Marquain
Marquain est une section de la ville belge de Tournai, située en Wallonie picarde et en Flandre romane dans la province de Hainaut.
Marquain | |||||
Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
RĂ©gion | RĂ©gion wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | Tournai-Mouscron | ||||
Commune | Tournai | ||||
Code postal | 7522 | ||||
Zone téléphonique | 069 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marquinois(e) | ||||
Population | 820 hab. | ||||
Densité | 82 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 50° 36′ nord, 3° 19′ est | ||||
Superficie | 999 ha = 9,99 km2 | ||||
Localisation | |||||
Localisation de Marquain au sein de Tournai | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : Belgique
GĂ©olocalisation sur la carte : Belgique
GĂ©olocalisation sur la carte : RĂ©gion wallonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Hainaut
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Histoire
Marquain était dans le passé le siège d'une seigneurie. Vers 1781, Jean Baptiste Marie Van Zeller (1748-1813), écuyer, est seigneur de Marquain, Olnois. Il est le fils de Roland Théodore, écuyer, seigneur d'Ooshove (seigneurie dépendant de celle de Nieppe), et de Marie Catherine Cécile Wacrenier. Il nait à Lille en avril 1748 (baptisé le ), devient bourgeois de Lille le , se réfugie à Fontainebleau pendant les années 1792 à 1797 (pendant la Terreur) et les années qui suivent), et meurt à Lille le , à 65 ans. Il épouse à Lille le Marie Françoise Philippine Potteau (1762-1848), fille de Denis Joseph Marie, écuyer, seigneur de La Chaussée, bourgeois de Lille, greffier de la gouvernance de Lille après son père, et de Marie Françoise Joseph Aronio. Elle nait en 1762 et meurt à Lille le , à 85 ans[1].
Le pendant la Révolution française, Marquain fut le lieu d'une déroute Française contre les troupes de l'Archiduché d'Autriche.
C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
Notes et références
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.392 (lire en ligne).