Mitsubishi A7M

Ses caractéristiques ont été envisagées par Jirō Horikoshi dès 1940, lorsque le A6M Zéro fut mis en service actif.

À la fin de 1940, juste après que l'A6M eut commencé à entrer dans sa phase de production, la marine a demandé à Mitsubishi de commencer le développement d'un successeur direct d'ici 1941, mais le choix du moteur pour un moteur compact à haut rendement était rare, et l'équipe de développement avait les mains remplies avec le développement de l'A6M2 Mod.21 et le développement du J2M, Mitsubishi a décidé d'abandonner la demande.

En 1942, alors que le développement des A6M3 Mod.32 et J2M2 Mod.11 était terminé, la marine ordonna une fois de plus à Mitsubishi et à son équipe de concevoir un successeur direct qui serait plus rapide et aussi agile que le Zero, mais comme avant, des moteurs qui conviendrait à l'avion étaient encore en développement et l'équipe a dû concevoir un avion tout en devant attendre un moteur viable.

À la fin du développement de la plate-forme A7M, la dernière pièce maîtresse et principal problème du développement de l'A7M, étant le moteur, a conduit au premier prototype à utiliser le Nakajima NK9 "Homare". Cet avion singulier serait le premier A7M et deviendrait respectivement l' A7M1 et un vol d'essai serait effectué le 6 mai 1944.

Alors que la charge alaire était acceptable de 150 kg/m², la maniabilité et la maniabilité étaient excellentes, mais le moteur était tout simplement sous-alimenté et ne pouvait pas répondre aux exigences de vitesse recherchées par la Marine et s'est soldé par une annulation déçue du projet.

Mais comme Mitsubishi avait déjà obtenu le feu vert pour utiliser au préalable le moteur fait maison de Mitsubishi avec le MK9, le projet a suscité une fois de plus l'intérêt de la Marine avec l'A7M2.

Ce profil correspond bien aux appareils produits par les États-Unis dès mi-1942 et censés s'opposer au Zéro.

La spécification de la Marine impériale date pour autant de 1942. La caractéristique principale de cet avion fut similaire à celle du Me 262 : des retards accumulés et des modifications de spécifications incessantes.