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Viviane Senna Lalli

Viviane Senna da Silva Lalli, née le à São Paulo est une femme d'affaires brésilienne. Elle est présidente de l'ONG Fondation Ayrton Senna.

Viviane Senna Lalli
Description de cette image, également commentée ci-après
Viviane Senna da Silva Lalli en 2007.
Naissance
São Paulo
Nationalité Brésilienne
Diplôme
Formation
Descendants
Famille
Ayrton Senna (frère)

Biographie

Viviane Senna da Silva Lalli est diplômée de l'Université pontificale catholique de São Paulo (PUC-SP), où elle obtient une licence (bachelor's degree) en psychologie. À partir de 1981, elle travaille comme psychothérapeute[1] - [2].

Elle est présidente de la Fondation Ayrton Senna, créé en 1994, quelques mois après la disparition de son frère, le pilote automobile Ayrton Senna[3] - [4].

Viviane Senna da Silva Lalli siège au comité consultatif (advisory board) de la filiale brésilienne de Citibank et de la Fédération brésilienne des banques (pt) (Febraban), ainsi qu'au comité d'investissement (social investment committees) de Banco Itaú et d'Unibanco. Elle est élue en 2009 au conseil d'administration de Banco Santander Brasil[2].

Elle est membre du Conseil de développement économique et social (pt) brésilien (CDES), du bureau de l'éducation (board of education) de la Fédération industrielle de l'État de São Paulo (pt) (FIESP) et de la Confédération nationale de l'industrie (pt) (CNI)[2].

Vie privée

Viviane Senna da Silva Lalli est mère de trois enfants, dont le pilote automobile Bruno Senna. Son mari Flávio Pereira Lalli est décédé en 1995 dans un accident de moto[1] - [5] alors qu'il ramenait l'engin ayant appartenu à Ayrton Senna à Sao Paulo afin qu'il soit mis à la vente.

Références

  1. (pt) Laura Greenhalgh, Carlos Henrique Ramos, « A guardiã do mito », Época,
  2. (en) « Viviane Senna Lalli Profile », Forbes
  3. Lionel Froissart, « L'école pilote de Viviane Senna », Libération,
  4. Thierry Wilmotte, « Les enfants d'Ayrton », Le Soir,
  5. (en) Richard Williams, « The name is Senna. Watch out for another man in a yellow helmet », The Guardian,

Lien externe

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