Tabernaemontana hallei

Son épithète spécifique hallei rend hommage au botaniste et collecteur français Nicolas Hallé[2], qui récolta l'holotype au Gabon[3].

C'est un arbuste glabre, dont la hauteur est comprise entre 0,6 et 2,5 m de hauteur, poussant sur les berges marégageuses dans la forêt tropicale, à une altitude comprise entre 0 et 700 m[4].

Relativement rare, l'espèce a été observée dans plusieurs localités au sud du Cameroun et au Gabon. Elle est considérée comme vulnérable[5].

• (en) Anthonius Josephus Maria Leeuwenberg, « Tabernaemontana hallei (Boiteau) », in Journal of Ethnopharmacology, 10, 13, 1984
• (en) A.J.M. Leeuwenberg, A revision of Tabernaemontana. [One], The Old World species, Royal Botanic Gardens, Kew, 1991, p. 40-42 (ISBN 0-947643-30-3)
• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 74
• (en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Tabernaemontana hallei (Boiteau) Leeuwenb. », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 87 (ISBN 9781842464298)

• (en) Référence Catalogue of Life : Tabernaemontana hallei (Boiteau) Leeuwenb. (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 20 janvier 2018)
• (en) Référence The Plant List : Tabernaemontana hallei (Boiteau) Leeuwenb. (source : KewGarden WCSP) (consulté le 20 janvier 2018)
• (en) Référence Tropicos : Tabernaemontana hallei (Boiteau) Leeuwenb. (+ liste sous-taxons) (consulté le 20 janvier 2018)
• (en) Référence UICN : espèce Tabernaemontana hallei (Boiteau) Leeuwenb. (Boiteau) Leeuwenb. (Syn. de Tabernaemontana hallei) (consulté le 20 janvier 2018)
• Spécimen, récolté en janvier 1978 à Meyo Ntem, près de Ma'an, sur la route qui relie Meyo-Centre à Nyabessang.