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Seismic Experiment for Interior Structure

Seismic Experiment for Interior Structure (SEIS) (en français ; « Expérience sismique pour la structure interne ») est un sismomètre et le principal instrument scientifique à bord de l'atterrisseur martien InSight lancé le et ayant atterri le . L'instrument a été déployé à la surface de Mars le . Le SEIS devrait fournir des enregistrements des séismes martiens, permettant aux chercheurs de développer des cartes de la structure interne profonde en 3 dimensions. Une meilleure compréhension de la structure interne de Mars mènera à une meilleure compréhension de la Terre, de la Lune et des corps planétaires rocheux en général.

Animation du sismomètre soulevé par le bras robotique et placé à la surface de Mars.

SEIS a détecté des tremblements de terre dans la Cerberus Fossae (en) en 2019.

Vue d'ensemble

Depuis les années soixante, des missions de survols et d'atterrissages de Mars pour recueillir des données scientifiques ont été effectués, mais des études sismologiques de qualité (qui fourniraient des informations détaillées sur l'intérieur de Mars) n'ont pas encore pu être réalisées.

Seuls deux corps astronomiques (la Terre et la Lune) ont été étudiés de cette manière, et on espère que l'étude de Mars contribuera à la compréhension de la géologie de tous les corps planétaires rocheux.

SEIS travaille en synergie avec d'autres instruments embarqués sur InSight, que sont le Heat Flow and Physical Properties Package, le Rotation and Interior Structure Experiment et le Temperature and Winds for InSight.

Missions précédentes

Les deux atterrisseurs Viking, dans les années 1970, avaient un sismomètre (une partie est visible entre les cibles d'étalonnage), mais les problèmes de déploiement ont entravé l'exploitation de données géologiques significatives.

Bien que deux sismomètres aient été posés sur Mars lors des missions Viking en 1976, les résultats s'avérèrent limités[1]. Les sismomètres des deux sondes Viking étaient montés sur l'atterrisseur, ce qui signifie qu'ils captaient également les vibrations provenant des diverses opérations de l'atterrisseur ou causées par le vent[2]. En outre, le sismomètre de l'atterrisseur Viking 1 ne s'est pas déployé correctement[3].

Les données du sismomètre ont été utilisées pour estimer l'épaisseur de la croûte géologique martienne, entre 14 et 18 km sur le site de l'atterrisseur Viking 2[4]. De manière inattendue, le sismomètre a également détecté la pression des vents martiens, complétant ainsi les résultats de la météorologie[4] - [5]. Un seul candidat possible pour un tremblement de terre martien a été enregistré, bien qu'il n'ait pas été confirmé en raison des limites de la conception et de l'interférence d'autres sources de vibrations telles que le vent. Malgré ces limitations, il était clair que des tremblements de terre importants et de grande ampleur n'ont pas été détectés[6].

Caractéristiques techniques

Les composants du sismomètre SEIS : de gauche à droite un des capteurs très large bande (VLB), le berceau permettant de compenser les irrégularités du terrain et la sphère contenant les capteurs VLB.

Le Seismic Experiment for Interior Structure (SEIS, expĂ©rience sismique pour la structure intĂ©rieure) est un sismomètre Ă  trois axes, N-S, E-O et vertical, qui prendra des mesures prĂ©cises des sĂ©ismes et autres activitĂ©s internes sur Mars, afin de mieux comprendre l'histoire de la planète et la conformation de sa structure. L'instrument, qui a une masse totale de 29,5 kg, est composĂ© des capteurs sismiques, associĂ©s Ă  des capteurs de tempĂ©rature, un boĂ®tier Ă©lectronique pour l'acquisition des donnĂ©es, un système de dĂ©ploiement et un logiciel chargĂ© de faire fonctionner l'ensemble.

Capteurs très large bande

Le cĹ“ur de l'instrument est constituĂ© par des capteurs très large bande VBB (Very Broad Band), capables de percevoir des ondes sismiques dont la frĂ©quence est comprise entre 0,001 et 10 hertz (3 dans le schĂ©ma 5). Ce sont trois pendules d'une très grande sensibilitĂ©, chacun destinĂ© Ă  la mesure des mouvements du sol dans un des trois axes. Le pendule est constituĂ© par une masselotte de 120 grammes reliĂ©e par un ressort Ă  un pivot (52 Ă— 1,8 cm) comprenant une partie fixe et une partie mobile. Le rĂ´le du pivot est de fournir une articulation complètement libre, sans frottement. Les deux parties du pivot sont reliĂ©es entre elles par 20 petites lamelles flexibles, rĂ©alisĂ©es en cuivre et en bĂ©ryllium, d'une Ă©paisseur de 20 micromètres. Le mouvement du sol est transmis Ă  la masselotte puis au le ressort et Ă  la partie mobile du pivot, dont le dĂ©battement maximum, limitĂ© par des butĂ©es, est de 50 micromètres. Le ressort joue un rĂ´le central dans la fonction du pendule. Il ramène celui-ci Ă  sa position de dĂ©part après chaque vibration. Il est rĂ©alisĂ© dans un matĂ©riau très spĂ©cifique (Thermelast), qui prĂ©sente la particularitĂ© de conserver de manière quasi inchangĂ©e ses dimensions en cas de variation de la tempĂ©rature. Par contre, celle-ci induit une modification de son magnĂ©tisme qui, s'il a peu d'influence sur Mars — pratiquement dĂ©pourvue de champ magnĂ©tique — nĂ©cessite toutefois l'emport d'un magnĂ©tomètre par la sonde spatiale pour corriger les mesures. Ă€ l'autre extrĂ©mitĂ© du ressort, la masselotte se dĂ©place entre deux parties fixes. Le dĂ©battement de la masselotte est très limitĂ© : en thĂ©orie 150 micromètres, mais la flexibilitĂ© du pivot n'autorise que 50 micromètres. La distance entre la masselotte et la partie fixe qui l'encadre est mesurĂ©e Ă  l'aide d'un capteur baptisĂ© DCS (Differential Capacity Sensor). Celui-ci est constituĂ© d'Ă©lectrodes qui enregistrent les variations de capacitĂ© Ă©lectrique entre les deux parties. Ces capteurs peuvent enregistrer des dĂ©placements de l'ordre de 50 picomètres (soit un dixième du rayon de l'atome d'hydrogène). Les informations fournies par le DCS sont transmises Ă  un mĂ©canisme de contre-rĂ©action, constituĂ© de bobines dans lesquelles circule un courant proportionnel au dĂ©placement mesurĂ©. Ces bobines gĂ©nèrent un champ magnĂ©tique, qui va crĂ©er une force de rappel qui neutralise le dĂ©placement de la masselotte. Ce sont les courants gĂ©nĂ©rĂ©s par ce dernier dispositif qui est exploitĂ© pour mesurer les mouvements sismiques. Plusieurs dispositifs sont utilisĂ©s pour rĂ©gler de manière fine le pendule. La partie mobile du pivot est centrĂ©e grâce Ă  un dispositif Ă©lectromĂ©canique afin de tenir compte de la force de gravitĂ© sur le site d'atterrissage (sur Mars elle est en moyenne de 3,71 m/s2, mais elle n'est pas complètement uniforme). Des capteurs thermiques mesurent les variations de tempĂ©rature. Un mĂ©canisme, baptisĂ© TDCM (dispositif de contrĂ´le thermique), reposant sur des mĂ©taux ayant des coefficients de dilatation diffĂ©rents, compense les changements de tempĂ©rature qui, malgrĂ© les multiples barrières thermiques isolant les pendules de l'extĂ©rieur, pourront faire varier la tempĂ©rature interne de 10 °C[7].

  • SchĂ©ma de l'instrument SEIS
  • SchĂ©ma 5 : sismomètre SEIS
    Schéma 5 : sismomètre SEIS : 1 et 7 : Bouclier éolien et thermique - 2 : Points d'accrochage - 3 : Capteurs large bande - 4 : Sphère étanche et sous vide - 5 : Pieds réglables (x3) - 6 : Capteurs courte période (x3).
  • SchĂ©ma 6 : Coupe du sismomètre SEIS.

Enceinte sous vide

Les capteurs très large bande sont enfermĂ©s dans une enceinte sphĂ©rique, de la taille approximative d'un melon, rĂ©alisĂ©e en titane (4 dans le schĂ©ma 5). Un vide très poussĂ© est maintenu dans la sphère. Cette sphère remplit plusieurs objectifs. Ă€ la surface de Mars, la tempĂ©rature connaĂ®t de grandes amplitudes, les diffĂ©rences de tempĂ©rature quotidiennes pouvant atteindre 70 °C. Or, la prĂ©sence de gaz gĂ©nère des ponts thermiques entre l'extĂ©rieur et les capteurs, qui accroissent le bruit et affectent la prĂ©cision des mesures. D'autre part, l'impact des molĂ©cules de gaz sur le pendule servant de capteur affecte Ă©galement son mouvement. Enfin, en faisant le vide, on Ă©carte les poussières qui pourraient affecter les parties mobiles. Ă€ l'atterrissage sur Mars, la pression Ă  l'intĂ©rieur de la sphère est de 0,01 millibar et ne devrait pas excĂ©der 0,1 millibar Ă  la fin de la mission primaire, au bout de 2 ans[8] - [9].

Capteurs courte période

SEIS comprend Ă©galement trois capteurs sismiques de courte pĂ©riode (6 dans le schĂ©ma 5) SP (Short Period) fixĂ©s sur la paroi extĂ©rieure de la sphère. Ceux-ci sont optimisĂ©s pour mesurer les ondes sismiques dont la frĂ©quence est supĂ©rieure Ă  1 hertz. Leur bande passante, comprise entre 0,1 et 40 Hz, recouvre en partie celle des capteurs Ă  large bande et permet d'assurer une redondance partielle en cas de dĂ©faillance de ceux-ci. Moins sensibles que les capteurs large bande, ils sont placĂ©s Ă  l'extĂ©rieur de la sphère, sous vide. Ce sont des capteurs beaucoup plus compacts (taille proche de celle d'une pièce d'un euro) et la masselotte, dont les dĂ©placements sont mesurĂ©s Ă  l'aide d'Ă©lectrodes, a une masse d'un gramme. Ils sont usinĂ©s dans une galette de silicium, par gravure ionique. Ils sont associĂ©s Ă  des capteurs de tempĂ©rature, utilisĂ©s pour corriger les mesures effectuĂ©es[10].

Berceau réglable et enveloppe thermique

L'enceinte thermique interne RWEB.
En haut de cette photo, la cloche externe chargée d'isoler l'instrument des phénomènes météorologiques notamment du vent.

Pour pouvoir ĂŞtre utilisĂ©, l'instrument SEIS doit ĂŞtre posĂ© sur le sol. Le terrain sur Mars ne peut ĂŞtre aplani, or l'instrument SEIS, pour fonctionner de manière optimale, doit ĂŞtre posĂ© sur la surface la plus plate possible et la plus proche de l'horizontale. Pour remplir cet objectif, la sphère est posĂ©e sur un berceau comportant trois pieds (5 dans le schĂ©ma 5) dont la hauteur peut ĂŞtre modifiĂ©e Ă  l'aide de moteurs Ă©lectriques. Le dĂ©battement maximal de 6 centimètres permet de compenser un dĂ©nivelĂ© de 15° avec une prĂ©cision de 0,1°. Les irrĂ©gularitĂ©s locales (caillou, creux), si elles ne sont pas dĂ©tectĂ©es avant la dĂ©pose de l'instrument sur la surface, seront traitĂ©es en modifiant la position de l'instrument, Ă  l'aide du bras tĂ©lĂ©commandĂ©[11]. L'ensemble formĂ© par la sphère et le berceau est enfermĂ© dans une structure hexagonale, baptisĂ©e RWEB (Remote Warm Enclosure Box). qui forme une barrière thermique par rapport Ă  l'extĂ©rieur. Celle-ci comporte deux couches d'isolant de type mylar, sĂ©parĂ©es par un espace de moins de deux centimètres, dans lequel on laisse s'insinuer volontairement le dioxyde de carbone, qui est le constituant principal de l'atmosphère de la planète. Celui-ci, qui a tendance Ă  stagner dans les espaces confinĂ©s, contribue Ă  renforcer l'isolation thermique. Au sommet de l'enveloppe thermique Ă©merge une tige terminĂ©e par une petite sphère (2 dans le schĂ©ma 5), qui permet au bras tĂ©lĂ©commandĂ© d'InSight de dĂ©placer l'instrument. Un cadran solaire temporaire, dessinĂ© autour de cette poignĂ©e, permet de dĂ©terminer avec prĂ©cision l'angle du sismomètre par rapport au Nord avant que l'instrument ne soit placĂ© sous la coiffe de protection dĂ©crite ci-dessous[12]. L'ensemble de l'instrument pèse environ kg et consomme environ 1 watt[13].

La cloche Ă©olienne et thermique WTS

Sur Terre, les sismomètres sont placĂ©s dans des sites très calmes, loin des perturbations atmosphĂ©riques et caractĂ©risĂ©s par des variations thermiques faibles, tels que des caves ou des puits de mine. Pour approcher ces conditions sur Mars, il n'est pas possible d'enterrer l'instrument. Le JPL a conçu une cloche (1 et 7 dans le schĂ©ma 5), dont le rĂ´le est de bloquer le vent et la poussière et d'attĂ©nuer et filtrer les changements de tempĂ©rature. Cette cloche est composĂ©e d'une partie supĂ©rieure, de forme hĂ©misphĂ©rique et rĂ©alisĂ©e en nid d'abeilles d'aluminium, posĂ©e sur trois pieds et d'une jupe extensible, qui permet d'englober l'instrument, en Ă©pousant les irrĂ©gularitĂ©s du terrain. Cette jupe est rĂ©alisĂ©e en cotte de maille mĂ©tallique, qui allie la souplesse et la masse nĂ©cessaires pour remplir son office. La cloche a un diamètre de 69 centimètres et une hauteur de 35 centimètres. Sa masse de 12 kilogrammes devrait lui permettre de rĂ©sister Ă  la poussĂ©e de vents de 60 Ă  100 mètres par seconde (jusqu'Ă  360 km/h)[14].

Électronique

Hormis l'électronique chargée d'amplifier les signaux, l'électronique permettant à l'instrument de fonctionner se trouve pratiquement dans sa totalité dans un boîtier (l'eBOX) installé avec l'avionique sous le pont principal de la sonde spatiale. L'électronique permet à l'instrument de fonctionner en continu de manière autonome, même lorsque l'atterrisseur est en sommeil. Le boîtier contient neuf cartes, dont deux destinées respectivement à l'alimentation électrique et à la gestion et au contrôle des données, trois destinées à la gestion des capteurs VLB. Une carte gère les capteurs courte période et une autre le système de mise à niveau du sismomètre[15].

Les contributeurs

La réalisation de SEIS est supervisée par le CNES, avec la participation de l'Institut de physique du globe de Paris (IPGP), concepteur général de l'instrument, de la SODERN, fabricant des capteurs très large bande, l'École polytechnique fédérale de Zurich (ETH), qui fournit l'électronique, l'Institut Max-Planck de recherche sur le Système solaire (MPS) qui fournit le berceau, l'Imperial College London, qui fournit les capteurs courte période, l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (ISAE) et le Jet Propulsion Laboratory (cloche et sphère). La première version de SEIS a été embarquée sur la sonde spatiale soviétique Mars 96, détruite au cours de son lancement, puis a été successivement proposé sur plusieurs projets de mission qui n'ont pas abouti : NetLander, ExoMars (dans l'ensemble instrumental Humboldt), International Lunar Network, SELENE-2[16].

Premiers résultats

En , de premiers résultats sont publiés, à partir des données de SEIS, la sonde ayant capté plus de 400 vibrations dont une vingtaine de séismes de magnitude comprise entre 3 et 4. Ces données ont permis d'évaluer l'activité sismique de Mars comme étant intermédiaire entre celles de la Lune et de la Terre. Ainsi, il a été observé que l'activité sismique de Mars est suffisamment importante pour enregistrer des ondes P et S, ce qui pourra par la suite permettre d'étudier la composition interne et notamment du noyau, pour déterminer s'il possède une phase liquide. Ces données ont aussi permis d'étudier la composition de la lithosphère martienne, plus hydratée que celle de la Lune. Les relevés du magnétomètre ont aussi pu compléter les observations satellitaires[17].

En juillet 2021, a Ă©tĂ© publiĂ© dans la revue Science une sĂ©rie de 3 articles prĂ©sentant des modĂ©lisations plus prĂ©cises de la structure interne de Mars grâce aux donnĂ©es de SEIS. Une première discontinuitĂ© a pu ĂŞtre mise en Ă©vidence au sein de la croĂ»te Ă  10 km de profondeur, sĂ©parant une couche altĂ©rĂ©e, peut-ĂŞtre par des Ă©coulements d'eau, d'une couche de roche non altĂ©rĂ©e. Une seconde discontinuitĂ©, Ă  20 km de profondeur, et une potentiel troisième Ă  38 km, ont de plus Ă©tĂ© identifiĂ©es.. La limite croute/manteau correspond Ă  l'une de ces deux discontinuitĂ©s. La minĂ©ralogie du manteau martien est dĂ©jĂ  relativement bien connue grâce aux mĂ©tĂ©orites, ce qui a permis de "traduire" la vitesse mesurĂ©e des ondes sismiques en tempĂ©rature. Cela a permis de dĂ©terminer le gradient de tempĂ©rature et donc le flux de chaleur traversant le manteau. Ce flux est environ 4 fois plus faible que celui de la Terre. Le manteau martien prĂ©sente de plus une lithosphère très Ă©paisse de près de 500 km.

Il a Ă©tĂ© confirmĂ© que la noyau ferreux est liquide, comme le prĂ©disait des modèles existant ayant analysĂ© la rotation de la planète. Son rayon a pu ĂŞtre mesurĂ© : 1 830 km, ce qui correspond Ă  la gamme haute des estimations qui avaient Ă©tĂ© faites jusque lĂ [18]. Cela implique que ce noyau est sans doute moins dense que prĂ©vu et contiendrait des Ă©lĂ©ments lĂ©gers, comme du carbone, de l'hydrogène ou de l'oxygène.

Notes et références

  1. SEIS/INSIGHT: One year prior launch for Seismic Discovery on Mars. Lognonne, Philippe; Banerdt, W. Bruce; Giardini, Domenico; Pike, W. Tom; Christensen, Ulli; Knapmeyer-Endrun, Brigitte; de Raucourt, Sebastien; Umland, Jeff; Hurst, Ken; Zweifel, Peter; Calcutt, Simon; Bierwirth, Marco; Mimoun, David; Pont, Gabriel; Verdier, Nicolas; Laudet, Philippe; Smrekar, Sue; Hoffman, Tom. 19th EGU General Assembly, EGU2017, proceedings from the conference held 23–28 April 2017 in Vienna, Austria., p.9978
  2. Don L. Anderson et al., « Signatures of Internally Generated Lander Vibrations », Journal of Geophysical Research, vol. 82, no 28,‎ , p. 4524–4546; A–2 (DOI 10.1029/JS082i028p04524, Bibcode 1977JGR....82.4524A, lire en ligne)
  3. « Happy Anniversary, Viking Lander | Science Mission Directorate », sur science.nasa.gov (consulté le )
  4. (en) Elizabeth Howell 2012-12-06T21:22:41Z, « Viking 2: Second Landing on Mars », sur Space.com (consulté le )
  5. (en) Yosio Nakamura et Don L. Anderson, « Martian wind activity detected by a seismometer at Viking2 lander 2 site », Geophysical Research Letters,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  6. Ralph D. Lorenz, Yosio Nakamura et James R. Murphy, « Viking-2 Seismometer Measurements on Mars: PDS Data Archive and Meteorological Applications », Earth and Space Science, vol. 4, no 11,‎ , p. 681–688 (DOI 10.1002/2017EA000306, Bibcode 2017E&SS....4..681L)
  7. « L'instrument SEIS - Les pendules très large bande (VBB) », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  8. « L'instrument SEIS - La sphère », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  9. Lognonné 2015page 26.
  10. « L'instrument SEIS - Sismomètre SP », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  11. « L'instrument SEIS - Mise à niveau », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  12. « L'instrument SEIS - Le bouclier thermique RWEB », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  13. « SEIS : configuration pour Mars », Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  14. « L'instrument SEIS - La cloche éolienne et thermique WTS », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  15. « L'instrument SEIS - Boitier-electronique », sur SEIS de l'IPGP, Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  16. « SEIS : histoire d'un sismomètre planétaire », Institut de physique du globe de Paris (consulté le ).
  17. « Les premiers résultats de la mission Insight sur Mars », sur France Culture (consulté le ).
  18. « La mission InSight épluche Mars », sur Journal du CNRS, (consulté le )
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