Rue Étienne-Marey
La rue Étienne-Marey est une voie du 20e arrondissement de Paris, en France.
20e arrt Rue Étienne-Marey
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Situation | |||
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Arrondissement | 20e | ||
Quartier | Saint-Fargeau | ||
DĂ©but | 5, place Octave-Chanute | ||
Fin | 47, rue Alphonse-Penaud | ||
Morphologie | |||
Longueur | 294 m | ||
Largeur | 12 m | ||
Historique | |||
DĂ©nomination | 1915 | ||
GĂ©ocodification | |||
Ville de Paris | 3421 | ||
DGI | 3394 | ||
GĂ©olocalisation sur la carte : Paris
GĂ©olocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris
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Images sur Wikimedia Commons | |||
Situation et accès
Plaque de la rue.
La rue Étienne-Marey est une voie publique située dans le 20e arrondissement de Paris. Elle débute au 5, place Octave-Chanute et se termine au 47, rue Alphonse-Penaud.
Origine du nom
Elle porte le nom du physiologiste Étienne-Jules Marey (1830-1904).
Historique
Cette voie ouverte par un décret du prend sa dénomination actuelle par un arrêté du .
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
- No 4 : Hélène Vivet, voisine et amie de Karl Schönhaar, agent de liaison des Bataillons de la jeunesse, est arrêtée puis déportée au camp de concentration de Ravensbrück en 1942[1].
- No 6 : Karl Schönhaar, réfugié allemand membre des Jeunesses communistes est arrêté alors que son appartement servait depuis 1940 de dépôt d’armes et d’atelier de réparation. Organisateur des premiers attentats antinazis à Paris, il est fusillé au Mont-Valérien en 1942[1]. Sa mère, Odette Pisler, qui vivait dans le même appartement, est également arrêtée et déportée à Ravensbrück[2].
Références
- « Quand la colère monte… à Ménilmontant », sur www.parisrevolutionnaire.com, (consulté le ).
- Albert Ouzoulias, Les Bataillons de la Jeunesse, Paris, Éditions sociales, , 495 p. (ISBN 2-209-05372-2), p. 290-293.
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