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Virgilio Mattoni

Virgilio Mattoni de la Fuente, nĂ© le Ă  SĂ©ville et mort le dans la mĂȘme ville, est un peintre espagnol historiciste et rĂ©aliste post-romantique.

Virgilio Mattoni de la Fuente
Biographie
Naissance
DĂ©cĂšs
(Ă  80 ans)
SĂ©ville
Nationalité
Formation
Académie royale des beaux-arts de Sainte-Isabelle de Hongrie (en)
Activité

Biographie

Relief dĂ©diĂ© Ă  Virgilio Mattoni Ă  l'École d'art de SĂ©ville.

Virgilio Mattoni est le fils de Felipe Mattoni et de MarĂ­a Lutgarda de la Fuente[1]. Il naĂźt le dans le quartier de Santa Cruz Ă  SĂ©ville[2]. Il dĂ©veloppe une grande apprĂ©ciation pour ce quartier et y vit toute sa vie[2]. Il est baptisĂ© dans l'Ă©glise d'El Sagrario, qui fait partie de la cathĂ©drale de SĂ©ville[1]. Il suit une formation Ă  l'École provinciale des beaux-arts de SĂ©ville de 1856 Ă  1868[3], oĂč il est l'Ă©lĂšve d'Eduardo Cano de la Peña et de JoaquĂ­n DomĂ­nguez BĂ©cquer[4] - [2]. Entre mai et , il a son atelier de peinture Ă  l'Alcazar de SĂ©ville[2].

À l'Ăąge de 30 ans, il termine ses Ă©tudes Ă  l'Accademia Chigi de Rome entre 1872 et 1874, oĂč il entre en contact avec d'autres artistes espagnols tels que JosĂ© Villegas, JosĂ© JimĂ©nez Aranda et JosĂ© GarcĂ­a Ramos, Ă©galement peintres sĂ©villans, qui le prĂ©sentent Ă  MariĂ  Fortuny[5]. Il revient en 1874 en Espagne[3], retourne dans le quartier de Santa Cruz de sa ville et, entre et , il installe son atelier de peinture au numĂ©ro 15 du Patio de Banderas. Il le dĂ©place ensuite dans la Calle Maese Rodrigo, puis dans la Calle Cruces, au numĂ©ro 7[6].

Il prend part aux expositions nationales de 1881 et 1887[4]. Cette année, il est nommé académicien des beaux-arts de Séville[4].

En 1886, l'AcadĂ©mie royale des beaux-arts Saint-Ferdinand Ă  Madrid choisit Virgilio Mattoni comme acadĂ©micien Ă  part entiĂšre[4] - [6]. Cette nomination fait Ă©galement de lui un membre de la Commission provinciale du patrimoine[7]. La mĂȘme annĂ©e, il conçoit un autel portable pour les services de culte de la Virgen de la Paz dans la paroisse de Santa Cruz[8]. En 1887, il est choisi comme acadĂ©micien de la section de peinture de l'École provinciale des beaux-arts de SĂ©ville[7]. En 1914, il est nommĂ© Ă  la chaire de dessin de l'Ă©cole[7].

En 1896, l'artiste propose au gouvernement d'appeler l'Ă©cole l'AcadĂ©mie de Sainte-Élisabeth de Hongrie[7], en souvenir de l'Ă©poque oĂč elle fut rebaptisĂ©e AcadĂ©mie royale des Beaux-Arts de Sainte-Élisabeth lors de sa constitution en patronage royal en 1843 par Isabelle II. Ce nom est perdu lorsque l'institution devient une Ă©cole au sein de l'universitĂ© de SĂ©ville. Le nom "de Santa Isabel de HungrĂ­a" est ajoutĂ© Ă  l'institution en 1921[9]. Dans la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, l'AcadĂ©mie de Sainte Isabelle de Hongrie est refondĂ©e en tant qu'institution indĂ©pendante de l'UniversitĂ© de SĂ©ville et avec le mĂȘme rĂšglement que l'École royale des beaux-arts de San Fernando. En 1921, cette institution indĂ©pendante est rebaptisĂ©e AcadĂ©mie royale de Sainte-Élisabeth de Hongrie, Ă  la demande de JosĂ© SebastiĂĄn BandarĂĄn[10].

En 1896, il est nommĂ© secrĂ©taire de l'École provinciale des Beaux-Arts par le recteur de l'UniversitĂ© de SĂ©ville, Ă  laquelle il est attachĂ©[11].

En , il obtient la chaire d'applications du dessin artistique aux arts dĂ©coratifs Ă  la mĂȘme Ă©cole des Beaux-Arts[11]. En 1903, il reprend la chaire de composition dĂ©corative et en 1906 la chaire d'Ă©tude des formes de la nature et de l'art[11].

En 1907, le chapitre de la cathédrale charge une commission composée de Virgilio Mattoni, Joaquín Bilbao, José Gestoso et d'autres artistes d'évaluer les peintures de la cathédrale afin de modifier l'emplacement des plus précieuses[11].

En 1916, il quitte son poste de secrĂ©taire de l'École des beaux-arts car il est occupĂ© par d'autres activitĂ©s artistiques[11]. En 1917, il est nommĂ© directeur de l'Ă©cole des arts, des industries et des beaux-arts[11].

Il est ami avec les Ă©crivains Miguel RodrĂ­guez Seisdedos, Cecilia Böhl de Faber y Larrea et Antonia DĂ­az FernĂĄndez de Lamarque et son mari, JosĂ© Lamarque de Novoa[12]. Il participe Ă  des rassemblements dans la maison du peintre JosĂ© SebastiĂĄn Valladares, au numĂ©ro 8 de la Calle Pimienta[12]. Ceux-ci sont rĂ©guliĂšrement frĂ©quentĂ©s par Luis Lerdo de Tejada, assistant du Duc et de la Duchesse de Montpensier[12]. Pendant un certain temps, Virgilio Mattoni a son atelier dans une piĂšce du palais de San Telmo, oĂč vit le duc de Montpensier[12].

Il meurt en 1923. À sa mort, Francisco Marco lui fait un masque mortuaire[13]. Marcus et ses disciples rĂ©alisent une dalle en marbre italien Ă  sa mĂ©moire, avec au centre le buste de Virgile flanquĂ© de deux figures allĂ©goriques de la peinture et de la littĂ©rature[13]. Cette pierre tombale est placĂ©e dans l'Ă©cole des beaux-arts[13].

Le conseil municipal donne son nom à une rue du quartier de Cerro del Águila[14].

Travail

Les derniers jours de Ferdinand III le Saint. 1887.
Cristo Rey, Église de San AndrĂ©s (SĂ©ville).

Il peint des portraits, des genres historiques et des sujets religieux. Son style académique est parfois proche des tendances modernistes. Il publie quelques articles dans la presse locale sur l'histoire de l'art[14]. Parmi ceux-ci figurent l'article Sevilla en sus pintores et son étude sur le retable de San Bartolomé dans la cathédrale de Séville, tous deux datant de 1920[14].

Virgilio Mattoni est un peintre espagnol historiciste[15] et réaliste post-romantique[16].

Il peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme l'un des plus fidĂšles dĂ©fenseurs d'une forme d'art rĂ©gionale[17].

En 1881, il reçoit la deuxiÚme médaille de l'Exposition nationale des beaux-arts pour son tableau Les thermes de Caracalla, qu'il a peint à Rome[6]. En 1887, il reçoit la médaille de deuxiÚme classe à l'Exposition nationale des beaux-arts pour son tableau Las postrimerías de Fernando III el Santo[7].

Ses principales Ɠuvres d'art sacrĂ© sont :

  • 1868. San JerĂłnimo. MusĂ©e des Beaux-Arts de SĂ©ville. Copie d'une Ɠuvre du XVe siĂšcle du monastĂšre de San Isidoro del Campo, Santiponce[18].
  • 1868. Santa Catalina. MusĂ©e des Beaux-Arts de SĂ©ville. Copie d'une Ɠuvre du XVe siĂšcle du monastĂšre de San Isidoro del Campo, Santiponce[18]
  • 1868. Santo obispo. MusĂ©e des Beaux-Arts de SĂ©ville. Copie d'une Ɠuvre du XVe siĂšcle du monastĂšre de San Isidoro del Campo, Santiponce[18]
  • 1891. El Salvador[18].
  • 1886. Dessin d'un autel portable destinĂ© Ă  ĂȘtre utilisĂ© lors d'une neuvaine Ă  la Virgen de la Paz dans l'Ă©glise de Santa Cruz. SĂ©ville[19].
  • Esquisse reprĂ©sentant un projet de plateforme pour la Virgen de los Reyes. Commande de MarĂ­a Luisa Fernanda de BorbĂłn. Elle se trouve dans la chapelle royale de la cathĂ©drale de SĂ©ville[20].
  • C. 1874-1888. San Emigdio[21].
  • C. 1874-1887. Sainte Elizabeth de Hongrie[21].
  • 1894. Le bienheureux Diego de CĂĄdiz. Mur frontal de l'autel de la Virgen de los Dolores. Chapelle de la Virgen de los Dolores dans la cathĂ©drale de SĂ©ville[22] - [23].
  • 1897. Annonciation. CathĂ©drale de SĂ©ville[24].
  • 1901. La Sainte TrinitĂ©. Autel de la Vierge de BethlĂ©em. CathĂ©drale de SĂ©ville[25] - [26].
  • 1901. San Pedro[23].
  • 1904. Le couronnement de la Vierge. Église de San AndrĂ©s. SĂ©ville[27].
  • SacrĂ©-CƓur de JĂ©sus[23].
  • ImmaculĂ©e Conception[28].
  • San Francisco. Église de Los Capuchinos, SĂ©ville[22].
  • Saint Isidore et Saint ClĂ©ment. Tablettes du retable principal de l'Hospital de los Venerables Sacerdotes. SĂ©ville[22].
  • La TrinitĂ© et la Vierge. Église de San AndrĂ©s. SĂ©ville[29].
  • Sainte Elisabeth de Hongrie et Saint ClĂ©ment. Retable latĂ©ral de l'Ă©glise du couvent des Capucins. SĂ©ville[30].
  • La petite Ă©glise des Capucines (Los Capuchinos), possĂšde de lui un tableau de saint François d'Assise en extase, « ayant posĂ© Ă  ses pieds une lanterne dont l'Ă©clairage est un petit chef-d'Ɠuvre »[31].
  • L'Ă©glise des VĂ©nĂ©rables a de lui un Saint ClĂ©ment et un Saint Isidore qui en constitue le retable[31].

Ses principaux portraits sont :

  • 1887. Autoportrait. Collection de FĂ©lix LacĂĄrcel. SĂ©ville[32].
  • 1888. Cardinal Ceferino GonzĂĄlez. BibliothĂšque Colombina de SĂ©ville[33].
  • DĂ©diĂ© 1890. Adolfo LĂłpez RodrĂ­guez. Sculpteur[21].
  • 1903. JosĂ© Lamarque de Novoa. Diplomate. Salle principale de l'alquerĂ­a del Pilar. Deux sƓurs[34].
  • 1900. MarĂ­a Dolores GuzmĂĄn VĂ©lez LadrĂłn de Guevara[35].
  • 1917. Anselmo Leonardo GarcĂ­a y Ruiz. Professeur de philosophie et de lettres Ă  l'universitĂ© de SĂ©ville[36].
  • 1919. JosĂ© SebastiĂĄn y BandarĂĄn. Docteur en thĂ©ologie[36].
  • JosĂ© MarĂ­a Ruiz y GarcĂ­a. Chanoine de la cathĂ©drale de SĂ©ville et administrateur de l'HĂŽpital des VĂ©nĂ©rables de Sacerdotes[35].
  • Cayetano FernĂĄndez Cabello. PrĂ©cepteur de la cathĂ©drale de SĂ©ville.
  • Sor BĂĄrbara de Santo Domingo. Moniale dominicaine du couvent de Madre de Dios Ă  SĂ©ville[36].
  • Papa LeĂłn XIII. Photo de l'archevĂȘchĂ© de SĂ©ville[37].
  • Cardenal Marcelo SpĂ­nola y Maestre. Photo de l'archevĂȘchĂ© de SĂ©ville[38].

Parmi les autres Ɠuvres de cet auteur, citons :

  • 1879. Isabelle la Catholique traversant l'une des salles de la cathĂ©drale de SĂ©ville. Cette Ɠuvre a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e Ă  l'exposition de Cadix de 1879[5].
  • 1881. Les thermes de Caracalla. Vente aux enchĂšres chez Christie's en 2002[39].
  • 1887. Les derniers jours de Ferdinand III le Saint. Alcazar de SĂ©ville : « San Fernando Ă©tant Ă  son lit de mort voulut recevoir le viatique et on allait le lui apporter quand il manifesta le dĂ©sir de se rendre lui-mĂȘme Ă  la chapelle. Soutenu par deux moines qui l’assistaient dans ses derniers moments, il se traĂźna jusqu’à l’autel et il rendit l’ñme Ă  l'instant mĂȘme oĂč le prĂȘtre, Ă©levant la sainte hostie, allait la lui prĂ©senter. »[31].
  • 1895. Autorretato en el estudio del pintor. Sevilla. ColecciĂłn particular[40].
  • 1902. Les thermes de Caracalla. RĂ©plique de l'original de 1881. Dans la premiĂšre, les colonnes Ă©taient blanches et dans cette copie, les colonnes sont rouges. Mise aux enchĂšres chez Sotheby's en 1998[39].
  • 1903. Le paysage urbain. Cette peinture montre une femme Ă©tendant des vĂȘtements dans une cour avec des pots de fleurs. SĂ©ville. Collection de Francisco Escalant[41].
  • 1905. Procession du Saint Viatique dans les jardins de San Telmo. Cette peinture montre l'Infante Maria Luisa dans la procession. SĂ©ville. Collection de Manuel Lerdo de Tejada[42].
  • Des fiançailles mystiques. Elle reprĂ©sente un couple et est de style nĂ©o-byzantin. SĂ©ville. Collection de FĂ©lix LacĂĄrcel[43].
  • Le Prince de Viana. Cette peinture montre le prince sur son trĂŽne Ă  cĂŽtĂ© d'un ecclĂ©siastique. Le peintre Moreno Carbonero a rĂ©alisĂ© un tableau sur le mĂȘme thĂšme. Localisation inconnue[44].
  • Étude des enfants anges. C'est un croquis au crayon. SĂ©ville. Collection de Bernardo Roca[45].
  • Étude de nu. C'est un croquis au crayon. SĂ©ville. Collection de FĂ©lix LacĂĄrcel[45].
  • Le vendeur de tapis[4].
  • Maure dans un bazar (Ă©bauche)[4].
  • Marchand arabe, huile sur toile, 202 x 102,2 cm, 1889, collection privĂ©e[4].
  • La leçon de Blason[31]
  • Les Thermes de Caracalla[31]

Il y a un carnet de croquis de l'auteur, réalisé en 1892, avec cinq croquis [21]:

  • La chapelle. 23 juin au domaine de Lerena. CarriĂłn de los CĂ©spedes.
  • Tour mudĂ©jar de la chapelle. CarriĂłn de los CĂ©spedes.
  • La fenĂȘtre de ma chambre. SeiziĂšme siĂšcle. 24 juin 1892.
  • Porte du XVIe siĂšcle. 24 juin.
  • Chapelle mudĂ©jar. 24 juin 1892.

Notes et références

  1. (es) José Cascales Muñoz, Sevilla intelectual. Sus escritores y artistas contemporåneos, Victoriano Suårez,
  2. PĂ©rez Calero 1977, p. 13.
  3. « Mattoni de La Fuente, Virgilio », dans Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays, vol. 9, GrĂŒnd, (ISBN 9782700030419, lire en ligne), p. 378.
  4. Dizy Caso 1997, p. 176.
  5. (es) « Mattoni de la Fuente, Virgilio », sur museodelprado.es (consulté le )
  6. PĂ©rez Calero 1977, p. 14.
  7. PĂ©rez Calero 1977, p. 15.
  8. (es)(en)Álvaro Cabezas GarcĂ­a, « Una arquitectura para el culto. Un proyecto inĂ©dito de Virgilio Mattoni » Laboratorio de Arte: Revista del Departamento de Historia del Arte, nÂș 27, pp. 669-677, (ISSN 1130-5762).
  9. (es) « Real Academia de Bellas Artes Santa Isabel de Hungría de Sevilla », sur censoarchivos.mcu.es (consulté le )
  10. (es) « Real Academia de Bellas Artes de Santa Isabel de Hungría » [archive du 10 de mayo de 2018], sur Instituto de Academias de Andalucía, (consulté le )
  11. PĂ©rez Calero 1977, p. 16.
  12. PĂ©rez Calero 1977, p. 18.
  13. (es) Antonio Illanes RodrĂ­guez, « El pintor Virgilio Mattoni », ABC Sevilla,‎ , p. 37 (lire en ligne)
  14. PĂ©rez Calero 1977, p. 17.
  15. PĂ©rez Calero 1977, p. 59.
  16. PĂ©rez Calero 1977, p. 62.
  17. (es) Carlos Cid Priego, Las artes españolas en la crisis del 98, Universidad de Oviedo, , 250 p. (ISBN 9788474689136, lire en ligne), p. 212
  18. PĂ©rez Calero 1977, p. 36.
  19. (es) Álvaro Cabezas GarcĂ­a, « Arquitectura para el culto. Un proyecto inĂ©dito de Virgilio Mattoni », Laboratorio de Arte. Revista del Departamento de Historia del Arte de la Universidad de Sevilla, no 27,‎ , p. 669-677 (lire en ligne) (ISSN 1130-5762)
  20. PĂ©rez Calero 1977, p. 40.
  21. (es) Teresa Lafita Gordillo, « Otras obras inĂ©ditas del pintor Virgilio Mattoni de la Fuente. "San Emigio", "Retrato de Adolfo LĂłpez", "Cuaderno de Apuntes" y "Santa Isabel de HungrĂ­a" », Atrio. Revista de historia del arte, nos 8-9,‎ , p. 173-185 (ISSN 0214-8293, lire en ligne)
  22. PĂ©rez Calero 1977, p. 38.
  23. PĂ©rez Calero 1977, p. 39.
  24. PĂ©rez Calero 1977, p. 43.
  25. PĂ©rez Calero 1977, p. 73.
  26. (es) « Catedral de Sevilla: Altar de Nuestra Señora de Belén », sur Híspalis (consulté le )
  27. PĂ©rez Calero 1977, p. 101.
  28. PĂ©rez Calero 1977, p. 37.
  29. PĂ©rez Calero 1977, p. 41.
  30. PĂ©rez Calero 1977, p. 42.
  31. Hutin 1908, p. 5665.
  32. PĂ©rez Calero 1977, p. 81.
  33. PĂ©rez Calero 1977, p. 93.
  34. PĂ©rez Calero 1977, p. 45.
  35. PĂ©rez Calero 1977, p. 46.
  36. PĂ©rez Calero 1977, p. 47.
  37. PĂ©rez Calero 1977, p. 48.
  38. PĂ©rez Calero 1977, p. 49.
  39. (es) Enrique Arias AnglĂ©s y Aurora Gil Serrano, « 'Las Termas de Caracalla' de Virgilio Mattoni. Un cuadro reecontrado », El arte español fuera de España. XI Jornadas de Arte. 18-22 de noviembre de 2002,‎ , p. 343-354 (ISBN 84-00-08128-5)
  40. PĂ©rez Calero 1977, p. 89.
  41. PĂ©rez Calero 1977, p. 97-98.
  42. PĂ©rez Calero 1977, p. 85.
  43. PĂ©rez Calero 1977, p. 105-106.
  44. PĂ©rez Calero 1977, p. 109-110.
  45. PĂ©rez Calero 1977, p. 113-114.

Annexes

Bibliographie

  • [Hutin 1908] M. Hutin, « L'art en Espagne - Silhouettes et portraits : Virgille Mattoni », Journal des artistes,‎ , p. 5665 (lire en ligne). Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [PĂ©rez Calero] (es) Gerardo PĂ©rez Calero, El pintor Virgilio Mattoni, Secretariado de Publicaciones de la DiputaciĂłn de Sevilla, , 123 p. (ISBN 9788450022957, lire en ligne), p. 13. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article
  • [Dizy Caso 1997] Eduardo Dizy Caso, « Mattoni de La Fuente, Virgilio », dans Les orientalistes de l'Ă©cole espagnole, ACR edition, , 288 p. (lire en ligne), p. 176. Ouvrage utilisĂ© pour la rĂ©daction de l'article

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