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Mosquée Koca Mustafa Pacha

La mosquĂ©e Koca Mustafa Pacha (Koca Mustafa PaƟa Camii ou SĂŒnbĂŒl Efendi Camii, en turc) situĂ©e Ă  Istanbul, (Turquie) est une ancienne Ă©glise orthodoxe dont l’histoire remonte au Ve siĂšcle, transformĂ©e en mosquĂ©e par les Ottomans. L'Ă©glise initiale et son monastĂšre sont dĂ©diĂ©s Ă  saint AndrĂ© de CrĂšte et portent le nom de Saint-AndrĂ©-du-Jugement (en grec : ÎœÎżÎœáœŽ Ï„ÎżáżŠ áŒ‰ÎłÎŻÎżÏ… Î†ÎœÎŽÏÎ­ÎżÏ… ጐΜ Ï„áż‡ ÎšÏÎŻÏƒÎ”Îč). L'Ă©difice subit d'importantes modifications architecturales au cours des siĂšcles, particuliĂšrement lors de sa transformation en mosquĂ©e ainsi qu'aprĂšs le tremblement de terre de 1766. Elle est particuliĂšrement cĂ©lĂšbre en raison d'une chaine se trouvant encore de nos jours dans sa cour ayant le pouvoir miraculeux de dĂ©cider lors de procĂšs laquelle des deux parties disait la vĂ©ritĂ©.

Mosquée Koca Mustafa Pacha
Image illustrative de l’article MosquĂ©e Koca Mustafa Pacha
Présentation
Nom local Koca Mustafa PaƟa Camii
Culte Musulman
Type Mosquée
DĂ©but de la construction Ve siĂšcle
GĂ©ographie
Pays Drapeau de la Turquie Turquie
RĂ©gion Province d'Istanbul
Ville Istanbul
CoordonnĂ©es 41° 00â€Č 12″ nord, 28° 55â€Č 43″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : Turquie
(Voir situation sur carte : Turquie)
Mosquée Koca Mustafa Pacha

Situation

La mosquĂ©e se trouve dans le district de Fatih, dans le quartier de KocamustafapaƟa, sur l'avenue Koca Mustafa PaƟa (Koca Mustafa PaƟa Caddesi, en turc) Ă  Istanbul. Elle est situĂ©e Ă  l'intĂ©rieur des murs, Ă  proximitĂ© de l'Ă©glise Saint Jean de Stoudion, sur la septiĂšme colline de Constantinople, Ă  proximitĂ© de la mer de Marmara.

Histoire

PĂ©riode byzantine

L’église de Saint-AndrĂ© de CrĂȘte transformĂ©e en mosquĂ©e selon un dessin de A.G. Paspates en 1877.

Au dĂ©but du Ve siĂšcle, la princesse Arcadia, sƓur de l'empereur ThĂ©odose II, ordonne la construction du monastĂšre dĂ©diĂ© Ă  l'apĂŽtre saint AndrĂ© Ă  proximitĂ© de la porte de Saturnius[1]. L'Ă©difice porte alors le nom de Rodophylion (ÎĄÎżÎŽÎżÏ†ÏÎ»ÎčÎżÎœ, en grec)[2]. Il est transformĂ© en couvent de femmes et est mentionnĂ© pour la premiĂšre fois en 792. Le monastĂšre de Saint-AndrĂ© est alors connu sous le nom de Du jugement d'aprĂšs le nom du site Le Jugement (Îź ÎšÏÎŻÏƒÎčς) [1]. Saint AndrĂ© de CrĂšte meurt le en martyr, victime de son engagement contre la politique iconoclaste de l'empereur Constantin V. Il est enterrĂ© en ce lieu. AprĂšs le triomphe de l'Orthodoxie, la dĂ©dicace du monastĂšre, de saint AndrĂ© l'apĂŽtre passe Ă  Saint AndrĂ© de CrĂšte[3]. Pendant la seconde moitiĂ© du IXe siĂšcle, l'empereur Basile Ier reconstruit intĂ©gralement l'Ă©glise probablement endommagĂ©e par les guerres iconoclastes.

Vers 1284, la princesse ThĂ©odora PalĂ©ologue, niĂšce de l'empereur Michel VIII et Ă©pouse du protovestiaire Jean Raoul, reconstruit le monastĂšre et l'Ă©glise et se voit dĂ©cerner le titre de seconde ktētorissa[4]. Elle passe les quinze derniĂšres annĂ©es de sa vie au monastĂšre et y est enterrĂ©e. AbandonnĂ© pendant l'occupation latine de Constantinople, le monastĂšre est mentionnĂ©e par des pĂšlerins russes en 1350, puis de 1425 Ă  1450 qui mentionnent l'Ă©glise et affirment que saint AndrĂ© fait l'objet d'un culte de la part de gens victimes de maladies. Au dĂ©but du XVe siĂšcle, les environs du monastĂšre sont recouverts de vignobles, ce qui tĂ©moigne du dĂ©clin de la citĂ©[5].

PĂ©riode ottomane

Vue intĂ©rieure de la coupole refaite Ă  l’époque ottomane.

AprĂšs la prise de Constantinople par les Ottomans, le monastĂšre que les Turcs nomment Kızlar Kilisesi, ou « l'Ă©glise des femmes », continue Ă  ĂȘtre occupĂ© pendant quelque temps. Entre 1486 et 1491, le KapıcıbaĆŸÄ± ou « chef des gardiens de la porte », Koca Mustafa PaƟa transforme l'Ă©glise en mosquĂ©e[6]. Quelques annĂ©es plus tard, son beau-fils ƞeih Çelebi Efendi dote le monastĂšre d'un tekke pour les derviches de l'ordre Halveti[5]. Ces soufis sont alors dirigĂ©s par le maitre SĂŒnbĂŒl Efendi. Son mausolĂ©e (turbe, en turc), lieu de pĂšlerinage musulman, est situĂ© Ă  proximitĂ© de la mosquĂ©e qui en vint Ă  prendre son nom. Au dĂ©but du XVIe siĂšcle, une querelle Ă©clate entre ƞeih Çelebi Efendi et le sultan Selim Ier qui veut raser une partie du monastĂšre pour rĂ©utiliser ses matĂ©riaux dans la construction du palais de Topkapı. Mort en 1520,ƞeih Çelebi Efendi est enterrĂ© avec son Ă©pouse Safiye Hatun dans un mausolĂ©e situĂ© dans la cour de la mosquĂ©e, Ă  proximitĂ© du mausolĂ©e de Koca Mustafa PaƟa. Plusieurs cheiks de la communautĂ© soufie des Halvetis sont inhumĂ©s Ă  l'arriĂšre de la mosquĂ©e[5].

La légende de la Chaine du Jugement

Le cyprĂšs mort et la chaine « dĂ©tecteur de mensonge » (cachĂ©e dans un abri en bois). La mosquĂ©e se trouve Ă  droite tandis qu'Ă  l'arriĂšre-plan se trouve une fontaine dĂ©corĂ©e d'une fine colonnade. DerriĂšre les arbres se trouve le dĂŽme du mausolĂ©e (turbe) de SĂŒnbĂŒl Efendi.

De cette pĂ©riode date une lĂ©gende sur la prĂ©sence d'une chaine accrochĂ©e Ă  un cyprĂšs, et qui expliquerait le surnom "du jugement" attribuĂ© Ă  l'endroit. Cet arbre mort depuis longtemps, ainsi que la chaine qui lui est attachĂ©e, est entourĂ© d’un petit bĂątiment circulaire en bois dans la cour de la mosquĂ©e. On raconte que cette chaine, lancĂ©e lors de procĂšs entre deux personnes aux avis diffĂ©rents, venait frapper celle qui disait la vĂ©ritĂ©. Elle tire son origine d'une lĂ©gende selon laquelle, un Juif ayant empruntĂ© de l'argent Ă  un Turc fut citĂ© Ă  procĂšs par ce dernier pour non-remboursement de dette. Les deux furent amenĂ©s devant la chaine, mais avant que celle-ci ne soit lancĂ©e, le Juif remit une canne au Turc lui disant de bien la tenir. AprĂšs que la chaine eut Ă©tĂ© lancĂ©e elle vint toucher le Juif au front, au grand dĂ©sespoir du Turc qui Ă©tait certain de son bon droit. Le Juif, aprĂšs avoir repris sa canne rentra chez lui satisfait. En effet, la canne Ă©tait creuse et contenait la somme due. La chaine ne s'Ă©tait pas trompĂ©e en indiquant que l'argent se trouvait en possession du Turc, mĂȘme si la justice avait Ă©tĂ© flouĂ©e[7]. Cette lĂ©gende n'est que l'une des nombreuses lĂ©gendes entourant cette mosquĂ©e. Une autre lĂ©gende relate l'histoire de deux sultans jumeaux aux racines byzantines, hĂ©rauts d'une fusion des cultures et croyances grecques et ottomanes[8].

Architecture

Plan de la mosquĂ©e d’aprĂšs Van Millingen, Byzantine Churches of Constantinople (1912)

Il est difficile de retrouver le plan original de l’église en raison des modifications apportĂ©es lors de sa transformation en mosquĂ©e et des rĂ©novations qui suivirent le tremblement de terre de 1765[9]. Son axe va de l’est-nord-est vers l’ouest-sud-ouest. Au centre se trouve un *dĂŽme[N 1] flanquĂ© de trois *absides Ă  l’est, d’un *esonarthex et d’un *exonarthex Ă  l’ouest. Sur trois de ses cĂŽtĂ©s, le *dĂŽme central Ă©tait entourĂ© d’*arcs surmontĂ©s de *voutes en berceau. Lors de la transformation en mosquĂ©e, on transfĂ©ra l’entrĂ©e sur le cĂŽtĂ© nord oĂč les Ottomans construisirent une *arcade de style turc. Le *mihrab se trouve sur le cĂŽtĂ© sud, permettant aux fidĂšles de prier en direction de La Mecque. Du cĂŽtĂ© est, on a ajoutĂ© une salle dans laquelle se regroupent les femmes durant la priĂšre; du cĂŽtĂ© ouest se trouve une autre salle oĂč les *derviches du *tĂ©kkĂ© attenant Ă  la mosquĂ©e tenaient leurs rĂ©unions. L’aile nord a Ă©galement Ă©tĂ© structuralement modifiĂ©e et a Ă©tĂ© surmontĂ©e de *dĂŽmes de style turc[9].

AprĂšs le tremblement de terre de 1766, le *dĂŽme central a Ă©tĂ© refait; circulaire Ă  l’intĂ©rieur et octogonal Ă  l’extĂ©rieur, il repose sur un *tambour percĂ© de huit fenĂȘtres. Sur les cĂŽtĂ©s nord et sud de ce *dĂŽme central, deux demi-dĂŽmes furent ajoutĂ©s pendant la pĂ©riode ottomane. Tous deux sont percĂ©s de trois larges fenĂȘtres, lesquelles de l’extĂ©rieur ressemblent Ă  des lucarnes[9].

Tous les dĂŽmes reposent sur des *arcs. L’*arc de l’est supportant le *dĂŽme central se prolonge en une *voute en berceau oĂč Ă©tait placĂ© le *bĂȘma flanquĂ© par des niches qui conduisaient originellement au *prothesis et au *diakonikon[10]. Seul existe encore le *diakonikon surmontĂ© d’une *voute d’arĂȘtes; son *abside est percĂ©e d’une porte qui conduit Ă  la salle du tĂ©kkĂ©[10]. L’*arc de l’ouest est rempli par une *arcade triple reposant sur deux colonnes de marbre couronnĂ©es de *chapiteaux cubiques.

Le *narthex intĂ©rieur est divisĂ© en trois *baies. Celle du nord est couronnĂ©e par un *dĂŽme ottoman. Celle du centre est surmontĂ©e d’une *voute en berceau alors que celle du sud est surmontĂ©e d’une *voute d’arĂȘtes. Ces deux derniĂšres sont d’origine byzantine[10]. Le *narthex extĂ©rieur est divisĂ© en cinq *baies dont les trois du centre correspondent Ă  celles du *narthex intĂ©rieur. La baie centrale est surmontĂ©e d’une *coupole en segment circulaire reposant sur des *pendentifs. Il est sĂ©parĂ© du *narthex intĂ©rieur par des colonnes adossĂ©es Ă  des *pilastres. Ces deux baies sont surmontĂ©es de *voutes en arĂȘtes reposant sur des *chapiteaux ioniques qui ressemblent Ă  ceux utilisĂ©s dans l’église des Saints-Serge-et-Bacchus. Les deux baies externes sont surmontĂ©es par des *coupoles en segment circulaire semblables Ă  celui de la *baie centrale et sont sĂ©parĂ©es des autres par des *pilastres en forte saillie[11].

L’extĂ©rieur prĂ©sente une apparence nettement ottomane. Il est fait de pierres de taille polies, sans tuiles, et est coiffĂ© d’une *corniche moulurĂ©e en pierre. Au-dessus des *tambours des demi-dĂŽmes se trouvent Ă©galement des *corniches moulurĂ©es de pierre. La base carrĂ©e du *tambour ainsi que le *dĂŽme lui-mĂȘme sont recouverts de pierres polies alternant avec des rangs de trois briques enchĂąssĂ©es dans un Ă©pais lit de mortier[12]. Le *dĂŽme est Ă©galement couronnĂ© d’une niche faite de pierres alors que le toit est couvert de cuivre.

Le monastĂšre byzantin qui se trouvait sur les lieux a complĂštement disparu Ă  l’exception d’une citerne souterraine se trouvant au sud-est de la mosquĂ©e[5]. Un splendide cadre de porte byzantin, datant possiblement du VIe siĂšcle et appartenant Ă  la *medersa a Ă©tĂ© transportĂ© au MusĂ©e archĂ©ologique d’Istanbul.

En dĂ©pit de son importance architecturale et historique, cet Ă©difice n’a jamais fait l’objet d’une Ă©tude en profondeur.

Glossaire

  • Abside[13] : ExtrĂ©mitĂ© de la nef en forme de demi-cercle, voutĂ©e en forme de coquille.
  • Arc : Courbe que dĂ©crit une voute ou la partie supĂ©rieure d’une baie.
  • Arcade : Ici, baie libre sans fermeture formĂ©e d'un arc et de ses montants. Aussi : sĂ©rie d'arcs et piliers.
  • Baie : Vide bĂ©ant pratiquĂ© dans un mur pour servir de porte ou de fenĂȘtre.
  • Bēma : Sanctuaire des Ă©glises grecques qui contient l’autel et le trĂŽne pontifical et qui est surĂ©levĂ© par rapport Ă  la nef.
  • Chapiteau : Pierre portant un ensemble de moulures ou d’ornements qui coiffe ou couronne le fĂ»t d’une colonne, d’un pilastre ou d’un pilier.
  • Corniche : Membre saillant d’architecture qui sert Ă  couronner le faite, le sommet d’un mur; on donne aussi ce nom Ă  tout ornement en saillie composĂ© de moulures, oĂč qu’il se trouve.
  • Coupole : VoĂ»te hĂ©misphĂ©rique, de profil semi-circulaire, elliptique ou polygonal, parfois exhaussĂ©e par un tambour. La calotte est la partie supĂ©rieure de la coupole. La toiture de cette voĂ»te est un dĂŽme.
  • Derviche : Personne qui suit la voie ascĂ©tique soufie (la « TarĂźqa », la voie ou mĂ©thode), requĂ©rant l'acceptation du dĂ©nuement comme voie de recherche spirituelle ainsi que le choix de vie d'une pauvretĂ© et d'une austĂ©ritĂ© extrĂȘmes, semblable aux moines des ordres mendiants chrĂ©tiens ou aux sādhus hindous, bouddhistes ou jaĂŻns.
  • Diakonikon : Absidiole latĂ©rale sud (Ă  droite de l'iconostase) placĂ©e sous la surveillance d'un diacre oĂč sont conservĂ©s les vases sacrĂ©s et les vĂȘtements liturgiques dans les Ă©difices religieux orthodoxes. Elle correspond Ă  la sacristie chez les chrĂ©tiens d'occident. Avec le prothesis, il forme le pastoria.
  • DĂŽme : Voir « coupole ».
  • Esonarthex et Exonarthex : voir ci-aprĂšs, « narthex ».
  • Medersa : UniversitĂ© thĂ©ologique musulmane.
  • Mihrab : Niche architecturale qui indique la qibla, c'est-Ă -dire la direction de la kaaba Ă  La Mecque vers oĂč se tournent les musulmans pendant la priĂšre.
  • Narthex : ÉlĂ©ment architectural typique des premiĂšres Ă©glises et basiliques chrĂ©tiennes, consistant en un lieu situĂ© Ă  l’ouest de la nef, opposĂ© Ă  l’autel principal et servant de vestibule. Il est souvent divisĂ© dans les Ă©glises byzantines en deux parties distinctes : le narthex intĂ©rieur ou esonarthex et le narthex extĂ©rieur ou exonarthex prĂ©cĂ©dant l'atrium. Dans les Ă©glises orthodoxes, ces deux parties du narthex avaient des fonctions liturgiques diffĂ©rentes.
  • Pendentif : Espaces triangulaires ou triangulaires concaves placĂ©s dans les angles d’une tour carrĂ©e couronnĂ©e par un dĂŽme.
  • Pilastre : Chez les Romains, projection d’une colonne sur le nu d’un mur par une faible saillie. Au Moyen-Âge, les architectes placeront parfois des pilastres comme simple dĂ©coration ou renfort d’un mur.
  • Prothesis : Partie de l’église attenante au sanctuaire oĂč sont disposĂ©s les objets qui serviront pendant le culte. Avec le diakonikon, elle forme le pastoria.
  • Tambour : Ici, structure de maçonnerie cylindrique sur laquelle repose le dĂŽme.
  • TĂ©kkĂ© (aussi appelĂ© “khanqah” ou “ribat”) : Édifice servant aux rĂ©unions des confrĂ©ries soufies, servant pour les retraites spirituelles. Il pouvait Ă©galement servir Ă  accueillir les voyageurs, les Ă©tudiants et les initiĂ©s.
  • Voute d’arĂȘtes : Voute oĂč l’ouverture des deux berceaux se poursuit sans qu’ils s’interrompent mutuellement et les pans de voutes qui subsistent aprĂšs la pĂ©nĂ©tration se coupent selon des arĂȘtes vives qui en plan forment une croix de saint AndrĂ©.
  • Voute en berceau : La plus simple des voutes, elle est constituĂ©e par un arc de cercle prolongĂ© en cylindre dont la directrice est une droite.

Bibliographie

Sources primaires

  • Georges PachymĂ©rĂšs. Relations historiques, texte latin avec traduction française, V. Laurent, Paris, A. Fallier, coll. « Corpus Fontae Historiae Byzantinae » (no 24), 1984 (vol. i, ii), 1999 (vol. iii, iv, index, table gĂ©nĂ©rale), 2000 (ISBN 978-2-901-04920-3).
  • Patrologia Graeca. AssemblĂ© par Jacques-Paul Migne. 1856-1857.

Sources secondaires

  • (en) Brubaker, Leslie; Haldon, John. Byzantium in the Iconoclast era (ca 680-850). Cambridge, Cambridge University Press, 2011. (ISBN 978-05-21-43093-7).
  • (fr) Eyice, SemaviIstanbul. Petite Guide a travers les Monuments Byzantins et Turcs. Istanbul, Istanbul Matbaası, 1955. (OCoLC) 608518843.
  • (en) GĂŒlersoy, Çelik. A Guide to Istanbul. Istanbul, Istanbul Kitaplığı, 1976. (OCLC) 3849706.
  • (fr) Janin, Raymond (1953). La GĂ©ographie EcclĂ©siastique de l'Empire Byzantin. 1. Part: Le SiĂšge de Constantinople et le Patriarcat ƒcumĂ©nique. 3e Vol. : Les Églises et les MonastĂšres. Paris, Institut Français d'Études Byzantines, 1953.
  • (en) Mamboury, Ernest. The Tourists' Istanbul. Istanbul, Çituri Biraderler Basımevi, 1953. (ISBN 978-0-452-00498-6).
  • (en) Mango, Cyril. Byzantine Architecture. Milano, Electa Editrice, 1978. (ISBN 0-8478-0615-4).
  • (de) MĂŒller-Wiener, Wolfgang. Bildlexikon Zur Topographie Istanbuls: Byzantion, Konstantinupolis, Istanbul Bis Zum Beginn D. 17 Jh. TĂŒbingen, Wasmuth, 1977. (ISBN 978-3-8030-1022-3).
  • (en) Van Millingen, Alexander. Byzantine Churches of Constantinople. [London, MacMillan & Co, 1912.] Reproduit par e-Kitap Project, Istanbul, 2015 (ISBN 978-1-507-71822-3).
  • (fr) VogĂŒe, dom Melchior de. Glossaire des termes techniques Ă  l’usage des lecteurs de “La Nuit des temps”, Zodiaque, 1965. (ISBN 978-2-736-90164-6).

Notes et références

Notes

  1. Les mots prĂ©cĂ©dĂ©s d’un astĂ©risque sont dĂ©finis dans le glossaire.

Références

  1. Janin (1953) p. 34
  2. MĂŒller-Wiener ( 1977) p. 172
  3. Syméon Métaphrastes cité dans Migne, Patr. Graec. vol. 115, p. 1128
  4. Van Millingen (2015) pp. 157-158
  5. MĂŒller-Wiener (1977) p. 173
  6. Semavi Eyice (1955) p. 92
  7. Rapporté par Van Millingen (2015) p. 152
  8. GĂŒlersoy, (1976) p. 262
  9. Van Millingen (2015) p. 163
  10. Van Millingen (2015) p. 164
  11. Van Millingen (2015) pp. 164-165
  12. Van Millingen (2015) p. 165
  13. La plupart des dĂ©finitions sont tirĂ©es de VogĂŒe, « Dictionnaire technique » [1965]

Voir aussi

Liens internes

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