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Rue du Général-Leclerc (Bois-Colombes)

La rue du Général-Leclerc est un des axes principaux de Bois-Colombes[1]. Elle suit le tracé de la route départementale D13.

Rue du Général-Leclerc
Image illustrative de l’article Rue du Général-Leclerc (Bois-Colombes)
La rue des Aubépines, aujourd'hui rue du Général-Leclerc, prise de la passerelle de la rue d'Estiennes-d'Orves. L'immeuble de coin existe toujours.
Situation
Coordonnées 48° 54′ 56″ nord, 2° 16′ 10″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Ville Bois-Colombes
Début Rue des Bourguignons
Fin Rue du Maréchal-Joffre à Colombes, rue Henry-Litolff
Morphologie
Type Rue
Histoire
Anciens noms Chemin départemental 13
Chemin des Bellevues
Rue des Aubépines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
(Voir situation sur carte : Île-de-France)
Rue du Général-Leclerc
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-Seine
(Voir situation sur carte : Hauts-de-Seine)
Rue du Général-Leclerc

Situation et accès

La rue des Aubépines au croisement de la rue Henry-Litolff et de la rue du Maréchal-Joffre.

Partant de l'est, la rue longe la ligne de Paris-Saint-Lazare à Ermont - Eaubonne. Elle s'en détache à hauteur de la rue d'Estienne-d'Orves, passe devant la place de la République et l'hôtel de ville puis rencontre la rue Géraldy et l'avenue Gambetta (anciennement avenue Centrale). Elle se termine au croisement de la rue du Maréchal-Joffre et de la rue Henry-Litolff.

La rue du Général-Leclerc est accessible par la gare de Bois-Colombes.

Origine du nom

La passerelle de la rue des Aubépines, depuis lors remplacée par le pont de la rue d'Estienne-d-Orves.

Elle rend hommage à Philippe Leclerc de Hauteclocque, libérateur de Paris[2].

La Villa des Aubépines, voisine, a toutefois conservé la mémoire de son ancien nom.

Historique

La rue des Aubépines, au passage à niveau de la rue des Bourguignons.

Ancien « chemin des Bellevues » puis « rue des Aubépines »[3], elle prend sa nouvelle dénomination par délibération du . Le tracé de cette rue est à l'origine fait pour longer la voie ferrée, franchie par passage à niveau, et par la passerelle des Aubépines qui permettait de rejoindre la voie Verte, aujourd'hui rue d'Estienne-d'Orves[4].

Ce passage à niveau très fréquenté nécessitait une mise en tranchée des lignes ferroviaires, ce qui est fait à partir de 1936[5].

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

Notes et références

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