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Yehouda Ashlag

YĂ©houda Leib Ha-Levi Ashlag (hĂ©breu Ś™Ś”Ś•Ś“Ś” ŚœŚ™Ś™Ś‘ Ś”ŚœŚ•Ś™ ŚŚ©ŚœŚ’), nĂ© Ă  Varsovie le [1] et mort Ă  JĂ©rusalem le , Ă©galement connu comme le Baal Hasoulam (Ś‘ŚąŚœ Ś”ŚĄŚ•ŚœŚ, « l'auteur de “l'Échelle” », son commentaire du Zohar), est un rabbin et kabbaliste, ayant fondĂ© une Ă©cole de diffusion de la Kabbale aux masses, poursuivie par ses disciples.

Yehouda Ashlag
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
(Ă  69 ans)
JĂ©rusalem
SĂ©pulture
Nationalités
Activités
Enfant

Biographie

Pologne

Yéhouda Leib Ha-Levi Ashlag est né le cinq du mois de Tishri en 1884 à Varsovie, Pologne, dans une famille d'érudits dépendant des cours hassidiques de Pruszków et de Belz.

Ashlag aurait commencĂ© Ă  Ă©tudier la Kabbale dĂšs l'Ăąge de sept ans, cachant des pages du livre Etz HaĂŻm (l’Arbre de Vie) d'Isaac Louria, dans les feuillets talmudiques qu’il Ă©tait supposĂ© Ă©tudier. DĂšs son plus jeune Ăąge, il fut en quĂȘte de vĂ©ritĂ©, marquĂ© par un dĂ©sir incessant d’étude et par sa façon de poser des questions non conventionnelles.

À l’ñge de douze ans, il Ă©tudia seul le Talmud. A dix-neuf ans, sa grande connaissance de la Torah lui permit de recevoir le titre de rabbin Ă  Varsovie. À cette Ă©poque, il fut juge au tribunal rabbinique de Varsovie et l’expĂ©rience acquise lui permit d’enseigner aux juges. Lors de son sĂ©jour Ă  Varsovie, Ashlag apprit l’allemand et lut les textes originaux de Hegel, Marx et Nietzsche et de Schopenhauer[2], adoptant le marxisme comme systĂšme philosophique.

Ashlag aurait alors vĂ©cu une expĂ©rience hors du commun, rencontrant un marchand inconnu, qui Ă©tait en fait un cabaliste, avec lequel Ashlag aurait Ă©tudiĂ© chaque nuit pendant trois mois « jusqu’à ce que mon arrogance nous sĂ©pare » et que le maĂźtre disparaisse. Quelques mois plus tard, Ashlag le rencontrait Ă  nouveau et rĂ©ussissait aprĂšs force supplications Ă  le convaincre de lui rĂ©vĂ©ler un grand secret kabbalistique. Le lendemain, le maĂźtre mourait[2].

Ashlag a systĂ©matiquement rĂ©interprĂ©tĂ© la Kabbale. Il est le seul kabbaliste du siĂšcle dernier Ă  avoir Ă©crit des commentaires sur deux Ɠuvres kabbalistiques majeures, le Etz HaĂŻm et le Zohar. Ses disciples continuent Ă  promouvoir la diffusion de la Kabbale.

Israël

En 1921 Ă  l’ñge de 39 ans, Ashlag immigra en Palestine sous mandat britannique, et travailla comme ouvrier, jusqu’à ce que son identitĂ© de professeur Ă©mĂ©rite et juge de Varsovie fĂ»t rĂ©vĂ©lĂ©e. Il fut nommĂ© rabbin de Guivat Shaul, un quartier de JĂ©rusalem, en 1924.

Ashlag entretint une amitiĂ© avec le kabbaliste et le grand-rabbin de la Palestine mandataire, le Rav Kook, qui trĂšs tĂŽt reconnut en Ashlag le digne successeur d'Isaac Louria. Ashlag fonda de grands espoirs en dĂ©sirant rencontrer les kabbalistes de JĂ©rusalem, les continuateurs sĂ©farades du grand cabaliste du XVIIIe siĂšcle, Sar Shalom Sharabi (en). Cependant, il fut extrĂȘmement déçu par ces rencontres. Leurs points de vue relatifs Ă  la Kabbale Ă©taient en contradiction avec la façon d’étudier d’Ashlag, pour qui l'Ă©tude devait ĂȘtre une mĂ©thode permettant d’atteindre le but spirituel[2].

En 1926, Ashlag partit pour Londres oĂč il rĂ©digea ses commentaires du Etz HaĂŻm d'Isaac Louria, dans un livre intitulĂ© Panim MeĂŻrot ouMasbirot. AprĂšs un an et demi de travail, il fut publiĂ© en 1927; Ashlag retourna en Palestine en 1928.

En 1932, la famille Ashlag dĂ©mĂ©nagea Ă  Jaffa. En 1933, son livre Matan Torah (Le Don de la Torah) fut publiĂ©. Dans Matan Torah figurent les premiers articles dans lesquels Ashlag souhaite diffuser la Kabbale. Parmi ces articles, L'Essence de la Sagesse de la Cabale, La LibertĂ©, et l’article lui-mĂȘme. À cette Ă©poque, Ashlag commença son Ɠuvre principale, le Talmud Esser SĂ©firot (Talmud des dix SĂ©firot), un commentaire de tous les Ă©crits de l'Ariza"l, dans lequel il entreprit de dĂ©velopper une explication dĂ©taillĂ©e de la crĂ©ation et de tous les mondes supĂ©rieurs (Olam Elyonim), en commençant par la source d’émanation (Ma’atsil) et en finissant par notre monde (Olam HazĂ©). L’Ɠuvre se rĂ©partit en six volumes et contient plus de deux mille pages. De nos jours, certains considĂšrent ce travail comme la base de tout l’enseignement de la Kabbale.

Dans les annĂ©es 1930 Ashlag, ĂągĂ© de cinquante ans, s'entoura d'Ă©tudiants pour Ă©tudier la Kabbale toutes les nuits, souvent peu aprĂšs minuit jusqu’au petit matin. Il Ă©crivit Ă©galement de nombreux articles et lettres dans lesquelles il prĂŽna la diffusion de la Kabbale. Ashlag fit de nombreux efforts pour faire publier le matĂ©riel kabbalistique pour diffuser cette sagesse Ă  toute la nation d’IsraĂ«l. Il publia un journal kabbalistique indĂ©pendant, « Ha Ouma » (La Nation) qui fut interdit aprĂšs sa premiĂšre parution[3] dans lequel Ashlag prĂ©sente une analyse en profondeur de la connaissance qu’il a acquise de la Kabbale et apporte un Ă©clairage aux problĂšmes politiques et sociaux de l’égoĂŻsme humain, en donnant les raisons de l’échec du communisme et proposant des solutions pour corriger la nature Ă©goĂŻste de l’homme par l’étude de la Kabbale.

Ashlag diffĂšre fondamentalement des autres kabbalistes du passĂ©, qui Ă©tudiĂšrent et enseignĂšrent la Kabbale de façon cachĂ©e : en effet, il ressentit un grand besoin de rĂ©vĂ©ler et de simplifier l’enseignement de la Kabbale[4]. La raison Ă  cela fut qu’il vit Ă  son Ă©poque le "mauvais penchant" des gens (l’égoĂŻsme humain) grandir et parvenir Ă  un nouveau sommet, engendrant une nouvelle Ăšre de souffrance, une vie dĂ©pourvue de sens et confuse[5].

PrĂ©voyant le dĂ©but de terribles souffrances et le besoin de l’humanitĂ© tout entiĂšre d’obtenir une rĂ©ponse aux questions fondamentales relatives au sens de notre existence (Ashlag cite la date prĂ©cise de 1995, date citĂ©e dans le Zohar, comme le dĂ©but de l'Ăšre oĂč le peuple commencera Ă  se poser ces questions), Ashlag dĂ©veloppa sa mĂ©thode d'Ă©tude de la Kabbale pour parvenir Ă  la rĂ©vĂ©lation spirituelle par l’intermĂ©diaire d’une recherche de soi et d’une auto transformation[6].

En 1943, Ashlag dĂ©mĂ©nagea Ă  Tel Aviv et commença son livre Ha Soulam (l’Echelle), des commentaires du Zohar. À cette Ă©poque il rĂ©digeait dix-huit heures par jour mais comme il n’avait pas assez d'argent, il ne put acheter suffisamment de papier et d’encre pour Ă©crire des explications plus prĂ©cises. Plus tard, il dĂ©clara que s'il en avait eu la possibilitĂ©, il aurait Ă©crit un commentaire complet du Zohar en deux cents volumes, chose qui ne fut pas possible par manque de moyens financiers[7].

Il termina son Ɠuvre en 1953 et, plus tard, il y ajouta plusieurs volumes. Pour cĂ©lĂ©brer la fin de son Ɠuvre, ses Ă©tudiants organisĂšrent une grande fĂȘte Ă  MĂ©ron, oĂč Ashlag fit un discours qui de nos jours est publiĂ© sous le nom « Maamar LĂ©Sioum HaZohar » (Article d’AchĂšvement du Zohar), Ă©galement connu comme Discours en l’honneur de l’achĂšvement du Zohar.

Ashlag décéda le jour de Kippour en 1954.

Les Ă©crits

Ashlag Ă©crivit et publia deux Ɠuvres principales :

  • le Talmud Esser Sefirot (Talmud des dix SĂ©firot) et un nouveau commentaire des Ɠuvres du grand cabaliste du XVIe siĂšcle Isaac Louria (le Ari). C’est une prĂ©sentation dĂ©taillĂ©e du systĂšme des mondes supĂ©rieurs, Partzoufim et SĂ©firot, dans un langage kabbalistique thĂ©osophique dĂ©veloppĂ© par le Ariza"l. C’est un texte de base, unique, d’une prĂ©cision extrĂȘme de l’organisation structurale et des processus se produisant dans les mondes supĂ©rieurs. C’est un texte dĂ©taillĂ©, complĂ©tĂ© de commentaires avec une section dans chaque chapitre dĂ©diĂ©e Ă  approfondir la rĂ©flexion sur ces commentaires, dĂ©finition des termes, tableaux de questions et rĂ©ponses, une introduction clarifiant la bonne mĂ©thode pour Ă©tudier la kabbale ainsi qu’une prĂ©face rĂ©sumant le texte entier, Pticha (PrĂ©face Ă  la Sagesse de la Kabbale).
  • Sa seconde Ɠuvre est le Commentaire de l'Echelle du Zohar, qui lui valut le nom de Baal Hasoulam (litt. : le maĂźtre de l’échelle). Ce travail volumineux requit dix ans avant qu'il soit terminĂ©, les commentaires furent Ă©crits entre 1943 et 1953. Ils comprennent la traduction du Zohar de l’aramĂ©en en hĂ©breu, ainsi qu’une ample interprĂ©tation.

Un carnet de notes a Ă©tĂ© publiĂ© par le fils et disciple de YĂ©houda Ashlag, Baruch Ashlag. Ce carnet, dont le titre est Shamati (J’ai entendu), contient plus de deux cents articles qui ont Ă©tĂ© retranscrits d'aprĂšs les leçons et discours de YĂ©houda Ashlag. Baruch Ashlag garda ce carnet secrĂštement jusqu’à sa mort en 1991 et le remit Ă  son disciple MichaĂ«l Laitman. Il fut publiĂ© plus tard en hĂ©breu et traduit dans diffĂ©rentes langues. Les articles de Shamati forment un travail kabbalistique unique dans leur profonde Ă©motivitĂ© ressentie lors du parcours intĂ©rieur que traverse un kabbaliste lors de son cheminement spirituel.

Enseignements

Les commentaires d’Ashlag offrent une interprĂ©tation systĂ©matique de l’hĂ©ritage du Ariza"l. Ce fut la premiĂšre fois depuis les interprĂ©tations de l’enseignement du Ariza"l par le Baal Shem Tov, le Ramhal, le Gaon de Vilna et le Sar Shalom Sharabi datant du XVIIIe siĂšcle. Le systĂšme d’Ashlag insiste sur la transformation de la conscience humaine du dĂ©sir du recevoir en dĂ©sir de donner. Cette voie de transformation est dĂ©crite dans la Kabbale lourianique.

Ashlag exposa que le but de l’étude de la Kabbale Ă©quivaut au but de la crĂ©ation de l’homme et grĂące Ă  l’étude, une personne est capable de dĂ©couvrir le processus entier et les structures mises en place lors de la crĂ©ation de l’univers[8]. Selon Ashlag, le but de la Kabbale est de parvenir Ă  « l’équivalence de forme » ou l’adhĂ©sion » avec la source de la crĂ©ation[9].

« L’équivalence de forme » avec cette source signifie possĂ©der les mĂȘmes attributs ou qualitĂ©s et Ashlag dĂ©finit les propriĂ©tĂ©s de cette source comme altruiste, appelĂ©e dĂ©sir de donner ou selon des mots d’Ashlag le « dĂ©sir de donner sans rĂ©serve » (Ratson LĂ©hachpia)[10]. Ashlag affirme que les attributs et les qualitĂ©s humaines sont totalement opposĂ©s (i.e. Ă©goĂŻstes) aux qualitĂ©s de cette source (i.e. altruiste) et que le but de l’humanitĂ© est de changer ses qualitĂ©s afin de parvenir Ă  l’état final d'« Ă©quivalence de forme avec le CrĂ©ateur ».

En Ă©tudiant assidument la Kabbale, le dĂ©sir d’une personne de donner Ă  autrui se dĂ©veloppe en vue du but. Ashlag pensait que la venue du Messie signifiait que l’humanitĂ© parviendrait Ă  cette qualitĂ©, ce qui lui permettrait de renoncer Ă  son amour propre et de se dĂ©vouer Ă  l’amour du prochain pour le bien de l’humanitĂ© comme il est Ă©crit dans le commandement « tu aimeras ton prochain comme toi-mĂȘme »[10]. Les opinions politiques d’Ashlag Ă©taient trĂšs marquĂ©es, il croyait dans le communisme basĂ© sur la foi. Il Ă©tait anti-capitaliste et anti-impĂ©rialiste, mais il Ă©tait contre le communisme imposĂ© de force. Ashlag tenta de convaincre Ben Gourion d’opter pour le socialisme en IsraĂ«l.

Ashlag se voyait lui-mĂȘme comme ayant un rĂŽle quasi-messianique en apportant la Kabbale Ă  l’humanitĂ©. Ses principaux disciples furent ses fils, Baruch Shalom, Salomon Benjamin et le rabbin YĂ©houda Brandwein. Le Rav Baruch (mort en 1991) et le Rav Brandwein (mort en 1969) eurent des Ă©tudiants trĂšs actifs dans la diffusion de la Kabbale ashlaguienne. Le gendre de Brandwein, le rabbin MordechaĂŻ Sheinberger, fonda une communautĂ© en IsraĂ«l appelĂ©e Ohr HaGanouz (la LumiĂšre CachĂ©e) qui combine les idĂ©aux communautaires d’Ashlag tout en diffusant la Kabbale.

Musique

YĂ©houda Ashlag Ă©crivit Ă©galement des cantiques et composa des mĂ©lodies comme expression de sa perception spirituelle. Sa musique provient directement des mondes spirituels et reprĂ©sente un lien profond avec les Ă©lĂ©vations et les pĂ©riodes de chutes spirituelles qu’un cabaliste vit dans les mondes supĂ©rieurs. La plupart de ses mĂ©lodies proviennent de textes cabalistiques, tels Bnei Heichala (paroles du Ari), Ki Hilatsta Nafshi, Tsadik ke Tamar Ifrach, Leagid Ba Boker Hasdecha et Kel Mistater (psaumes du roi David), Hasal Seder Pesach.

Ashlag voulait que ses disciples chantent des mélodies cabalistiques plutÎt que des mélodies populaires. Il prit également certaines mélodies de son professeur, le Rav Admor de Pruszków, et composa des mélodies pour les enseigner à ses élÚves.

Ashlag dĂ©sira recrĂ©er l’impression et l’inspiration ressentie lors des grandes ascensions spirituelles plutĂŽt que de chanter les chants des Yeshivot des annĂ©es 1920. À cette fin, Ashlag fit de grands efforts pour composer des nouvelles mĂ©lodies, dont Hamol Al Maasecha, Hinei Ke Homer, Be Yad a Yocher, chantĂ©es le jour de Kippour.

Les fils d’Ashlag

Bibliographie

Livres

Articles

Les continuateurs contemporains d’Ashlag

Notes et références

  1. Mais les sources divergent largement sur sa date de naissance.
  2. Odenheimer, M. Latter-Day Luminary in Ha'aretz
  3. Ashlag, Y. 1940. Ha'Ouma, Jérusalem, Publication Indépendante, newsletter 5/6/1940
  4. Ashlag, Y. 2002. Temps d’Agir, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. R. Sayag. Publication originale en hĂ©breu Et Laasot dans Kabbalah LaMatchil. 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 10-11.
  5. Ashlag, Y. 2002. Introduction au Talmud Esser Sefirot, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. C. Ratz. Publication originale en hĂ©breu : Hakdama LeTalmud Esser HaSefirot, dans Kabbalah LaMatchil, 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 159-198.
  6. Ashlag, Y. Introduction au livre du Zohar, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. N. Baron. Publication originale en hĂ©breu : Hakdama LeSefer HaZohar in Kabbalah LaMathil, 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 37-63.
  7. Ashlag, Y., Le discours en l’honneur de l’achĂšvement du Zohar, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. C. Ratz. Publication originale en hĂ©breu : Maamar LeSioum HaZohar dans Kabbalah LaMathil, 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 28-36.
  8. Ashlag, Y., De l’Essence de la sagesse de la Kabbale, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. Arie Rosenfeld. Publication originale en hĂ©breu : Mahut Hochmat HaKabbalah dans Matan Torah, 1995. IsraĂ«l, Ohr HaGanuz Publications, pp. 61-74.
  9. Ashlag, Y., Introduction au Livre du Zohar, Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. C. Ratz. Publication originale en hĂ©breu : Hakdama LeSefer HaZohar dans Kabbalah LaMathil, 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 37-63.
  10. Ashlag, Y., Le Don de la Torah (Matan Torah), Institut de Recherche et d’Enseignement de la Kabbale Bnei Baruch, trad. E. Kajfasz. Publication originale en hĂ©breu : Matan Torah dans Kabbalah LaMatchil, 2002. IsraĂ«l, Bnei Baruch, pp. 111-118.

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