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Reiki

Le reiki (éˆæ°ŁïŒéœŠæ°ŁïŒéœŠæ°—, [ˌreÉȘki]) est une mĂ©thode de soins non conventionnelle d'origine japonaise, fondĂ©e sur des soins dits « Ă©nergĂ©tiques » par imposition des mains. Elle a Ă©tĂ© fondĂ©e par le Japonais Mikao Usui Ă  la suite d’une rĂ©vĂ©lation mystique qui l’aurait conduit Ă  la fin du XIXe siĂšcle Ă  recevoir les « clefs de la guĂ©rison ».

Reiki en japonais.

L'efficacité du reiki[1] - [2] - [3] est étudiée par la communauté scientifique, qui considÚre la pratique dans l'ensemble comme une pseudo-médecine et comme une pratique dont l'efficacité n'est pas concluante[4] - [5] - [6], les effets positifs allégués résultant de l'effet placebo[7].

Face Ă  un risque avĂ©rĂ© de dĂ©rive sectaire, la « nĂ©buleuse » du reiki est placĂ©e, en France, sous observation par la Mission interministĂ©rielle de vigilance et de lutte contre les dĂ©rives sectaires. Il existe aussi le danger de l’utilisation exclusive du reiki Ă  la place de traitements reconnus efficaces dans le cas de maladies graves[7].

Description et historique

Mikao Usui (臌äș• 甕男, 1865–1926).
Chujiro Hayashi (林 ćż æŹĄéƒŽ, 1880-1940).

La mĂ©thode de soin appelĂ©e reiki fut mise au point au Japon par son fondateur, l'homme d'affaires japonais Mikao Usui (1865-1926) Ă  partir de 1922, peut-ĂȘtre mĂȘme avant 1918. Selon Idris Lahore, c'est au cours d'une « expĂ©rience de mort imminente »[8] qu'il aurait pris conscience de ses dons de guĂ©risseur. Mikao Usui meurt cependant moins de six ans aprĂšs la crĂ©ation de sa mĂ©thode, laissant derriĂšre lui un hĂ©ritage assez embryonnaire.

MĂ©thode

Bien qu'il existe aujourd'hui diffĂ©rentes maniĂšres d'apprĂ©hender et de prĂ©senter le reiki, selon la plupart de ses praticiens, l'un des buts du reiki est de soulager les souffrances, d'apporter un calme mental, une paix intĂ©rieure et un bien-ĂȘtre en gĂ©nĂ©ral. Il se fonderait sur le concept du taoĂŻsme chinois ch'i ainsi que celui du zen et des arts martiaux japonais ki, « Ă©nergie » (l'Ă©quivalent du ch'i chinois et du ki japonais est le prĂąna dans la philosophie indienne), le « souffle vital » qui circule partout dans la nature, notamment dans le corps, permettant son fonctionnement et reliant les ĂȘtres entre eux.

Certains praticiens associent le reiki à l'activation des 7 chakras qui est une conception issue du tantrayana et du yoga traditionnel indien. Ce systÚme de l'Inde est connu au Japon à travers le systÚme bouddhiste, lequel s'appuie sur 5 centres subtils correspondant aux 5 éléments, et le ShintÎ/Taoïsme, comme l'acupuncture et le shiatsu, sur un systÚme de 3 centres subtils[9]. Il existe des points communs avec les méridiens de la médecine traditionnelle chinoise[10].

Le systĂšme de progression dans le reiki serait aussi inspirĂ© du shintoĂŻsme japonais, dont il reprend en partie le systĂšme d'initiation lequel est dĂ©nommĂ© « reikiki » ou « reiki-kanjƍ » dans le ShintĂŽ traditionnel[11]. Le symbole utilisĂ© par le maĂźtre pour confĂ©rer l'initiation (dai-komyo) renvoie au mantra shingon Komyo (lumiĂšre brillante) en relation avec la doctrine bouddhique de la claire lumiĂšre fondamentale[12] lequel est reprĂ©sentĂ© dans cette tradition par un mandala dans lequel le bouddha Vairocana est entourĂ© des couleurs de l'arc-en-ciel avec en pĂ©riphĂ©rie 23 lunes blanches comprenant des lettres sanscrites.

Les principaux symboles du reiki transmis dans les enseignements des deuxiÚme et troisiÚme degrés sont : le Cho Ku Rei, le Sei He Ki, le Hon Sha Ze Sho Nen, le Dai Ko Myo. Ils sont tracés ou visualisés durant la séance de reiki[13]. Dans la pratique, l'imposition des mains est censée transmettre « de l'énergie », c'est-à-dire « une force en mouvement ».

Reiki usui

Initiation des différents degrés au reiki

Pour devenir praticien, il est nécessaire de recevoir une initiation ou harmonisation par un « maßtre enseignant de reiki usui ».

Le passage des niveaux est généralement payant, le « maßtre reiki » exécute un « rituel initiatique » ou « harmonisation » au cours duquel certains symboles seront appris à l'élÚve en fonction de son niveau, et un processus d'« équilibrage énergétique » sera « éveillé » et « stimulé ». Nita Mocanu explique que le maßtre doit « ramoner le canal » de l'élÚve, afin qu'il puisse diffuser cette « énergie cosmique »[14].

Gokai : les cinq préceptes ou principes (kyogi) du reiki usui

Ils ont été énoncés par Mikao Usui.

Juste aujourd’hui (aujourd'hui mĂȘme) (ä»Šæ—„ă ă‘ăŻ, Kyƍ dake wa) :

  1. Ne te mets pas en colĂšre (æ€’ă‚‹ăȘ, Okoru na ou Ikaru na)
  2. Ne te fais pas de souci (濃配すăȘ, Shinpai suna)
  3. Sois rempli de gratitude (æ„ŸèŹă—ăŠ, Kansha shite)
  4. Accomplis ton devoir avec intĂ©gritĂ© (èĄŒă‚’ćŠ±ă‚, Gyƍ o hage me ou Gƍ o hage me)
  5. Sois bon avec les autres (äșșにèŠȘćˆ‡ă«, Hito ni shinsetsu ni)

Le reiki dans le monde

En Grande-Bretagne, le Middlesex Hospital a recruté un praticien reiki en 2005[15].

Évaluation scientifique

La plupart des Ă©tudes sur le reiki, basĂ©es sur des essais cliniques, Ă©chouent Ă  prouver son efficacitĂ©. Par exemple « nombre d'entre elles comparent des patients ayant choisi d'ĂȘtre traitĂ©s par le reiki Ă  d'autres qui ne font l'objet d'aucun traitement. Dans ce genre de conditions, tout rĂ©sultat positif peut vraisemblablement rĂ©sulter de l'effet placebo ou de l'attention accordĂ©e aux patients, et pas nĂ©cessairement de la mĂ©thode reiki elle-mĂȘme. L'analyse critique des preuves existantes ne montre pas que le reiki soit efficace[7]. »

En France, le ministĂšre de la SantĂ© indique sur son site Internet que « dans la trĂšs grande majoritĂ© des cas, ces pratiques de soins non conventionnelles (PSNC) n’ont pas fait l’objet d’études scientifiques ou cliniques montrant leurs modalitĂ©s d’action, leurs effets, leur efficacitĂ©, ainsi que leur non dangerositĂ©. Lorsqu’elles sont utilisĂ©es pour traiter des maladies graves ou en urgence Ă  la place des traitements conventionnels reconnus, elles peuvent donc faire perdre des chances d’amĂ©lioration ou de guĂ©rison aux personnes malades[16]. » La Miviludes considĂšre ces techniques de soin comme « porteuses de risques et non Ă©prouvĂ©es »[16].

Trois revues ont prĂ©sentĂ© des Ă©lĂ©ments favorables au reiki dans le cadre d'Ă©tudes sur le mieux-ĂȘtre, en s'appuyant sur son possible effet placebo[17] - [18] - [19].

Critiques

Risque de dérive sectaire

Des questions sur le risque d'emprise mentale ont été soulevées : certaines critiques craignent l'exploitation de l'espoir et de la peur des malades pour de l'argent, pouvant éventuellement mettre en danger la vie de certains patients nécessitant des soins sérieux et qui ne pratiqueraient que le reiki au détriment de la médecine[20].

En France, en raison de « faits inquiĂ©tants », l'UNADFI (Union Nationale des Associations de DĂ©fense des Familles et de l'Individu victimes de sectes), dans un texte de 2002 intitulĂ© « le Reiki et ses dĂ©rives », demande aux personnes souhaitant pratiquer le reiki de « distinguer les pratiques sĂ©rieuses et enrichissantes des pratiques manipulatoires »[21]. La Mission interministĂ©rielle de vigilance et de lutte contre les dĂ©rives sectaires (Miviludes) cite le reiki dans son rapport de 2005 dans le chapitre L’Irrationnel et pratiques thĂ©rapeutiques[22]. Elle note un grand retour de la pensĂ©e magique et la croyance que les miracles pourraient ĂȘtre une alternative possible Ă  des mĂ©thodes thĂ©rapeutiques conventionnelles[23]. DĂ©signant entre autres le reiki, elle remarque Ă©galement que des « groupes, souvent d’inspiration orientaliste et revendiquant parfois le titre de thĂ©rapies Ă©nergĂ©tiques entretiennent ainsi l’idĂ©e d’apparence plus pragmatique selon laquelle chacun pourrait devenir son propre guĂ©risseur, aprĂšs initiation. Mais la croyance selon laquelle il serait donnĂ© Ă  chacun, aprĂšs formation accĂ©lĂ©rĂ©e, de transmettre ou de recevoir ce pouvoir de canalisation d’une « Ă©nergie vitale universelle » promue force de guĂ©rison, compose elle aussi une vision bien peu rationnelle de la mĂ©decine ; parce qu’elle repose sur un fondement dĂ©nuĂ© de toute objectivitĂ© scientifique, elle peut d’autant plus facilement dĂ©boucher sur des dĂ©rapages Ă©ventuels, ainsi qu’en attestent certains tĂ©moignages de pratiques de guĂ©rison Ă  distance, voire par tĂ©lĂ©phone, actuellement, dĂ©veloppĂ©es par certains adeptes du reiki[22] ». À nouveau, dans son rapport de 2016-2017, la Miviludes note : « l’absence de reconnaissance par l’État des formations et des diplĂŽmes dĂ©livrĂ©s (
) pour le reiki (
) peut induire un amateurisme de la part de certains pseudo-thĂ©rapeutes. D’autant que n’importe qui peut se dĂ©clarer (
) « maĂźtre reiki » et enseigner ces techniques. » Elle ajoute : « Ces techniques font d'ailleurs leur apparition dans quelques Ă©tablissements de santĂ© avec tous les risques que cela peut reprĂ©senter pour les patients (dĂ©stabilisation, perte de chance de guĂ©rison)[24]. »

Selon le docteur Jarvis, du National Council Against Health Fraud (en), la littérature sur le reiki présente des informations et des faits inexacts ou faux, et explique aux praticiens comment contourner la loi afin de se protéger de la réglementation et dégager leur responsabilité[25].

Pour le mĂ©decin criminologue et spĂ©cialiste des sectes Jean-Marie Abgrall, « Dans le champ des mĂ©decines Ă©nergĂ©tiques qui posent question, d’autres mĂ©thodes de soins [comme le reiki], appellent Ă  la plus grande prudence. [...] Face Ă  l’augmentation des demandes d’information et des tĂ©moignages Ă  charge recueillis par les associations de terrain sur cette mouvance en particulier, celles-ci appellent les pouvoirs publics Ă  se montrer particuliĂšrement vigilants Ă  l’égard des dĂ©rives que la pratique du reiki pourrait engendrer[26] ».

En 2017, la Mission interministĂ©rielle de vigilance et de lutte contre les dĂ©rives sectaires a consacrĂ© un chapitre entier de son rapport annuel au reiki[16]. La mission signale notamment l'usage de mĂ©thodes d'emprise psychologique classiques : « valoriser la victime pour mieux asseoir l’emprise du gourou thĂ©rapeute. Il s’agira de convaincre l’adepte qu’il est exceptionnel et que pour aller mieux et retrouver son Ă©nergie, sa joie de vivre et tout son potentiel, il devra se sĂ©parer de son conjoint, se couper de ses amis, et surtout suivre des stages, gĂ©nĂ©ralement coĂ»teux, mais nĂ©cessaires pour accĂ©der au bien-ĂȘtre. [...] Petit Ă  petit la relation va se baser sur l’admiration du patient envers son thĂ©rapeute, qui pourra imposer toutes ses exigences, allant jusqu’à la soumission totale de l’adepte qui aura subi des pressions rĂ©itĂ©rĂ©es afin d’altĂ©rer son jugement »[16].

Audrey Keysers de la Miviludes, estime qu'en 2019 « S’agissant du reiki, la mĂ©thode est mentionnĂ©e dans plus de 300 signalements qui nous sont adressĂ©s sur les trois derniĂšres annĂ©es ». De mĂȘme, le Gemppi Ă  Marseille, le Caffes dans le Nord-pas-de-Calais, Secticide Ă  Verdun, les associations de prĂ©vention contre l’emprise sectaire ont toutes reçu des tĂ©moignages de dĂ©rives liĂ©es au reiki[27].

Parmi les faits divers qui ont marquĂ© l'opinion publique, le voit la condamnation de Luce Barbe aprĂšs plus de dix ans de procĂšs pour abus de faiblesse, aprĂšs que la « maĂźtresse reiki » a embrigadĂ© une vingtaine de personnes psychologiquement affaiblies pour les faire travailler gratuitement dans son exploitation en Ă©change de compensations occultes. En fuite, elle est arrĂȘtĂ©e dans la forĂȘt de BrocĂ©liande dans le Morbihan en [27].

Absence de formation médicale des « soignants »

L'absence de formation et de rĂ©gulation des praticiens dans le domaine du reiki pose Ă©galement des problĂšmes : cette discipline n'est encadrĂ©e par aucune autoritĂ©, et n'importe qui peut se proclamer « praticien en reiki » sans la moindre formation (« accessible sans diplĂŽme particulier » selon la fiche Rome K1103 de PĂŽle Emploi[28]). Certains instituts privĂ©s proposent toutefois des formations, mais leur diplĂŽme n'a aucune valeur institutionnelle. Ainsi, « il est possible de devenir maĂźtre reiki en trois ou quatre stages de formation accĂ©lĂ©rĂ©e pendant les week-ends, aux tarifs progressifs de 120 Ă  1500 euros, suivant le degrĂ© d’initiation »[26]. Ainsi, « Pour les promoteurs du reiki, il serait possible aprĂšs une formation accĂ©lĂ©rĂ©e de transmettre ou de recevoir le pouvoir de canalisation d’une « Ă©nergie vitale universelle ». [...] Il est possible de devenir maĂźtre reiki en trois ou quatre stages de formation accĂ©lĂ©rĂ©e les week-ends. Certains tĂ©moignages font Ă©tat de sĂ©ances de guĂ©rison Ă  distance et dans certains cas par tĂ©lĂ©phone ou visioconfĂ©rence »[16]. Cette facilitĂ© Ă  monter en grade fait partie pour la Miviludes de la stratĂ©gie sectaire de nombreuses mouvances de cette technique : « On fait Ă©galement miroiter Ă  l’adepte la possibilitĂ© de devenir lui-mĂȘme « praticien » voire formateur, ce qui est en soi trĂšs valorisant et rĂ©confortant pour une personne en perte de repĂšres »[16].

En quĂȘte de respectabilitĂ©, la nĂ©buleuse du reiki a inventĂ© « un environnement institutionnel avec des fĂ©dĂ©rations destinĂ©es Ă  faire oublier que ces pratiques ne sont pas reconnues par les AutoritĂ©s sanitaires et qu’ils interviennent en dehors de tout cadre lĂ©gal. Ils Ă©ditent des chartes ou des codes de dĂ©ontologie, non contraignants dĂšs lors qu’il n’existe pas d’ordre professionnel reconnu par l’État »[16]. Cependant, selon la journaliste Constance Vilanova, « cette nĂ©buleuse manque de cadre et ouvre les portes Ă  des charlatans voire des manipulateurs et gourous »[27].

Notes et références

  1. (en) Shamini Jain et Paul J. Mills, « Biofield Therapies: Helpful or Full of Hype? A Best Evidence Synthesis », International Journal of Behavioral Medicine, vol. 17, no 1,‎ , p. 1–16 (ISSN 1070-5503 et 1532-7558, DOI 10.1007/s12529-009-9062-4, lire en ligne, consultĂ© le )
  2. (en) Chris A. Roe, Charmaine Sonnex et Elizabeth C. Roxburgh, « Two meta-analyses of noncontact healing studies », Explore (New York, N.Y.), vol. 11, no 1,‎ , p. 11–23 (ISSN 1878-7541, PMID 25457442, DOI 10.1016/j.explore.2014.10.001, lire en ligne, consultĂ© le )
  3. (en) Lucrezia Mangione, « Mental Health Wellness and Biofield Therapies: An Integrative Review », Issues in Mental Health Nursing vol 38,‎ (lire en ligne)
  4. « Le reiki dans le traitement de l'anxiété et de la dépression », sur www.cochrane.org (consulté le )
  5. (en-GB) NICE, « Reiki - Cochrane Database of Systematic Reviews | Evidence search | NICE », sur www.evidence.nhs.uk (consulté le )
  6. (en) M. S. Lee, M. H. Pittler et E. Ernst, « Effects of reiki in clinical practice: a systematic review of randomised clinical trials », International Journal of Clinical Practice, vol. 62, no 6,‎ , p. 947–954 (ISSN 1742-1241, DOI 10.1111/j.1742-1241.2008.01729.x, lire en ligne, consultĂ© le )
  7. Simon Singh, Edzard Ernst, MĂ©decines douces : info ou intox ?, Cassini, 2014, 408 p. (OCLC 886619515) (ISBN 978-2-84225-208-3).
  8. (en) Idris Lahore, Reiki tö qi, les origines ancestrales du reiki, Editions Ecce, , p. 50.
  9. Pascal Treffainguy, Reiki, médecine mystique de Mikao Usui, Tome 6 et 7. (ISBN 978-1980971337 et 978-1980971764)).
  10. « Les vrais bienfaits et les pouvoirs du reiki », sur LExpress.fr, (consulté le )
  11. (en) The Ritual World of Buddhist “Shinto”, Fabio Rambelli, Japanese Journal of Religious Studies, 2002
  12. The Komyo Shingon - The Mantra of Light, All Energy-Therapies Web
  13. (en) Harish Agrawal, Unveiling The Secrets Of Reiki, Diamond Pocket Books, 1996, p.84
  14. EnquĂȘte exclusive du 10 mai 2009, Chamans, gourous : nouveaux sorciers, nouveaux dangers, M6 ; extrait Ă  9 min 40 s
  15. (en) Leon Jaroff, « Brits Endorse Flakey Reiki », sur Time, .
  16. Mission interministĂ©rielle de vigilance et de lutte contre les dĂ©rives sectaires, « Rapport d’activitĂ© 2016 et premier semestre 2017 », sur www.derives-sectes.gouv.fr, .
  17. (en) Shamini Jain, Richard Hammerschlag, Paul Mills et Lorenzo Cohen, « Clinical Studies of Biofield Therapies: Summary, Methodological Challenges, and Recommendations », Global Advances in Health and Medicine, vol. 4, no Suppl,‎ , p. 58–66 (ISSN 2164-957X, PMID 26665043, PMCID PMC4654788, DOI 10.7453/gahmj.2015.034.suppl, lire en ligne, consultĂ© le )
  18. (en) Lucrezia Mangione, Diane Swengros et Joel G. Anderson, « Mental Health Wellness and Biofield Therapies: An Integrative Review », Issues in Mental Health Nursing, vol. 38, no 11,‎ , p. 930–944 (ISSN 1096-4673, PMID 28968143, DOI 10.1080/01612840.2017.1364808, lire en ligne, consultĂ© le )
  19. (en) Maxime Billot, Maeva Daycard, Chantal Wood et Achille Tchalla, « Reiki therapy for pain, anxiety and quality of life », BMJ supportive & palliative care, vol. 9, no 4,‎ , p. 434–438 (ISSN 2045-4368, PMID 30948444, DOI 10.1136/bmjspcare-2019-001775, lire en ligne, consultĂ© le )
  20. (en) Some Thoughts about "CAM" Beliefs
  21. Le reiki et ses dérives, UNADFI
  22. Rapport 2005 de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), page 51.
  23. Elle note ainsi qu'une « tendance s’affirme autour de la pensĂ©e magique et de la quĂȘte de spiritualitĂ© accompagnĂ©e de la foi dans le miracle apte Ă  guĂ©rir et Ă  sauver des vies. » Les pratiques de santĂ© basĂ©es sur l'irrationnel, Miviludes
  24. Rapport annuel d'activité 2016-2017, Miviludes, page 37 et 39
  25. (en) William T. Jarvis, Ph.D., Reiki, National Council Against Health Fraud
  26. Jean-Marie Abgrall, « Sectes et pseudo-médecines - 2Úme partie », sur pseudo-medecines.org.
  27. Constance Vilanova, « Bienvenue dans la nébuleuse reiki », sur Vice, .
  28. « Fiche Rome K1103 - DĂ©veloppement personnel et bien-ĂȘtre de la personne », sur www.chambre-syndicale-sophrologie.fr.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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