Takagi Taku
Takagi Taku (jap.高木 卓 (Taku Takagi), vrai nom : 安藤 煕, Andō Hiroshi (son prénom peut aussi se lire Taku) ; né le dans la préfecture de Tokyo et mort le , est un écrivain japonais.
Naissance | |
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(à 67 ans) |
Nom dans la langue maternelle |
高木卓 |
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Université de Tokyo Université d'Ibaraki Dokkyo University (en) |
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C'est aussi un critique musical et auteur de romans historiques (rekishi shōsetsu).
Son oncle est l'écrivain Kōda Rohan[1]. Sa fille est l'autrice et parolière Takagi Akiko (née en 1940).
Biographie
Takagi Taku, né à Tokyo, et le fils de la violoniste Andō Kō (née Kōda), qui fut la première femme à être honorée en tant que personne de mérite culturel particulier, et de l'angliciste Andō Katsuichirō . Il étudie la littérature allemande à l' université impériale de Tokyo, dont il sort diplômé en 1930 puis enseigne au lycée Mito de Tokiwa. Il publie des romans dans la revue littéraire Sakka Seishin (作家精神). Déjà candidat malheureux au prestigieux prix Akutagawa en 1936, il l'obtient finalement en 1940 pour son roman Uta to mon no tate (歌と門の盾), ayant pour sujet Ōtomo no Yakamochi, mais il décline le prix.
Après la Seconde Guerre mondiale, il enseigne à l'université de Tokyo jusqu'à sa retraite, puis à l'université Dokkyo.
Il traduit presque tous les opéras de Richard Wagner en japonais.
Andō Kō dit Takagi Taku, décède en 1974 à l'âge de 67 ans.
Œuvres
- 1940 : Uta à mon no tate (歌と門の盾)
- 1943 : Shotoku Taishi (聖徳太子)
- 1948 : Ningen Rohan (人間露伴)
- 1951 : Murasaki Shikibu (紫式部)
- 1955 : Beethoven (ベートーヴェン)
- 1958 : Akutagawa Ryūnosuke dokuhon (芥川龍之介読本)
- 1966 : Schubert (シューベルト)
Références
- (ja) « デジタル版 日本人名大辞典 », sur Kotobank