Nassima Bouaifer

Diplômée de l'École supérieure des beaux-arts d'Alger, après des études entre 1990 et 1995, en sculpture[1]. Ensuite, elle étudie également au HEC Montréal, une formation en création d’entreprise en 2006 [1].

Elle a dirigé la galerie d'art Golden Tulipe à Tunis[1]. À Montréal , elle a animé des ateliers et elle est coordonatrice du Centre artistique Power House et figure au conseil artistique de Montréal[1].

Elle a réalisé des sculptures à Bejaïa en 1997 et également à Tazmalt en 1998 et 1997[1].

En Algérie, elle a exposé en 2000 et en 2002[1]. Elle a réalisé deux expositions en Tunisie, à Tunis en 2002, à Djerba en 2004[1]. À Montréal, Nassima Bouaifer a présenté son exposition à la Maison du développement durable[2] - [3]sous le thème Le couloir des exilés durant le mois de mai 2015 [4], ce thème raconte la parcours des immigrants, dont cinquante-trois visages, sculptés en terre cuite, l'exposition exprime l'histoire et l'avenir, les origines et l'identité, les rêves, les espoirs des exilés, les origines et l'identité, le déracinement et le souvenir[4]. Ces visages étaient pris dans un filet de toile d'araignée[4].

• Alger en 1999[1].
• Tunis en 2001[1],
• Montréal en 2002, en 2005 , en 2009[1], en octobre 2014 au Salon des sculpteurs au Palais des congrès de Montréal dont le titre est Aux noms des cieux et de la mondialisation, l'exposition a été organisé par la Fonderie d’Art d’Inverness[5].

Le Musée national du Moudjahid à Alger et près du Mémorial du martyr (Alger), possède ses œuvres[1].

En 1999, Nassima Bouaifer a reçu le premier prix du sculpteur à Alger[1].