Magnus Fredrik Brahe
Le comte Magnus Fredrik Brahe, né le et mort le à Stockholm, est un aristocrate suédois proche de Gustave III.
| Lantmarskalk Riksdagen 1800 (d) | |
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| - | |
| Membre du Riksdag des États Riddarhuset | |
| - |
| Comte |
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| Naissance | |
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| Décès |
(Ă 70 ans) Stockholm |
| SĂ©pulture |
Ă–stra Ryd cemetery (d) |
| Nationalité | |
| Formation |
Université d’Uppsala (à partir du ) |
| Activités |
Homme politique, propriétaire terrien |
| Père |
Erik Brahe (en) |
| Mère |
Stina Piper (en) |
| Fratrie |
Per Eriksson Brahe (d) |
| Conjoints | |
| Enfants |
| Parti politique |
Gustavians (en) |
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| Distinctions |
Seigneur du royaume (en) () Ordre du SĂ©raphin () Ordre de Charles XIII () |
Biographie
Le comte Brahe appartient à une ancienne famille de la noblesse suédoise, les Brahe. Il est le fils benjamin du comte Erik Brahe (1722-1756). Il épouse le baronne Ulrique-Catherine Koskull (morte en 1805) et en secondes noces, après la mort de sa première épouse, la nièce de celle-ci, née baronne Aurore-Wilhelmine Koskull.
Le comte fait partie du groupe des partisans de Gustave III (Gustavianerma) contre ceux de la noblesse du parti des chapeaux (Hattarna) et du parti des casquettes (Mössorna).
Le comte est élevé en 1778 au titre de Seigneur du Royaume (en suédois En haf rikets herrar), titre non héréditaire[1] spécialement créé par le roi Gustave III, après le coup d'État de 1772 pour gratifier ses proches compagnons. Il est l'un des parrains du prince héritier, futur Gustave IV et conseiller secret du conseil privé du roi. Il est président (Lantmarskalk) en 1800 de l'assemblée de la noblesse (Riddarhuset) qui est l'une des quatre composantes des États généraux du royaume.
Il reçoit l'ordre le plus élevé du royaume en 1794, l'ordre royal du Séraphin.
Brahe est à Paris en 1811. Il vend son château de Spyker sur l'île de Rügen (devenue prussienne) au prince Guillaume de Putbus en 1817 et conserve son château de Rydboholm.
Notes
- Supprimé en 1868
Source
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Magnus Fredrik Brahe » (voir la liste des auteurs).