Laura Doyle Péan

Son implication au sein de la communauté a été récompensé à plusieurs reprises : en 2015-2016, avec le prix Forces AVENIR – catégorie Élève engagé; en 2017, avec la médaille du lieutenant-gouverneur pour la jeunesse; puis en 2019, avec la bourse Loran[4] - [5] - [6] - [7] - [8].

En 2019, Laura entreprend des études de droit à l’Université McGill[2]. Pendant son parcours universitaire, Laura collabore auprès du journal étudiant Le Délit, et remporte, à l'automne 2020, la première place du concours de poésie organisé par la section culture du journal, avec sa suite poétique Des siècles avant ma naissance[9].

Laura a pris la parole à de nombreuses reprises dans l'espace public pour défendre les causes féministe et anti-racistes, la lutte pour la justice climatique et les droits des personnes 2SLGBTQIA+, notamment en ce qui concerne l'utilisation d'un langage inclusif et le respect des personnes trans, comme iel[10] - [11] - [12] - [13] - [14].

Le premier recueil de poésie de Laura Doyle Péan, Cœur yoyo, sort chez Mémoire d'encrier en 2020[15] - [16] - [17]. La même année, Laura participe, avec environ 200 autres poètes provenant d'une vingtaine de pays, à l'évènement La Grande Traversée poétique, présenté dans le cadre de la onzième édition du festival Québec en toutes lettres [18] - [19] - [20] - [21]. Sa poésie a également été diffusée en Russie, dans le cadre du projet Literary Ice Rink de la ville littéraire Oulianovsk[22], et son recueil Cœur Yoyo est présentement en traduction à Londres, pour une publication en 2022 avec les éditions the 87 press[23].

Laura Doyle Péan a pris part au Salon du Livre de Montréal 2021 à titre d'artiste invité[24].

• 2021, Seul.e, dans l'anthologie Debout. [25]
• Septembre 2021, qu'enfin les rivières, dans le recueil collectif (V)égaux, chez Somme Toute;
• Août 2020, Cœur yoyo, recueil, chez Mémoire d'encrier[26] - [27];
• Février 2020, S’appartenir, dans le journal l’État policier du COBP[28];
• 2019, Et même les plus belles histoires restent sans titre, dans le recueil collectif Pour l’Instant.

• 2021, Seul.e, dans l'anthologie Debout. [25]
• Septembre 2021, qu'enfin les rivières, dans le recueil collectif (V)égaux, chez Somme Toute;
• Février 2020, S’appartenir, dans le journal l’État policier du COBP[28];
• 2019, Et même les plus belles histoires restent sans titre, dans le recueil collectif Pour l’Instant.

• Juin 2022, pour la suite du monde ― Marianne Apostolides, Michel Brault, Pierre Perrault et moi, chronique, dans Lettres Québécoises 185
• Mai 2022, La grande fuite, nouvelle, dans XYZ
• Mars 2022, pour la suite du monde ― Avec qui écris-tu?, chronique, dans Lettres Québécoises 184
• Décembre 2021, pour la suite du monde ― Pour qui écris-tu?, chronique, dans Lettres Québécoises 183[29]
• 2021, Le secret des corbeaux, suite poétique, dans Estuaire 184[30]
• 2021, La tempête du siècle, nouvelle, dans Zinc