Théodore Le Hars
Théodore Le Hars est un homme politique français né le à Quimper (Finistère) et décédé le à Scrignac (Finistère) dans un accident d'automobile[1].
Sénateur de la Troisième République | |
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(Ă 67 ans) Scrignac |
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Conseiller municipal de Quimper en 1891, maire de 1904 à 1912 et de 1920 à 1928, conseiller général en 1918, il a été sénateur du Finistère de 1920 à 1928.
Il fut chef d'escadron pendant la Première Guerre mondiale[2].
Il habitait le manoir de Lesmadec en Peumerit.
« Anticlérical bourgeois, le nom de Théodore Le Hars reste lié à la construction du théâtre, de l'asile de vieillards, du bureau de bienfaisance, du pont de Juniville ainsi qu'au mémorial des enfants de Quimper morts pour la France mais aussi à la fermeture des écoles congréganistes et à la confiscation des couvents »[3].
Notes et références
- Journal Ouest-Éclair no 9839 du 3 octobre 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6124656.r=B%C3%A9nodet.langFR
- https://www.senat.fr/senateur-3eme-republique/le_hars_theodore0792r3.html
- Alain de Sigoyer, journal Le Télégramme, 10 décembre 2000.
Sources
- « Théodore Le Hars », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960