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Néchin

Néchin, anciennement appelée Ennechin et Ennechin-la-Royère[2], est une section de la commune belge d'Estaimpuis, située en Wallonie picarde et en Flandre romane dans la province de Hainaut.

Néchin
Néchin
Le quartier de l'église Saint-Amand.
Blason de Néchin
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la Belgique Belgique
Région Drapeau de la Région wallonne Région wallonne
Communauté Drapeau de la Communauté française de Belgique Communauté française
Province Drapeau de la province de Hainaut Province de Hainaut
Arrondissement Tournai-Mouscron
Commune Estaimpuis
Code postal 7730
Zone téléphonique 069
Démographie
Gentilé Néchinois(e)[1]
Population 2 053 hab. (30/12/2000)
DensitĂ© 290 hab./km2
Géographie
CoordonnĂ©es 50° 40′ nord, 3° 16′ est
Superficie 708 ha = 7,08 km2
Localisation
Localisation de Néchin
Localisation de Néchin au sein d'Estaimpuis
Géolocalisation sur la carte : Belgique
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Néchin
Géolocalisation sur la carte : Belgique
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Néchin
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
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Néchin
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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Néchin

    C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

    Géographie

    Néchin est délimité à l’ouest par la frontière française.

    Étymologie

    Néchin signifie « nouveau domaine »[3].

    Histoire

    Lors de la Seconde Guerre mondiale, les soldats allemands furent chassés par les Américains à la rue de l'Institut.

    Seigneurs de la Royère

    Sur le territoire de Néchin, il existait une seigneurie dite de la Royère, portant donc le même nom que le château de la Royère (voir ci-dessous). À la fin des XVIIe – XVIIIe siècles, les dits seigneurs n'habitent pas le château.

    Héraldique

    Blasonnement : Parti ; au 1 : de gueules aux 9 macles d'or accolés et aboutés ; au 2 : d'hermine.



    Patrimoine

    L'église Saint-Amand

    L'église, reconstruite après la guerre 1914-1918, a été consacrée le par Mgr Gaston-Antoine Rasneur, évêque de Tournai[5].

    De l'ancienne église, détruite par faits de guerre le [5], subsistent :

    • le portail sculptĂ© du XIIIe siècle ;
    • la chaire de vĂ©ritĂ© et la table de communion datĂ©s de 1866.

    Le château de la Royère

    Le château de la Royère.

    Hameaux et dépendances[6]

    Gongonne, Rouge-Pignon, Station, Sault, Petit-Tourcoing, Gibraltar, Bucquoy, Lobelrue, Lez-Rue, La Royère, Orchies, La Festingue.

    Habitants célèbres

    Un certain nombre d'habitants d'origine française[7] se sont installés dans cette commune pour des raisons fiscales, notamment :

    Galerie

    • Vue panoramique.
      Vue panoramique.
    • La grotte.
      La grotte.
    • NĂ©chin sous la neige.
      Néchin sous la neige.
    • Le château de NĂ©chin.
      Le château de Néchin.


    Notes et références

    1. Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 34.
    2. Abbé Jean-Joseph Expilly Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules, Volume 6, page 1067
    3. hainaut.be
    4. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.110 (lire en ligne).
    5. documentation in situ
    6. clochersdewallonie.be
    7. 2 800, selon rmc.fr, le 9 décembre 2012. Il faut bien noter que ce nombre est à mettre en relation avec l'ensemble de la population d'Estaimpuis, qui dépasse actuellement un peu les 10 000.
    8. Orange.fr qui cite le 9 décembre 2012 Les Échos, l'AFP, Le Parisien et L'Express.
    9. lesoir.be, jeudi 8 novembre 2012
    10. europe1.fr, 9 et 10 décembre 2012
    11. Cfdt-Auchan, 21 novembre 2011
    12. lavoixdunord.fr 11 septembre 2012
    13. sudouest.fr, 8 novembre 2012
    14. Cfdt-Auchan, 9 novembre 2012
    15. « Francis-Charles Pollet : un vaste corps de ferme au grand calme - Les très chères maisons belges de nos exilés fiscaux », sur capital.fr

    Voir aussi

    Articles connexes

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