation de la part d’un vicaire reprĂ©sentant le P. HĂ©brard, curĂ© âgĂ© de 80 ans. Les inspecteurs trouvent portes closes et se retirent. Une manifestation se dĂ©roule Ă  proximitĂ© de l’église. Quelques Ă©chauffourĂ©es ont lieu. Les autoritĂ©s dĂ©cident de reporter leur dĂ©marche. Le 1er mars, l’inventaire se dĂ©roule après dĂ©fonçage de la porte de la sacristie.
  • 1940 : mise en place des statues de Notre-Dame de Lourdes et de sainte ThĂ©rèse de Lisieux.
  • 1965 : restauration intĂ©rieure. Modification du chĹ“ur pour ĂŞtre en accord avec les dispositions prises lors du Concile Vatican II.
  • 1986 : le parvis devient la place Chanoine-Joseph-Thibon, curĂ© de Cance de 1937 Ă  1966.
  • 1996 : amĂ©nagement d’une salle de rĂ©union dans un local annexe : la salle Saint-Joseph.
  • 1998 : rĂ©fection de la zinguerie, sĂ©curisation de l’installation Ă©lectrique et rĂ©habilitation complète de l’entrĂ©e principale.
  • 2003 : crĂ©ation de la paroisse catholique « Sainte-Claire » d’Annonay, de Roiffieux et de La Vocance par fusion des paroisses catholiques existantes (1er janvier).
  • 2009 : spĂ©cialisation cultuelle des Ă©glises catholiques d’Annonay. Saint-Joseph devient un lieu de prière consacrĂ© aux arts, c'est-Ă -dire accueillant des manifestations culturelles organisĂ©es par la paroisse et l'Ă©quipe « Foi & Culture » du diocèse de Viviers[1]. Le reste de l'annĂ©e l'Ă©glise est ouverte librement chaque semaine, pour une visite, un temps de prière[2] - [3]…
  • 2014 : Ă  la demande de paroissiens annonĂ©ens, l'Ă©glise accueille pour la première fois depuis sa spĂ©cialisation une messe paroissiale en l'honneur de saint Joseph ()[2].
  • 2017 :
    • l'Ă©glise accueille une messe paroissiale en l'honneur de saint Joseph Travailleur (1er mai). Elle deviendra annuelle [2].
    • crĂ©ation de l'association « Renouveau des orgues d'Annonay » dont l'objet premier est « la rĂ©novation et les rĂ©parations rendues urgentes par leur Ă©tat des orgues Ă  tuyaux installĂ©s dans les Ă©glises Saint-François, Notre-Dame, Saint-Joseph de Cance appartenant Ă  la municipalitĂ© d’Annonay et affectĂ©es au culte catholique» ()[4] - [5].
  • 2020 : festivitĂ©s marquant les 150 ans de la pose de la première pierre. Initialement prĂ©vues en mai, elles se dĂ©roulent en septembre en raison de la pandĂ©mie de Covid-19.
  • 2021 : crĂ©ation de la paroisse « Bienheureux Gabriel Longueville » du Bassin d'Annonay par fusion des paroisses « Sainte-Claire » d’Annonay, de Roiffieux et de La Vocance et « Saint-Christophe lès Annonay » (1er mai) [6].

Description générale

L’église Saint-Joseph a Ă©tĂ© construite dans un style rappelant le gothique des XIIe et XIIIe siècles. Le bâtiment suit un plan quasi basilical : le transept Ă©tant très peu dĂ©veloppĂ©. L’étroitesse du terrain d’assise, coincĂ© entre la rivière et la falaise soutenant les anciens remparts, n’a pas permis l’établissement d’un Ă©difice en forme d’une croix latine. Sa surface est de 520 m2 environ[3].

Vocable

Saint Joseph, patron des ouvriers, a été choisi comme patron de l’église en raison de sa situation au cœur du centre industriel de la ville au XIXe siècle.

Visite de l'Ă©difice

Intérieur de l'église.
Statue saint Joseph.

Le sanctuaire

Les éléments aux fonctions liturgiques précises datent de différentes époques :

  • Le siège de prĂ©sidence de style nĂ©o-gothique, contemporain de la construction de l’église.
  • Le Christ en croix a Ă©tĂ© mis en place durant le premier tiers du XXe siècle.
  • L’ambon date de la construction de l’église. C’est en fait la partie basse de l’ancienne chaire (la "cuve"). Il est de style nĂ©o-gothique.
  • L autel en bois sculptĂ© a Ă©tĂ© placĂ© Ă  l’issue du Concile Vatican II pour permettre la cĂ©lĂ©bration « face au peuple ».
  • Le tabernacle date de la construction de l’église et se trouve dans le bras nord du transept, formant la chapelle du SacrĂ©-CĹ“ur.

Vitraux

L’ensemble des vitraux de l’église porte la signature du vitrailliste lyonnais Jean-Baptiste Barrelon (1818-1885). Ils représentent une partie de l’histoire du quartier.

Parmi les vitraux éclairant le chœur, très lumineux les matins d’été, se trouve au centre un portrait : saint Joseph, patron de l’église et des travailleurs. Cance était le centre industriel de la ville au XIXe siècle. À sa gauche, saint Antoine rappelle l’existence d’un hôpital du XIIIe siècle, installé au-dessus de l’emplacement de l’église actuelle et à droite : saint Claude, patron d’une chapelle médiévale disparue. Elle se dressait sur l’autre rive de la Cance au niveau de l’église actuelle.

Les chapelles latérales sont décorées par d'autres portraits en pied : saint André et saint Pierre. Saint André rappelle le souvenir des PP. André Charmant et André Béchetoille qui ont œuvré au XIXe siècle.

Les vitraux des oculi lobés des bras du transept montrent La lapidation de saint Étienne et saint Jean-François Régis prêchant. Saint Étienne évoque Étienne Chabaud, marguillier, et Étienne Frachon, maire à l’époque de la construction de l’église. La présence de saint Jean-François Régis rappelle sa venue à Annonay au XVIIe siècle et son passage dans la chapelle de Trachin, distante de quelques centaines de mètres.

Statues

  • Saint Joseph datant du dernier quart du XIXe siècle (photo de l'article).
  • SacrĂ© CĹ“ur dans le bras nord du transept.
  • Sainte ThĂ©rèse de l’Enfant JĂ©sus, placĂ©e pendant la Seconde Guerre mondiale. Sainte ThĂ©rèse de l’Enfant-JĂ©sus Ă©tait la patronne de l’association de quartier crĂ©Ă©e en 1927 et disparue Ă  la fin du XXe siècle.
  • Sainte Jeanne d’Arc dĂ©corant le monument aux morts.
  • Saint Michel terrassant un dĂ©mon placĂ© au-dessus des fonts baptismaux ou baptistère rappelle aux fidèles l’effacement des pĂ©chĂ©s par le baptĂŞme.
  • Saint Antoine de Padoue placĂ© sur un petit autel.
  • Sainte Anne instruisant sa Fille Marie dĂ©corant le bras sur transept sud.
  • Notre-Dame-de-Lourdes placĂ©e en mĂŞme temps que la statue de sainte ThĂ©rèse de l’Enfant-JĂ©sus. Les catholiques de Cance ont matĂ©rialisĂ© ainsi leur espoir et leur remerciement Ă  l’issue des combats de 1940.
  • Sainte Vierge datant du dernier quart du XIXe siècle.

Bas-reliefs

  • Chapelle du SacrĂ©-CĹ“ur : le bas-relief de l’autel reproduit le SacrĂ©-CĹ“ur entourĂ© d’épis de blĂ© et de grappes de raisin, deux symboles eucharistiques : le pain et le vin.
  • Chapelle de sainte Anne : le bas-relief de l’autel reproduit le monogramme de sainte Anne : SA.
  • Ancien maitre-autel : le bas-relief reprĂ©sente Le Christ entourĂ© de saint Pierre et de saint Paul. Il est l’œuvre des Ă©tablissements Baussan & Bouvas de Bourg-Saint-AndĂ©ol. La porte de son tabernacle reprĂ©sente L’Agneau de Dieu.

Chemin de croix

Le chemin de croix (fin XIXe siècle), série de quatorze hauts-reliefs, rappelle différents épisodes du premier vendredi saint : la Passion du Christ.

Autres éléments sculptés

Les stalles s’inspirent du style architectural de l’édifice.

Tableau

Contre le mur soutenant le clocher, se trouve : L’Annonciation, une copie offerte par l’État en 1875.

Orgues

L’orgue a été construit par la maison Charles Michel - Merklin, une succession illégitime de la manufacture lyonnaise de Joseph Merklin (1819-1905) et concurrente directe d’Aristide Cavaillé-Coll (1811-1899), auteur notamment du grand orgue de l'église Notre-Dame d'Annonay.

Placé au-dessus du portail principal sur une tribune dessinée par l’architecte Elie Borione (1866 - 1908), il a été inauguré le . Cet évènement a été largement couvert par la presse locale de l’époque en particulier par La Gazette d’Annonay qui y consacre deux articles publiés les et . Le premier relate la cérémonie d’inauguration et de bénédiction par Mgr Joseph-Michel-Frédéric Bonnet, évêque de Viviers. Il nous apprend que l’orgue est dû en partie à la générosité d’Emile Mignot (1847 – 1895). Le deuxième article publié la semaine suivante présente l’instrument en détail et l’organiste Louis Vierne (1870 – 1937) futur titulaire des orgues de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui pour l’occasion joua sur l’instrument. Enfin l’auteur présent durant la cérémonie relate ses impressions.

À l’origine, il comprenait trois claviers de neuf, sept et deux jeux. Cette composition est à rapprocher de celui de l’église Saint-Roch de la ville de Saint-Étienne (Loire). Deux jeux sont rajoutés à l’instrument en 1912, lors de l’agrandissement de la tribune. Il a fait l’objet d’un relevage en 1954, dernière date connue de travaux d’ampleur sur l’instrument [7].

Cloches

Le clocher abrite trois cloches :

  • la première bĂ©nite le par le Père Soulerin, alors vicaire gĂ©nĂ©ral du diocèse de Viviers et premier curĂ© de l'Ă©glise. Elle donne un sol.
  • deux autres bĂ©nites le :
    • Marie - Josèphe - AmĂ©lie, pèse 700 kg et donne un sol. Son parrain a Ă©tĂ© monsieur Joseph Ribes et sa marraine madame Auguste Ribes nĂ©e Rouveure.
    • Joachim - Anne, 400 kg, donne un si bĂ©mol, a eu pour parrain monsieur Joachim Pouly et marraine madame AndrĂ© Bechetoille nĂ©e Mignot.

Leur sonnerie a été électrifiée dans le milieu du XXe siècle.

Temps forts culturels

  • 2009 : festival diocĂ©sain Foi & Culture « Exils ». Expositions de vitraux, peintures, sculptures (J.-M. BalaĂżn, Kristoff L., W Veit, O Martin-Veit) et confĂ©rence (G Bouvier).
  • 2010 : exposition « Signes de croix dans l’inattendu de nos vies ». Photographies (A. Gallichet) en lien avec le pèlerinage diocĂ©sain Ă  Lourdes dont le thème Ă©tait cette annĂ©e lĂ  : « Le signe de croix avec Bernadette ».
  • 2012 : festival diocĂ©sain Foi & Culture « De Souffle et d’Argile ». Exposition de photographies (W. Lambelet, J.-P. Gallichet).
  • 2013 :
    • « Salon d’art international » en partenariat avec le ComitĂ© de Jumelage d’Annonay. Exposition de peintures et sculptures (Tineke Bot (nl) et S Cherki) (avril).
    • « Nuit des Ă©glises » en lien avec la ConfĂ©rence des Ă©vĂŞques de France. Diaporama « Sur les Traces de saint Paul », temps musicaux, prĂ©sentation historique de l’église, des vitraux, d’objets liturgiques et temps de mĂ©ditation (juillet).
    • « JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine » en partenariat avec la communautĂ© de communes du Bassin d'Annonay. PrĂ©sentation de l'Ă©glise avec historique et mise en lumière des colonnes, des voĂ»tes, des statues, exposition d’objets liturgiques actuels, diaporama humoristique sur les psaumes... (septembre).
  • 2014 : « JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine » en partenariat avec la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Bassin d'Annonay. Exposition « Symphonie de CrĂ©ations » par les artistes de la paroisse et animation musicale autour des orgues... (septembre).
  • 2015 :
    • festival diocĂ©sain Foi & Culture « Voix d'eau, voie d'homme ». Exposition « Polyphonies artistiques » : peintures (J-M Chamard) - photos (S. Le Goff , C. Moulin) - sculptures (M. Le Clainche) (mai et juin).
    • prĂ©sentation de l'Ă©difice au cours des visites estivales nocturnes « De Trachin Ă  Saint-Joseph-de-Cance » organisĂ©es par l'Office de Tourisme Ardèche Grand Air (juillet et aoĂ»t)[8].
  • 2016 : exposition « Tendre le cĹ“ur comme on tend l'oreille ». Prolongation d'une partie du deuxième « Salon d’art international » organisĂ© lors des journĂ©es festives des 50 ans du jumelage Annonay - Backnang. Peintures (B. Braendle, I. DĂĽrr, K.-H. Goll, I. Kaiser, V. Spiegelberg, M. Wewerka, E. von Hornstein) (mai).
  • 2018 :
    • festival diocĂ©sain Foi & Culture « Visages, reflet de l’homme, reflet de Dieu ». Exposition « Visage : reflet de l'homme, reflet du Christ » : peintures, sculptures, photographies, vidĂ©os, textes, temps musical (M. Agati, E. Astic, M. Babin, O. ClĂ©ment, H. Nikoghosyan, Cl. Roche, S. Rousse, H. Trouillet, Ch. Veigel , Groupe DiocĂ©sain de Jeunes et LycĂ©e de Montgolfier d'Annonay)... en association avec l'exposition du sanctuaire Notre-Dame d'Ay Ă  Saint-Romain-d'Ay (septembre).
    • « JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine » en partenariat avec Annonay RhĂ´ne Agglo. Visite libre de l'Ă©glise et de l'exposition « Visage : reflet de l'homme, reflet du Christ » (septembre).
  • 2020 :
    • 150 ans de la pose de la première pierre. Exposition « Cance, un quartier, une histoire en images » (D. Breysse et Groupement PhilatĂ©lique de la RĂ©gion d’Annonay, D. Misery), visite commentĂ©e « Saint-Joseph de Cance, un patrimoine mĂ©connu » (S. Pasquion), rĂ©trospective photos « Dix ans d’exposition » (J.-J. Dard), confĂ©rence « Eglise de Cance, Ă©glise de tanneurs, le travail du cuir Ă  Annonay » (M. Gounon), interprĂ©tation de pièces d'orgues (J.-C. Reboullet) et prĂ©sentation de l’orgue Michel-Merklin (Association pour le Renouveau des Orgues d’Annonay).
    • « JournĂ©es europĂ©ennes du patrimoine » en partenariat avec Annonay RhĂ´ne Agglo. DĂ©couverte libre de l'Ă©glise, de l'orgue et de l'exposition « Cance, un quartier, une histoire en images » (septembre).
  • 2021 : première Ă©dition des « Rendez-vous culturels de Saint-Joseph de Cance », expositions, musique, patrimoine (avril Ă  septembre).

Chronologie des curés

1860 – 1971

Un curé et des vicaires ont la charge de la paroisse dont le territoire correspond au quartier.

1971 – 2003

Une équipe presbytérale dont les membres sont « curés in solidum » (responsables solidairement) a la charge de l’ensemble des paroisses catholiques d’Annonay, de Roiffieux et de Vidalon.

2003 – 2021

Avec la création de la paroisse Sainte-Claire dont le territoire comprend Annonay, Roiffieux et la vallée de La Vocance, une équipe d’animation pastorale (E.A.P.) composée de laïcs en mission et de prêtres nommés « curés in solidum » à la charge de la paroisse nouvelle.

Depuis 2021

Avec la création de la paroisse « Bienheureux Gabriel Longueville » dont le territoire correspond au bassin de vie d'Annonay, une équipe d’animation pastorale (E.A.P.) présidée par un prêtre nommé « curé » à la charge de la paroisse nouvelle.


Notes et références

Voir aussi

Bibliographie

Archives départementales de l'Ardèche :

  • « La gazette d'Annonay ».- 1897.
  • « La Croix de l’Ardèche ».- 1900 et 1906.
  • « Le Journal d’Annonay ».- 1906

Églises en Ardèche.- Document du Service Diocésain de la Pastorale des Réalités du Tourisme et des Loisirs du diocèse de l’Ardèche et de la Commission d’Art Sacré.- 2010.

En Communauté.- bulletin de la paroisse catholique Sainte-Claire d’Annonay - Vocance paraissant depuis 1966.- bimensuel.

Perrier Jacques (Mgr).- Visiter une Ă©glise.- Centurion, Paris.-1993.- 143 p.

Réveil (Le) Vivarais - Vallée du Rhône - Pilat.- Hebdomadaire local paraissant depuis 1944.- Numéros consultés : (Article D. Misery) et .

Visite de l'église Saint-Joseph de Cance, Annonay, document disponible dans l’église, 2017.

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.