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École romande d'arts et communication

L'École romande d'arts et communication (ERACOM) est un centre de formation professionnelle d'arts appliquĂ©s, d'industrie graphique et de communication visuelle situĂ© Ă  Lausanne.

Eracom
Description de l'image logo-eracom.svg.
Description de l'image Eracom, view from Pont Chauderon.jpg.
Histoire et statut
Fondation 1942
Type Institution de formation (en)
Domaine Arts appliqués
Administration
Composante DGEP
Directeur Serge Overney
Études
Population scolaire 780 (Rentrée 2017)
Enseignants 150
Formation CFC, AFP, ES, Maturité professionnelle, préapprentissage, des voies plein temps en école de métier et voies duales
Localisation
Ville Lausanne
Pays Drapeau de la Suisse Suisse
Site web https://www.eracom.ch/
CoordonnĂ©es 46° 31â€Č 21″ nord, 6° 37â€Č 20″ est
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Historique

L'École romande de typographie 1942-1971

C'est en 1942 que l’Eracom ouvre ses portes sous le nom d’École romande de typographie (ERT), sous l’initiative d’Albert Javet et Henri Matthey[1] et du soutien des associations professionnelles comme la SociĂ©tĂ© suisse de typographie ou la SociĂ©tĂ© suisse des maĂźtres imprimeurs[2]. Matthey est imprimeur et Javet est typographe. Initialement l’école se situait Ă  la rue des Terreaux pour les cours pratiques, les cours thĂ©oriques Ă©taient dispensĂ©s dans d'autres lieux. En 1948, les locaux de l'Ă©cole se trouvent Ă  l'avenue Mon-Repos[3]. Les mĂ©tiers enseignĂ©s Ă  l’époque Ă©taient : compositeur typographe, imprimeur typo, stĂ©rĂ©otypeur, hĂ©liograveur, sĂ©rigraphe, photolitographe et peintre en lettres (qui deviendra par la suite peintre en publicitĂ© puis rĂ©alisateur publicitaire).

En 1955, l’ERT dĂ©mĂ©nage au dans le “nouveau et magnifique bĂątiment des Écoles complĂ©mentaires professionnelles, construit en aval du pont Chauderon”[4]. L'ERT s’installe au rez-de-chaussĂ©e infĂ©rieur, le reste du bĂątiment Ă©tant occupĂ© par l’EPSIC. 

Aux alentours de 1965-1967, la formation des apprentis se fait sur deux ans. Les cours sont donnés uniquement le samedi, les apprentis travaillant durant la semaine dans des imprimeries, dans les cantons de Vaud, Fribourg et Valais[5].

En 1967, Bernard Sauser est nommé directeur, succédant à Maurice Hermanuz[6] - [7]. Sauser était un compositeur typographe spécialisé en corrections, et avait présidé l'Association romande des correcteurs d'imprimerie[8]. Il occupera le poste de directeur pendant 15 ans.

L'École romande des arts graphiques (ERAG) 1972-1999

AprÚs l'adoption d'un crédit de construction par le Conseil communal de Lausanne en 1967, démarre la construction d'un nouveau bùtiment, dans la vallée du Flon, qui accueillera l'ERT et l'EPSIC. Mise en chantier en 1968, la construction dure quatre ans et s'achÚve en 1972[9]. L'inauguration officielle se déroule le [10]. L'ERAG est logée sur les quatre niveaux supérieurs du bùtiment.

DĂšs 1972, l’École romande de typographie prend pour nom École romande d’arts graphiques (ERAG)[11]. Ce changement coĂŻncide avec l’arrivĂ©e de la lithographie (qui comprend l'impression offset) Ă  l’ERAG, qui anciennement se trouvait Ă  Vevey[2]. DĂšs lors, l’école compte sur le soutien des associations professionnelles comme l’Union suisse des lithographes. C’est Ă  cette Ă©poque Ă©galement que le graphisme fait son entrĂ©e dans l’école, Claude Graber en sera le premier professeur. L’ERAG sera la premiĂšre Ă©cole de Suisse Ă  se munir d’une imprimante offset 4 couleurs. 

Entre 1975 et 1980, les effectifs de l’école diminuent grandement en raison de la rĂ©cession Ă©conomique, malgrĂ© l’arrivĂ©e des apprentis compositeurs et imprimeurs de GenĂšve. En 1972 l'Ă©cole compte 576 Ă©lĂšves, en 1983 ce nombre est rĂ©duit Ă  476[7]. Ils remonteront Ă  700 au dĂ©but des annĂ©es 1990[12]

C'est durant la décennie 1970-1980 que la technologie de la photocomposition fait son entrée dans l'enseignement de l'ERAG[7].

Michel Stauffer, directeur de l'Eracom de 1982 Ă  2012.

En 1982, le directeur Bernard Sauser partant à la retraite, c'est Michel Stauffer, ingénieur ETS en industrie graphique ùgé de 34 ans, qui est nommé à sa succession par le Conseil d'Etat vaudois[13]. Il occupera cette fonction pendant 30 ans, jusqu'en 2012.

L'ERAG dans les années 1990

L'école devient cantonale en 1992, selon la Loi sur la formation professionnelle[14]. Une année plus tard, elle sera la premiÚre école à remettre des certificats de maturité professionnelle technique[15].

Au vu de l'importance grandissante de l'informatique, un dĂ©partement « multimĂ©dia » est ouvert dĂšs 1997[16], proposant une formation d’opĂ©rateur multimĂ©dia[17]. Par la suite, d’autres professions comme les polygraphes ou les photographes souhaitent se former au multimĂ©dia et au web. C’est quelques annĂ©es plus tard que la formation de concepteur multimĂ©dia verra le jour et sera la premiĂšre formation du web.

En 1998 les professions du bĂątiment qui occupent les Ă©tages infĂ©rieurs de l’EPSIC dĂ©mĂ©nagent Ă  Morges. La moitiĂ© du bĂątiment Ă©tant vide, l’EPSIC dĂ©sire rassembler tous les Ă©lĂšves sous le mĂȘme toit. Il est donc dĂ©cidĂ© que l’ERAG retournera dans le bĂątiment qu’elle occupait Ă  ses dĂ©buts. MĂȘme si initialement le dĂ©mĂ©nagement devait se faire directement, notamment en raison de la quantitĂ© de matĂ©riel Ă  dĂ©placer, l’ERAG sera finalement obligĂ©e de s’installer provisoirement Ă  l’avenue de Provence, dans le bĂątiment d’Helsana. L’école en profite pour faire l’inventaire du matĂ©riel qui pourrait ĂȘtre changĂ© au vu du dĂ©mĂ©nagement.

L'École romande d'arts et communication 2000-

AprĂšs quatre ans Ă  l’avenue de Provence, c’est Ă  la fin de l’annĂ©e 2001 que l’ERAG revient enfin dans son bĂątiment d’origine. L’École romande d’arts et communication (Eracom) voit le jour dĂšs 2000[18]. Avec l’ajout de la formation de concepteurs en multimĂ©dia (devenus par la suite interactive media designer) l’école veut montrer qu’elle enseigne avant tout la communication. C’est Ă©galement Ă  ce moment-lĂ  que la formation professionnelle accĂ©lĂ©rĂ©e (FPA) voit le jour. D’abord en deux ans, elle passera par la suite Ă  trois ans et prendra le nom de formation professionnelle condensĂ©e (FPC). En 2013, l’École de couture de Lausanne (ECL) rejoint l’Eracom dans un dĂ©sir d’unification des pĂŽles des arts appliquĂ©s [19].

En 2012, le photographe Pierre Fantys, anciennement professeur Ă  l'ECAL, prend la direction de l’école, succĂ©dant Ă  Michel Stauffer. À la suite de son dĂ©part en automne 2015[20], la direction ad interim de l’école est confiĂ©e Ă  Serge Overney (directeur de l’EPSIC) et Antoine Oberholzer (doyen Ă  l’École professionnelle commerciale d’Aigle). En 2016, le Conseil d’État dĂ©signe Adrien Jenni comme nouveau directeur[21]. Il est le premier directeur de l’Eracom qui n’est pas issu d’une formation graphique. En 2017, l'Eracom a Ă©tĂ© mandatĂ©e par la comitĂ© de direction des Jeux olympiques de la jeunesse pour rĂ©aliser les identitĂ©s et communication visuelles des JOJ de 2020[22] - [23].

BĂątiment

Le bĂątiment de l’Eracom actuel a Ă©tĂ© construit en 1955 par les architectes Brugger, Perrelet, StalĂ© et Quillet Ă  la rue de GenĂšve 55, Ă  Lausanne[24] - [25].

Cet Ă©difice moderniste d’inspiration Bauhaus, construit en monolithe symĂ©trique Ă  six niveaux (sept avec les ateliers), avec deux pignons (escaliers) encadrant le corps principal, a des similitudes avec les constructions de Jean Tschumi (SiĂšge Vaudoise Assurances, Lausanne 1954-56), Walter Gropius (Bauhaus, Dessau, 1926) et Le Corbusier (Villa Savoye, Poissy, 1928-31 et CitĂ© radieuse, Marseille, 1945-52).

SituĂ© entre la gare et la zone industrielle afin que les apprentis puissent accĂ©der facilement Ă  l’école professionnelle, il fonctionnait comme bĂątiment « pont » au niveau infĂ©rieur entre la rue Vigie et la rue de GenĂšve avec une passerelle publique passante au premier Ă©tage.

Façades, vitrages et toiture du bĂątiment ont Ă©tĂ© rĂ©novĂ©s en 1985 par la Ville de Lausanne, puis rĂ©amĂ©nagĂ©s en 1991 pour la construction du Tramway du sud-ouest lausannois (TSOL), l'actuelle ligne M1 du mĂ©tro, avec la suppression de la passerelle sud, bouleversant l’accĂšs et la circulation interne de l’école[26].

  • BĂątiment Eracom.
    BĂątiment Eracom.
  • Sculpture "L'apprenti" par Pierre Blanc.
    Sculpture "L'apprenti" par Pierre Blanc.
  • Façade Eracom.
    Façade Eracom.
  • CafĂ©tĂ©ria Eracom.
    Cafétéria Eracom.
  • Escaliers Eracom.
    Escaliers Eracom.

Machines

Le Macintosh SE commercialisé le 2 mars 1987.

Les premiers Macs

En 1987 l’ERAG prend l'initiative d'acquĂ©rir des ordinateurs personnels Macintosh SE. Michel Stauffer, directeur de l’époque, les introduit par le biais du designer yverdonnois Luc Mottaz. Dans un premier temps, les ordinateurs ne convainquent pas les typographes car ils ne sont pas assez performants pour le traitement de texte. Luc Mottaz organise alors une sĂ©ance de dĂ©monstration des Macs pour les graphistes proches de l’ERAG. La machine, avec des fonctions comme le WYSIWYG ou le copier-coller, plaĂźt et sera acquise par l'Ă©cole. L'ERAG sera l'une des premiĂšres Ă©coles en Suisse Ă  instaurer des cours de PAO Ă  l'aide des ordinateurs Macintosh[17].

Machines et matériel

Le matériel de l'école évolue en fonction des changements technologiques. En 1972, avec l'agrandissement de l'école, 2 millions de francs sont investis dans des achats de matériel. L'ERAG comporte à cette époque de nombreux ateliers de composition et salles de presses, un laboratoire de photocomposition, cinq chambres noires, des ateliers pour les technologies offset, hélio, photogravure[27].

En 2018, le bĂątiment dispose de diffĂ©rents ateliers : rĂ©alisation publicitaire, reprographie, sĂ©rigraphie, crĂ©ation de vĂȘtement et impression, qui accueille une presse Ă  Ă©preuves ainsi que des machines offset et numĂ©riques[10]. Un atelier de sĂ©rigraphie se trouve au deuxiĂšme Ă©tage, il comprend trois machines de sĂ©rigraphie, un dĂ©veloppeur et une salle de lavage. L'atelier de reprographie possĂšde une machine d'impression numĂ©rique et du petit matĂ©riel de reliure. Les locaux dĂ©volus Ă  la rĂ©alisation publicitaire sont Ă©quipĂ©s de plotters de dĂ©coupe ainsi que d'une table de montage. La crĂ©ation de vĂȘtements, quant Ă  elle, dispose de tout le matĂ©riel nĂ©cessaire exigĂ© par la profession.

  • Imprimerie
  • Texte alternatif
    Composition typographique en plomb.
  • Texte alternatif
    Presse Ă  Ă©preuve.
  • Texte alternatif
    Presse Typographique
  • Texte alternatif
    Imprimante Offset 2 couleurs.
  • Texte alternatif
    Imprimante Offset 4 couleurs.
  • Texte alternatif
    Station de contrĂŽle pour imprimante Offset.
  • Texte alternatif


Directeurs

  • jusqu'en 1967 : Maurice Hermanuz[6]
  • 1967-1982 : Bernard Sauser[6]
  • 1982-2012 : Michel Stauffer[13]
  • 2012-2015 : Pierre Fantys[28]
  • 2015-2016 : Serge Overney et Antoine Oberholzer, direction ad interim[29]
  • 2016-prĂ©sent : Adrien Jenni[30]

Publications de l'Ă©cole

Ayant Ă  disposition une imprimerie, les enseignants et Ă©tudiants de l'Eracom crĂ©ent depuis plusieurs annĂ©es des Ă©ditions reprĂ©sentant soit l'histoire de l'Ă©cole, ou les Ɠuvres rĂ©alisĂ©es par les Ă©lĂšves.

  • 1972-1982, 10 ans ERAG, Ă©dition de 1972, Livre conçu et rĂ©alisĂ© par les Ă©lĂšves et les maĂźtres de l’école pour fĂȘter les 10 ans de l'Ă©cole[7].
  • Empreintes, Ă©dition de 1997, ouvrage pour fĂȘter le 25e anniversaire de l’ERAG. Ce livre retrace l’histoire de l’école. Édition par Roger Chatelain. Conception typographique et mise-en-page par Pierre-AndrĂ© Dessarzin et Jean-Claude Siegrist.
  • Rencontres typographiques, Ă©dition de 2003, livre rĂ©alisĂ© par les enseignants Fairouz JoudiĂ© et Roger Chatelain
  • Transverse, revue crĂ©Ă©e par des Ă©tudiants de l'Ă©cole. Publications en 2015 et 2016.

Identité visuelle

ERAG

Le logotype de l’École romande des art graphiques a Ă©tĂ© conçu en 1972 par le graphiste lausannois Roger-Virgile Geiser[31]

Ce dernier «avait Ă©tĂ© façonnĂ© dans l’esprit constructiviste et gĂ©omĂ©trique hĂ©ritĂ© de la nouvelles typographie des annĂ©es trente et de la « typographie suisse qui en a Ă©tĂ© le prolongement. »

À l’occasion des 25 ans de l’École Romande des art graphiques, ERAG, un symbole Ă©phĂ©mĂšre a vu le jour en 1997. Dans le cadre d’un concours organisĂ© par l’ERAG elle-mĂȘme, ce sont les Ă©lĂšves graphistes de premiĂšre, deuxiĂšme et troisiĂšme annĂ©e d’apprentissage qui ont Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  concourir. Le projet gagnant fut rĂ©alisĂ© par Pavlos Constantinou. Son logo « symbolise des mĂ©tiers en mutation, dans une industrie en Ă©volution permanente »[32].

  • Logo ERAG
    Logo ERAG 1972 Ă  2000.
  • Logo ERAG 25 ans
    Logo spécial anniversaire pour les 25 ans de l'ERAG.

Eracom

En 2000, l'Ă©cole change de nom et devient l'École romande d'arts et communication[18]. Un concours en interne est ouvert, le projet retenu est celui de Marie-Christine Ecklin, enseignante en graphisme. Ce logo restera en place jusqu'au dĂ©part du directeur Michel Stauffer en 2012. La signalĂ©tique sera elle aussi rĂ©alisĂ©e par M.-C. Ecklin par la suite. La police de caractĂšres utilisĂ©e est la Meta.

En 2012, à la suite du changement de direction, Marie-Christine Ecklin élabore la nouvelle identité visuelle, accompagnée d'élÚves de derniÚre année. Le logo actuel voit le jour. La police utilisée dans le logo est l'Avenir, dessinée par Adrian Frutiger. Une police d'écriture suisse pour la papeterie est demandée. Le typographe lausannois François Rappo venant de dessiner la Plain, celle-ci sera retenue pour accompagner le logo.

À la suite de cela, l'Ă©cole mandate Ludovic Balland afin de rĂ©aliser la communication de l'Ă©cole dans le cadre d'un workshop[33].

Notes et références

  1. Tirage à part de la «Revue suisse de l'Imprimerie» offert à la soirée d'adieu, mercredi 26 mars 1975, au Chùteau de Daillens, Daillens,
  2. ERAG, EPSIC, ESAG : Lausanne, Archives cantonales de Lausanne, s.n., (lire en ligne), p. 10
  3. « La clĂŽture des cours de l'École romande de typographie », La Gazette de Lausanne,‎ (lire en ligne)
  4. « L'École romande de typographie a pris possession de ses nouveaux locaux », Gazette de Lausanne,‎ (lire en ligne)
  5. GdL, « Promotion chez les typographes vaudois », Gazette de Lausanne,‎ (lire en ligne)
  6. « M. Hermanuz quitte la direction de l'Ă©cole », La Gazette de Lausanne,‎ (lire en ligne)
  7. Bd, « Les dix ans de l'ERAG », Gazette de Lausanne, no 35,‎ , p. 3 (lire en ligne)
  8. Chatelain 2008, p. 123
  9. « Demandes de crĂ©dits au Conseil communal lausannois », Gazette de Lausanne,‎ , p. 7 (lire en ligne) :
    « En 1967, le Conseil communal de Lausanne adoptait le projet de construction de la nouvelle Ecole romande des arts graphiques, englobant aussi une importante annexe de l'école professionnelle de la Société industrielle et commerciale de Lausanne. »
  10. J. Mr., « Un grand «navire» pour l'enseignement technique », La Gazette de Lausanne,‎ (lire en ligne)
  11. Empreintes 1997, p. 5: « C'est le 17 avril 1972 qu'Ă©tait crĂ©Ă©e, Ă  Lausanne, l'École romande des arts graphiques (ERAG) qui succĂ©dait Ă  l'École romande de typographie (ERT). »"
  12. Empreintes 1997, p. 5: « Si, à l'ouverture de l'école [en 1972], l'ERAG comptait 600 élÚves, dix ans plus tard ce nombre tombait à 500 pour remonter à 700 au début des années nonante. »
  13. ATS, « ERAG: nouveau directeur », Gazette de Lausanne, no 126,‎ , p. 2 (lire en ligne)
  14. « RÈGLEMENT d'application de la loi du 19 septembre 1990 sur la formation professionnelle (RLVLFPr) », (consulté le )
  15. Empreintes 1997, p. 5: Jacqueline Maurer-Mayor, conseillÚre d'état, déclare dans la préface: « l'ERAG a été la premiÚre école de Suisse à bénéficier de la reconnaissance fédérale pour décerner la maturité professionnelle technique. »
  16. « Une exposition lausannoise raconte les rĂ©volutions des arts graphiques », Journal de GenĂšve,‎ , p. 11 (lire en ligne)
  17. BĂ©atrice Brunner, « L'Erag forme les opĂ©rateurs multimĂ©dia », Journal de GenĂšve,‎ , p. 37 (lire en ligne) :
    « À l'Ăšre oĂč le numĂ©rique envahit les mĂ©tiers de l'industrie graphique, l'École romande des arts graphiques (Erag) propose une formation d'opĂ©rateur multimĂ©dia Ă  tout porteur d'un CFC dans les secteurs graphisme et communication. »
  18. François Vallotton, Les batailles du livre : l'édition romande, de son ùge d'or à l'Úre numérique, Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, , 142 p. (ISBN 978-2-88915-054-0, OCLC 882614197, lire en ligne), p. 24
    « En 1942, la crĂ©ation Ă  Lausanne de l'Ă©cole romande de typographie – qui devient l'ERAG en 1972 puis l'Eracom en 2000 – va contribuer au dĂ©veloppement de la capitale vaudoise comme pĂŽle des arts graphiques au niveau international. »
  19. « L'École de couture de Lausanne rejoint l'ERACOM », sur www.bicweb.vd.ch, (consultĂ© le )
  20. Par Lise Bourgeois, « AprĂšs audit, la direction de l’ERACOM doit partir », 24Heures, 24heures, VQH,‎ (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consultĂ© le )
  21. « Le Conseil d'État a dĂ©signĂ© le nouveau directeur de l'École romande d'arts et communication (ERACOM) », sur www.bicweb.vd.ch, (consultĂ© le )
  22. « L'Eracom dĂ©croche un gros mandat pour les JOJ 2020 », 20 Minutes,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  23. Selver Kabacalman, « L’Eracom rĂ©alisera l’identitĂ© visuelle des JOJ 2020 », Tribune de GenĂšve,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  24. Les écoles professionnelles complémentaires : Lausanne, Lausanne, S.l. : s.n., , 91 p., p. 2
  25. « Conseil communal Lausanne, No 20/II et No 21 », (consulté le )
  26. « ERACOM-EIVD », sur https://architectes.ch, (consulté le )
  27. Michel-A. Panchaud, « École romande des arts graphiques - Un grand pas vers l'avenir », Gazette de Lausanne,‎ , p. 9-14 (lire en ligne)
  28. « Pierre Fantys, nouveau directeur de l'ERACOM », sur http://www.bicweb.vd.ch, (consulté le )
  29. Lise Bourgeois, « AprĂšs audit, la direction de l’ERACOM doit partir », 24heures,‎ (lire en ligne)
  30. Sylvia Revello, « Adrien Jenni, apprenti directeur », Le Temps,‎ (lire en ligne)
  31. Revue suisse de l'imprimerie, N° 2/1973,
  32. Roger Chatelain, Empreintes : ouvrage du 25e anniversaire de l'École romande des arts graphiques de Lausanne, Lausanne, Ecole romande des arts graphiques, , 91 p.
  33. Ludovic Balland, « Éracom Poster Workshop, “Écrire l'Éracom [de] demain” », sur Ludovic Balland (consultĂ© le )

Bibliographie

  • Panorama du Design graphique en Suisse romande, Centre d’art contemporain GenĂšve, 2011, p. 84.
  • [Empreintes1997] Roger Chatelain, Michel Stauffer et al. (prĂ©f. Jacqueline Maurer-Mayor), Empreintes : Ouvrage commĂ©moratif de l'École romande des arts graphiques, Lausanne, 1972-1997, Lausanne, École romande des arts graphiques, , 94 p.
  • [Chatelain2008] Roger Chatelain, La typographie suisse : Du Bauhaus Ă  Paris, Lausanne, Presses polytechniques et universitaires romandes, coll. « Le Savoir Suisse », , 144 p. (ISBN 978-2-88074-771-8, lire en ligne)

Voir aussi

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