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Puy de Seycheuse

Le puy de Seycheuse est un sommet culminant Ă  1 647 mètres d'altitude dans les monts du Cantal. Il se situe entre les vallĂ©es de l'Alagnon (commune de Laveissière) et de la Santoire (commune de Lavigerie).

Puy de Seycheuse
Vue du sommet depuis Peyre Gary lors de la floraison des genĂŞts.
Vue du sommet depuis Peyre Gary lors de la floraison des genĂŞts.
GĂ©ographie
Altitude 1 647 m[1]
Massif Monts du Cantal
(Massif central)
CoordonnĂ©es 45° 07′ 09″ nord, 2° 45′ 19″ est[1]
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Cantal
Ascension
Voie la plus facile variante du GR 400
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Puy de Seycheuse
GĂ©olocalisation sur la carte : Cantal
(Voir situation sur carte : Cantal)
Puy de Seycheuse

Toponymie

Le nom du sommet est issu de la présence de roches.

GĂ©ographie

Vue du puy de Seycheuse depuis la vallée de la Santoire.

Le puy de Seycheuse se situe dans la partie orientale du stratovolcan du Cantal en position dominante au-dessus de la vallée de l'Alagnon. Comme beaucoup de sommets proches (puy Bataillouse, téton de Vénus, Bec de l'Aigle), il est formé d'un empilement de coulées trachyandésitiques[2], témoins des phases d'activité très violentes qu'a connues le stratovolcan entre 8,5 et 6,5 Ma.

Lorsque les conditions météorologiques sont favorables, on découvre tous les monts du Cantal ainsi que les monts Dore.

Comme le puy Mary ainsi que d'autres sommets auvergnats, le sommet est surmonté d'une croix.

Du haut de ses 1 647 mètres d'altitude, il domine :

  • Ă  l'ouest, le vallon de Vassivière, qui est inclinĂ© dans sa direction, et son buron ;
  • au sud, la forĂŞt des cĂ´tes de l'Or ;
  • Ă  l'est, la vacherie de Peyre Gary ainsi que son buron incrustĂ© de croix latine, et le hameau de La Bourgeade ;
  • au nord-est, la forĂŞt de la Tria (ou En Golneuf) ainsi que son buron (l'un des plus vieux) ;
  • au nord, le col de Cabre oĂą la Santoire prend sa source.

Références

  1. « Carte IGN classique » sur Géoportail.
  2. Pierre Nehlig et Hervé Leyrit, « Guide du Cantal », BRGM (consulté le )
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