Île Royale (Guyane)
L'île Royale est l'une des îles du Salut sur la côte de la Guyane. Il s'agit de la plus grande des trois îles de l'archipel. Elle dépend de la commune de Cayenne tout comme les deux autres îles, bien qu'elles soient plus proches de Kourou et soient visibles depuis la plage de celle-ci.
| Île Royale | ||
 Carte des îles du Salut. | ||
| Géographie | ||
|---|---|---|
| Pays |  France
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| Archipel | Îles du Salut | |
| Localisation | Océan Atlantique | |
| Coordonnées | 5° 17′ 14″ N, 52° 35′ 20″ O | |
| Superficie | 0,28 km2 | |
| Point culminant | non nommé (66 m) | |
| Géologie | Île continentale | |
| Administration | ||
| Département et région d'outre-mer | Guyane | |
| Commune | Cayenne | |
| Démographie | ||
| Population | Aucun habitant | |
| Autres informations | ||
| Découverte | Préhistoire | |
| Fuseau horaire | UTC-3 | |
| Géolocalisation sur la carte : Guyane
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| Îles en France | ||
Un sentier fait le tour de l'île. D'autres sentiers accessibles au public permettent de l'explorer.
Histoire
La loi du faisait de l'île Royale le lieu de déportation simple, l'île du Diable étant celui utilisé pour la déportation en enceinte fortifiée (selon la distinction établie par la loi de ). De nos jours, il existe sur l'île une chapelle, une auberge (aménagée dans l'ancienne caserne de la garnison de la citadelle, au sommet de l'île), un musée et un poste de gendarmerie.
Le Centre spatial guyanais (CSG), propriétaire de l'île, y installe en 1968 un cinéthéodolite, système optique de poursuite et d’observation des lanceurs, remplacé depuis 1995 par un cinétélescope. Le CSG participe également à la restauration des vestiges du bagne.
L'île est évacuée par précaution lors des lancements, la trajectoire des fusées passant au-dessus d'elle.
Galerie
Agoutis rouges sur l'île.
Débarcadère de l'île Royale, avec l'île Saint-Joseph en second plan.
L'auberge de l'île, ancienne caserne de la garnison de la citadelle.
Exemple de Brugmansia présent sur l'île.