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La Secte sans nom

La Secte sans nom (Los sin nombre) est un film espagnol thriller-horreur réalisé par Jaume Balagueró, d'après le roman de Ramsey Campbell, sorti en 1999.

La Secte sans nom

Titre original Los sin nombre
Réalisation Jaume Balagueró
Scénario Jaume Balagueró
Ramsey Campbell
Acteurs principaux
Sociétés de production Filmax
Pays de production Drapeau de l'Espagne Espagne
Genre Horreur
Durée 102 minutes
Sortie 2000

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

Claudia reçoit un appel de quelqu'un qui dit être sa fille, mais celle-ci est morte il y a cinq ans. Elle se pose des questions et se demande si elle peut être en vie et séquestrée quelque part. Claudia fait alors appel à un ancien policier et un journaliste spécialisé dans les phénomènes paranormaux. Leur enquête les fait découvrir une secte sans nom, liée à un groupe néo-nazi.

Fiche technique

Distribution

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Critiques

  • Pour Gérard Delorme dans Première : « S'il continue à mettre son style au diapason de ses thèmes, le jeune Balaguero devrait rapidement s'affirmer, avec Alejandro Amenabar (Tesis et Ouvre les yeux), comme l'un des auteurs les plus intéressants du nouveau cinéma espagnol »[1].
  • Pour Mad Movies, avec Stéphane Moïssakis : « On peut rapprocher La Secte sans nom du courant des thrillers horrifiques des années 70 (Halloween, Meurtres sous contrôle) avec toutefois une différence de base : un script beaucoup plus chargé, qui insiste lourdement sur les actions de ses protagonistes afin de crédibiliser l'intrigue. Au risque d'en faire trop ! À ce titre, le climax, démonstratif en diable, est tout juste sauvé par l'ultime image du film. Baroque, violente, désespérée mais inéluctable. La plus terrifiante de toutes... »[2]
  • Pour Guillemette Olivier de Télérama : « Le mal n'a plus de limites, assène l'affiche. L'obscénité non plus. Voici le cadavre d'une enfant, fondu dans l'acide, sur une table d'autopsie. Voici sa mère visionnant en boucle des vidéos de la petite au temps du bonheur. Mais le cadavre était-il vraiment le sien ? L'enquête mènera aux adeptes de la synthèse absolue du mal, dont le gourou, formé à Dachau (!), ferait passer Hannibal Lecter pour un farceur. De plans réalistes grisâtres en instantanés d'enfants suppliciés, c'est le spectateur qui est victime de cette surenchère du sordide. De l'air ! »[3]

Récompenses

Autour du film

Notes et références

  1. Magazine Première cité sur Allociné Consulté le 10 septembre 2009
  2. Mad Movies numéro 126, page 45
  3. la critique de Telerama consulté le 10 septembre 2009
  4. Mad Movies numéro 126, page 44

Voir aussi

Liens externes

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