Staurogyne pseudocapitata

C'est une petite herbe prostrée[2].

Relativement rare, subendémique[2], elle a été observée au Cameroun sur quatre sites dans trois régions (Sud-Ouest, Sud, Est), également au Gabon sur un seul site (monts de Cristal[3]).

• Jean-Michel Onana, Synopsis des espèces végétales vasculaires endémiques et rares du Cameroun : check-liste pour la gestion durable et la conservation de la biodiversité, Yaoundé, Ministère de la Recherche scientifique et de l'Innovation, coll. « Flore du Cameroun » (n^o 40), 2013, p. 65
• (en) Jean-Michel Onana et Martin Cheek, « Staurogyne pseudocapitata Champl. », in Red Data Book of the Flowering Plants of Cameroon: IUCN Global Assessments, Royal Botanic Gardens, Kew, 2011, p. 75 (ISBN 9781842464298)

• (en) Référence Catalogue of Life : Staurogyne pseudocapitata Champl. (consulté le 25 décembre 2020)
• (en) Référence Kew Garden World Checklist : nv (consulté le 10 janvier 2018)
• (en) Référence NCBI : Staurogyne pseudocapitata (taxons inclus) (consulté le 10 janvier 2018)
• (en) Référence The Plant List : Staurogyne pseudocapitata Champl. (source : Tropicos.org) (consulté le 10 janvier 2018)
• (en) Référence Tropicos : Staurogyne pseudocapitata Champl. (+ liste sous-taxons) (consulté le 10 janvier 2018)
• (en) Référence UICN : espèce Staurogyne pseudocapitata Champl. Champl. (Syn. de Staurogyne pseudocapitata) (consulté le 10 janvier 2018)
• Spécimen, trouvé en mars 1962 par René Letouzey au sud de Nkoulaze, à 35 km au sud de Bengbis (Muséum national d'histoire naturelle).