Marie Mercier

Marie Mercier commence sa carrière politique en se présentant à la mairie de Châtenoy-le-Royal. Elle est élue maire lors des municipales de 2001 et est réélue en 2008[1] et 2014[2] - [3].

Elle est membre du Grand Chalon[4], dont elle est la 1^re vice-présidente chargée de l'Administration générale, de la Mutualisation et des Services aux communes[5] - [6] - [7].

En mars 2004, elle est élue conseillère régionale en 4^e position sur la liste UMP en Saône-et-Loire lors des régionales[8]. Lors du renouvellement de 2010, elle figure cette fois-ci en 6^e position sur la liste de la majorité présidentielle en Saône-et-Loire mais elle n'est pas réélue.

Dominique Juillot la choisit comme suppléante lors des législatives de 2007.

Le 12 juin 2015, elle devient sénatrice de Saône-et-Loire[9] - [10] - [11] en remplacement de Jean-Patrick Courtois, démis d'office par le Conseil constitutionnel[12]. Elle devient ainsi la première femme du département, toutes tendances politiques confondues, à siéger au palais du Luxembourg[13] - [14].

En novembre 2015, elle cosigne avec Jean-Paul Emorine une proposition de loi en faveur de la compétitivité de l'agriculture et de la filière agroalimentaire[15] - [16].

Elle soutient Alain Juppé pour la primaire présidentielle des Républicains de 2016. Avec les cumuls de mandats, elle cède sa place de maire de Chatenoy-le-Royal pour rester sénatrice[17].