Teresa de la Parra
Ana Teresa Parra Sanojo (Paris 17e arrondissement, [1] - Madrid, ) est une femme de lettres vénézuélienne, plus connue sous le nom de Teresa de la Parra, et l'un des auteurs les plus estimés de son temps.
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(Ă 46 ans) Madrid |
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Biographie
Bien qu'elle ait passé la majeure partie de son existence à l'étranger, elle a su exprimer dans son œuvre littéraire l'atmosphère intime et familière du Venezuela de l'époque. Elle est venue à l'écriture à travers le journalisme et a écrit deux romans qui l'ont immortalisée dans toute l'Amérique : Ifigenia (1924)[2] et Memorias de Mamá Blanca (1929)[3]. Son roman le plus connu, Ifigenia, a mis en scène pour la première fois dans son pays le drame d'une femme en butte à une société qui ne lui permet pas d'avoir une voix propre.
Elle était la fille de Rafael Parra Hernáiz, ambassadeur du Venezuela à Berlin, et d'Isabel Sanojo, et elle passa son enfance dans la grande hacienda familiale Tazón.
Teresa de la Parra est décédée à Madrid et est enterrée au Panthéon national du Venezuela.
Notes et références
- Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 17/3150/1889 (consulté le 20 août 2012)
- (es) Froilán Ramos RodrĂguez, « Teresa de la Parra e Ifigenia (1924): Mujer y escritura », Folios,‎ , p. 3-15 (ISSN 0123-4870, lire en ligne)
- (es) Teresa de la Parra, consulté le 20-03-2008.