Pierre Berger (homme d'affaires)
Pierre Berger était un homme d'affaires français né le à Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine, et mort le [2] à Rueil-Malmaison[3]. Il fut notamment président-directeur général du groupe Eiffage de 2012 à 2015.
Naissance | |
---|---|
Décès |
(Ă 47 ans) Rueil-Malmaison |
Nom de naissance |
Pierre Alain Berger[1] |
Nationalité | |
Formation | |
Activité |
Distinction |
---|
Biographie
Pierre Berger entre en 1986 à l'École polytechnique[2] - [1] puis suit les cours de l'École nationale des ponts et chaussées[4], étant membre du corps des ingénieurs des ponts et chaussées[2].
Il dirige un bureau d'études qui est racheté par Ménard Soltraitement en 1995, entreprise elle-même rachetée par Vinci. Il y poursuit sa carrière en devenant en 2004 directeur général de la division Grands Projets[4].
En 2010, il est choisi pour succéder à Jean-François Roverato à la tête du groupe Eiffage[5]. Il occupe d'abord la fonction de directeur général délégué à partir de 2011, puis celle de directeur général en , et devient président du conseil d’administration en .
Il meurt subitement d'une crise cardiaque, à l'âge de 47 ans.
Notes et références
- Ouvrir la « Page d’accueil », sur le site de la bibliothèque de l’École polytechnique, Palaiseau (consulté le ), sélectionner l’onglet « Catalogues » puis cliquer sur « Famille polytechnicienne », effectuer la recherche sur « Pierre Berger », résultat obtenu : « Berger, Pierre Alain (X 1986) ».
- De la promotion X1986, cf. « Fiche de Pierre Berger », sur le site de l’association des anciens élèves et diplômés de l'École polytechnique (l’AX), Paris (consulté le ) ; y est notamment indiqué le grade de Pierre Berger dans la fonction publique : « ingénieur des ponts et chaussées ». Il est en outre précisé qu'il est mort le .
- État civil sur le fichier des personnes décédées en France depuis 1970
- Isabelle Rey-Lefebvre, « Mort de Pierre Berger, l’homme de la rigueur chez Eiffage », Le Monde,‎ (lire en ligne).
- Jean-Yves Guerin, « Pierre Berger succède à Roverato à la tête d'Eiffage », Le Figaro,‎ (lire en ligne).