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Ozonothérapie

L'ozonothérapie ou cure d'ozone également dénommée thérapie à l'ozone est une technique de médecine non conventionnelle qui prétend traiter différentes affections et symptômes par l'insufflation dans l'organisme d'un mélange d'ozone et d'oxygène. Cette « thérapie » auto-proclamée est utilisée en dentisterie, chirurgie, rhumatologie, cardiologie, gynécologie, urologie, dermatologie, orthopédie, etc.

Ozonothérapie
Image illustrative de l’article Ozonothérapie
Informations générales
Administration AutohĂ©mothĂ©rapie (de)[N 1]
Insufflations vaginales, vésicales, auriculaires et rectales
Injections sous-cutanées, intramusculaires, intraarticulaires et intervertébrales
Enveloppements ozonés
Eau ozonée
Huile ozonée
Solution saline
Données physico-chimiques
Formule brute O2/O3

Bien que les études épidémiologiques permettant de démontrer ou infirmer son alléguée efficacité curative demeurent encore insuffisantes, on dispose néanmoins de quelques pistes permettant de suggérer son potentiel de propriétés antidouleurs, antiinflammatoires et antiinfectieuses[1]. Par ailleurs, des méta-analyses, publiées dans des revues renommées, confirment son utilité dans le traitement de la hernie discale lombaire[2] - [3] - [4].

Aucune des variantes de l'ozonothérapie n'est agréée par les grandes agences gouvernementales de régulation des pratiques thérapeutiques (FDA[5] ou EMEA).

Historiquement cette méthode n'est pas nouvelle et a été pratiquée avec un certain succès depuis la fin du XIXe siècle[6] - [7]. Cette approche thérapeutique connaît un regain d'intérêt depuis la fin du XXe siècle[8], au vu de l'évolution des générateurs d'ozone médical et la possibilité d'établir des protocoles rigoureux en calibrant les doses d'ozone.

Historique

En France

Les propriétés thérapeutiques de l'ozone ont été recherchées en France en 1894, par les docteurs Labbé et Oudin, qui en ont fait un ouvrage[9].

En Italie

Le Pr Velio Bocci[10] - [11] est l'auteur de plusieurs ouvrages sur l'ozonothérapie[12] - [13].

Principes et utilisations

Risques et précautions

L’ozone produit par les générateurs est un gaz toxique qui ne doit jamais être inhalé directement. Pour assurer son innocuité, tout usage à visée prétendument « curative » ne doit être opéré que sous stricte surveillance médicale, par des praticiens consciencieux, prudents et dûment formés à cette approche, selon un protocole strict, précis et rigoureux, défini de concert par les associations internationales qui veillent à sa bonne exécution.

Jusqu’en 2001, les informations portant sur les risques et les complications liés à la pratique de l’ozonothérapie se basent essentiellement sur la thèse de travail rédigée en 1982 par M.-T. Jacobs[14]. Celui-ci s’appuie notamment sur une étude menée par ses soins en 1980. L’auteur y fournit le calcul de ses résultats en se fondant principalement sur les données fournies par 23 % des 2 815 ozonothérapeutes contactés à cet effet qui ont accepté de participer à ses investigations[H 1].

Par ailleurs, la technique dénommée DIV (Direct Intravenous Injection), qui consiste à injecter l'ozone « directement[N 2] » dans la circulation sanguine, est formellement décriée par la plupart des instances précitées, car elle comporte des risques secondaires graves, dont une possible embolie[17] ainsi que d'autres éventuelles conséquences adverses indésirables[15], voire potentiellement létales. L’AAO publie un avertissement circonstancié à cet égard[18]. En outre, la Société européenne d’oxygénothérapie à l’ozone[N 3], se basant sur l’étude statistique de Jacobs par rapport aux incidents liés à l’ozone[14], proscrit toute forme d’injection endoveineuse d’O2/O3 apparentée à la DIV[N 2] depuis 1986 en raison des risques iatrogéniques liés à l’embolie gazeuse[16].

Indications, posologies et contre-indications

Les indications revendiquées par les partisans de l’ozonothérapie gravitent autour du triptyque suivant : douleur — inflammation — infection[1] - [19].

Selon la société allemande d’ozonothérapie[N 4] - [20], les contre-indications théoriques se limiteraient aux conditions suivantes : déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase (favisme, anémie hémolytique aiguë), hyperthyroïdie sévère, leucémie et épilepsie[N 5] - [21].

Les données collectées par rapport à une utilisation durant la grossesse ou l’allaitement demeurant encore insuffisantes, ces deux conditions constituent donc encore une contre-indication de principe prononcée à titre essentiellement prophylactique[22].

Par ailleurs, selon le Centre national de recherche en médecine complémentaire et alternative affilié à l’université de Tromsø, l’ozonothérapie ne présenterait aucune incompatibilité connue ou identifiée par rapport au recours parallèlement conjoint à d’autres médications — conventionnelles ou non — et/ou traitements connexes[22].

Techniques d’application

On peut distinguer une dizaine de modes d'administration :

  • insufflations rectales[23] ;
  • injections intramusculaires ;
  • auto-transfusions, sous deux formes d'autohĂ©mothĂ©rapie (de)[N 1] ;
  • eau ozonĂ©e ;
  • solution saline[23]
  • « ozone enveloppement ( sac, bagging) » ;
  • huile ozonĂ©e ;
  • injections intra-articulaires[24] ;
  • par inhalation, mais uniquement après barbotage prĂ©alablement intermĂ©diaire dans de l'huile d'olive (Ă©tape indispensable), car l'ozone ne doit en aucun cas ĂŞtre directement respirĂ©.
  • injections intraveineuses ou intra-artĂ©rielles sous l'appellation DIV[N 2] pour Direct Intravenous Injection, une pratique non seulement dangereuse et davantage assimilĂ©e au dopage qu'Ă  l'ozonothĂ©rapie mais, qui plus est, formellement dĂ©conseillĂ©e par la majoritĂ© des professionnels de la branche[18] en raison des risques d'effets secondaires graves[15], dont une possible embolie[17].
  • transdermique, mais d'autres noms pour cette technique sont thĂ©rapie Ă  l'ozone hyperthermique, thĂ©rapie Ă  l'ozone transcutanĂ©e, thĂ©rapie Hocatt ou sauna Ă  l'ozone. Le patient est placĂ© dans une chambre Ă  vapeur chaude (un sauna Ă  l'ozone) et l'ozone est introduit dans le corps Ă  travers la peau. La transpiration facilite l'arrivĂ©e de l'ozone dans la circulation sanguine, dans le système lymphatique et dans les tissus adipeux[25].

Cette thérapie utilise l'ozone, soit en contact direct pour traiter les affections dermatologiques, éventuellement par bain, ou encore par auto-transfusion appelée autohémothérapie[N 1], soit par inhalation d'un mélange gazeux oxygène-ozone (pour traiter les affections pulmonaires) après barbotage dans de l'huile car il ne peut être respiré directement.

L'ozone est un oxydant très rĂ©actif, environ 10 000 fois plus actif que l'oxygène, toxique par inhalation en concentration très faible, infĂ©rieure Ă  0,1 ppm.

Odontologie et soins bucco-dentaires

Application de l'ozone pour les soins dentaires.

L'ozone s'utilise également en odontologie pour détruire les bactéries responsables des caries[26]. Concernant les caries dentaires toutefois, une étude de la Cochrane Collaboration établissait en 2009 : « il y a un besoin fondamental en preuves supplémentaires de rigueur et qualité appropriées avant que l’utilisation de l’ozone puisse être acceptée dans la pratique dentaire courante des soins fondamentaux ou puisse être considérée comme une alternative viable aux méthodes courantes pour la prise en charge et le traitement des caries dentaires[27]. » Il existe des appareillages de traitement des caries à l'ozone pour équiper des cabinets dentaires, cette méthode est testée au département de médecine dentaire de l'université de Berne[28].

Analyses

Cette thérapeutique est controversée[29] - [30], d'autant plus qu'elle a pu être récupérée par des charlatans[29] - [31] - [32] - [33], et n'est pas suffisamment étudiée, tant sur le plan de son efficacité que sur celui de ses dangers potentiels.

Autres utilisations

Elle serait aussi utilisée comme dopage – ce qui, aux yeux de certains, peut passer pour une preuve d'efficacité – comme le montre la mise en examen du coureur cycliste Rémy Di Grégorio pendant le Tour de France cycliste 2012[34] ou la suspension de Stefan van Dijk en 2013 par la Commission antidopage belge après avoir utilisé cette thérapie[35]. Toutefois, il n'existe actuellement aucun moyen scientifique de démontrer qu'une personne a pratiqué l'ozonothérapie par insufflation rectale ou vaginale.

Critiques et zététique

Le rédacteur en chef du site web Science-Based Medicine (en) en la personne de l'oncologue David H. Gorski — qui, dans un article dont il rédige les fondements, se base isolément sur les traitements alternatifs proposés par une clinique privée basée en Allemagne — écrit que l’ozonothérapie ainsi que l’immense majorité des médecines non conventionnelles sont à reléguer, selon lui, au rang de « vastes fumisteries[N 6] - [30] ».

En 1997, le biochimiste Saul Green publie un communiqué dans la Scientific Review of Alternative Medicine (en), arguant qu’au moins cinq décès auraient été répertoriés dont la survenue, d'après cet auteur, serait à mettre en équation avec les différentes techniques liées à l’oxygénothérapie[29].

LĂ©gislation

Dans un communiqué publié en avril 2019, la FDA décide d’interdire tout recours à l’ozone à usage médical, arguant « qu’il n’existe en l’état aucune donnée fiable permettant d’attester de son efficacité, de son innocuité et de son absence de iatrogénèse ». Cette même instance stipule dans la même lancée que « l’ozone est un gaz toxique, dépourvu de la moindre application médicale qui pût s’avérer utile ou reconnue en qualité de thérapie spécifique, adjuvante ou même prophylactique[5] ».

Bibliographie

  • (de) Ozon-Therapie, Ozon-Eigenbluttherapie, Sauerstoff-OzonEigenbluttherapie, Oxyontherapie, Hyperbare Ozontherapie : Zusammenfassender Bericht des Arbeitsausschusses "Ă„rztliche Behandlung" des Bundesausschusses der Ă„rzte und Krankenkassen ĂĽber die Beratungen gemäß §135 Abs.1 SGB V, GeschäftsfĂĽhrung des Arbeitsausschusses „Ärztliche Behandlung“ des Bundesausschusses der Ă„rzte und Krankenkassen, , 103 p. (lire en ligne [PDF])

Notes et références

Références bibliographiques

  1. KBV 2001, p. 17-18 [lire en ligne]

Notes

  1. . Dans le cas d'un traitement « autohĂ©mothĂ©rapeutique (de) » couplĂ© Ă  l'ozone, le sang du patient est d'abord prĂ©levĂ© puis mitigĂ© Ă  un mĂ©lange gazeux de type oxygène-ozone avant d'ĂŞtre rĂ©injectĂ© dans la circulation du donneur par le biais du mĂŞme canal et de la mĂŞme perfusion. Il existe de ce fait deux formes d'applications distinctes :
    1. la « petite autohémothérapie » où seul l'équivalent d'une petite seringue est prélevé, mélangé à l'ozone puis réinjecté à tout autre endroit du corps
    2. la « grande autohémothérapie » durant laquelle une quantité plus importante de sang est prélevée par perfusion (généralement à partir du creux de l'avant-bras) puis redirigée vers une poche en plastique ou en verre avant d'être mélangée à de l'ozone médicale puis de retourner dans la circulation sanguine par le biais de la même perfusion demeurée en place tout du long du processus rétroactif qui, généralement, dure environ 20 à 40 minutes
  2. Par injection « directement » dans la circulation sanguine relative Ă  la DIV, un procĂ©dĂ© unanimement dĂ©criĂ© par les associations internationales officielles d'ozonothĂ©rapeutes, il convient ici de comprendre en l'occurrence : sans procĂ©der Ă  la petite ou grande autohĂ©mothĂ©rapie (de) intermĂ©diaire[N 1], une Ă©tape prĂ©liminaire pourtant indispensable puisqu'elle permettrait, censĂ©ment, de se prĂ©munir contre tout potentiel risque iatrogène, Ă  l'image de ceux autrefois rĂ©pertoriĂ©s[15] - [16], quand le protocole d'usage — a priori incontournable — avait Ă©tĂ© bafouĂ© de manière irresponsable.
  3. La Société européenne d’oxygénothérapie à l’ozone a depuis lors été renommée en Société internationale d’oxygéno-ozonothérapie (SIOOT : Società Scientifica di Ossigeno-Ozono Terapia). Son siège se situe en Italie, à Bergame
  4. Ärztliche Gesellschaft für Ozon-Anwendung in Prävention und Therapie[20].
  5. La contre-indication par rapport Ă  l’épilepsie repose uniquement sur la nĂ©cessitĂ© de pouvoir garantir une immobile prolongĂ©e durant la perfusion autohĂ©mothĂ©rapeutique (de)[N 1].
  6. « Pure quackery » dans le texte[30].

Références

  1. (pt) « Clinical Effectiveness of Ozone Therapy / Mapa de EvidĂŞncias – Efetividade ClĂ­nica da Ozonioterapia MĂ©dica » [« Carte graphique rĂ©pertoriant les Ă©lĂ©ments de preuves en rapport avec l’efficacitĂ© clinique de l’ozonothĂ©rapie mĂ©dicale »], VHL : Virtual Health Library (en), SĂŁo Paulo, MTIC : MinistĂ©rio da CiĂŞncia, Tecnologia e Inovações (pt) / BIREME : Centro Latino-Americano e do Caribe de Informação em CiĂŞncias da SaĂşde (pt) / OPS : Organisation panamĂ©ricaine de la santĂ© / OMS ; Organisation mondiale de la santĂ© / TCIM : Traditional, Complementary and Integrative Medicine « VHL Evidence Map »,‎ 4 octobre 2019, mise Ă  jour : 5 mai 2020 (lire en ligne)
    « La plupart des preuves disponibles se concentrent sur la thérapie à l’ozone appliquée à la réduction de la douleur. D’autres données évaluent l’effet du potentiel curatif de l’ozonothérapie portant sur la réduction de l’inflammation et des infections. »
  2. (en) Magalhaes, Francisco N. De Oliveira; Dotta, Luciana; Sasse, Andre; Teixera, Manoel J.; Fonoff, Erich T., « Ozone therapy as a treatment for low back pain secondary to herniated disc: a systematic review and meta-analysis of randomized controlled trials. », Pain Physician 15 (2): E115-129,‎ (ISSN 2150-1149, lire en ligne)
  3. (en) Steppan, Jim; Meaders, Thomas; Muto, Mario; Murphy, Kieran J., « A metaanalysis of the effectiveness and safety of ozone treatments for herniated lumbar discs. », Journal of vascular and interventional radiology: JVIR 21 (4): 534-548,‎ (ISSN 1535-7732, lire en ligne)
  4. (en) Maria Laura Rosato, Marco Mainini, Margherita Luongo, Luigi Mascolo, « Oxygen-ozone therapy: our experience in the treatment of hard-root conflicts » [« Oxygénothérapie : récapitulatif expérimental par rapport au traitement ciblant des problématiques de longue date »], Ozone Therapy, vol. 1,‎ , p. 34 (DOI 10.4081/ozone.2016.6271, résumé, lire en ligne [PDF])
  5. [CITE: 21CFR801.415] (en) CFR – Code of Federal Regulations – Title 21, vol. 8, Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis, USFDA — Food and Drug Administration (lire en ligne), Part 801 – Labeling – Subpart H – Special Requirements for Specific Devices – Sec. 801.415 Maximum acceptable level of ozone, chap. 1 – Subchapter H – Medical Devices (« Food and drugs »)
  6. quelques exemples.
  7. Dr A Caratzalis, « Applications thérapeutiques de l'ozone », Gazette Hebdomadaire de Médecine et de Chirurgie, vol. 3, no 6,‎ , p. 93-94 (lire en ligne)
  8. (en) (it) Bibliographie (en italien et en anglais).
  9. Paul Oudin et Donatien Labbé, Sur l'ozone considéré au point de vue physiologique et thérapeutique, Gauthier-Villars et fils, , 6 p. (OCLC 763381942, lire en ligne)
  10. (en) Roberto Quintero, ISCO : International Scientific Committee of Ozonetherapy (legal advisor), The pioneer of the modern ozone therapy : Professor Velio Bocci, Potenzi Attiva : societĂ  scientifica per la ricerca, l'analisi bioetica e la divulgazione della medicina potenziativa, , 5 p. (lire en ligne [PDF])
  11. (en) Oxygen-ozone Therapy: a critical evaluation, p. 1-440, 2002, Kluwer Academic Publishers, Dordrecht.
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  16. (en) Velio Bocci, Iacopo Zanardi, Valter Travagli, « Oxygen/ozone as a medical gas mixture. A critical evaluation of the various methods clarifies positive and negative aspects », Medical Gas Research, vol. 1, no 6,‎ (PMID 22146387, PMCID 3231820, DOI 10.1186/2045-9912-1-6, résumé, lire en ligne [PDF])
    « It is clear that ozone can be administered with great flexibility but it should never be directly injected as a gas mixture in the circulatory vessels because of the risk of provoking oxygen embolism, given the fact that the gas mixture never contains less than 95% oxygen. »
  17. (en) « The AAO position on DIV (Direct I.V. injection of ozone/oxygen) », The American Academy of Ozonotherapy, AAO « Important Information on DIV »,‎ (lire en ligne)
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  21. (en) Velio Bocci, I. Zanardi, E. Borrelli, V. Travagli, « Reliable and effective oxygen-ozone therapy at a crossroads with ozonated saline infusion and ozone rectal insufflation », Journal of Pharmacy and Pharmacology (en), PubMed.gov, US National Library of Medicine, National Institutes of Health, NCBI Resources, vol. 64, no 4,‎ , pp. 482–489 (DOI 10.1111/j.2042-7158.2011.01427.x, rĂ©sumĂ©, lire en ligne)
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  26. « Ozonothérapie dentaire »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?)
  27. (en) Saul Green, « Oxygenation Therapy: Unproven Treatments for Cancer and AIDS », Scientific Review of Alternative Medicine (en), Prometheus Books,‎ (lire en ligne)
    Originellement rĂ©digĂ© en 1997, cet article a Ă©tĂ© initialement publiĂ© en 1998 avant d'ĂŞtre repris et mis en ligne par d'autres sites, dont la version prĂ©sentement consultable, datĂ©e du 5 mars 2007, rĂ©cupĂ©rĂ©e grâce Ă  Archive.org. Une copie en a Ă©galement Ă©tĂ© postĂ©e en date du 17 juin 2001 sur le site Quackwatch (en) : [lien alternatif].
  28. (en) David H. Gorski, « German alternative cancer clinics: Combining experimental therapeutics with rank quackery and charging big bucks for it », Science-Based Medicine (en),‎ (lire en ligne)
  29. (en) Aubrey Pilgrim et David Crawford, Scientific Review of Alternative Medicine, (lire en ligne), chap. 20 (« Quackery »).
  30. (en) « Quackbusters Inc.: Hot On The Heels Of Medical Hucksters », The Scientist magazine for the life sciences
  31. (en) « So what has ozone ever done for us? », The Guardian Unlimited.
  32. Laurent Telo et Emmanuel Versace, envoyés spéciaux à Marseille, « Tour de France : pour les enquêteurs, Rémy di Gregorio serait au cœur d'un réseau pratiquant l'ozonothérapie » Le Monde du 14 juillet 2012.
  33. « Van Dijk suspendu 8 ans pour ozonothérapie », sur rtbf.be,

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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