L'Invasion des profanateurs (film)

Elizabeth s'aperçoit un jour du comportement étrange de son ami. Puis, peu à peu, d'autres personnes se transforment ainsi bizarrement. Pendant leur sommeil, une plante fabrique leur double parfait, tandis que l'original disparait.

• Titre français : L'Invasion des profanateurs
• Titre original : Invasion of the Body Snatchers
• Réalisation : Philip Kaufman
• Scénario : W. D. Richter, d'après le roman L'Invasion des profanateurs (The Body Snatchers) de Jack Finney
• Musique : Denny Zeitlin
• Photographie : Michael Chapman
• Montage : Douglas Stewart Son : Ben Burtt
• Production : Robert H. Solo
• Société de production : Solofilm
• Distribution : United Artists (France, États-Unis)
• Pays de production : États-Unis
• Format : Couleurs (Technicolor) - 1,85:1 - Dolby - 35 mm
• Genre : horreur, science-fiction
• Durée : 115 minutes (1 h 55)
• Dates de sortie :
  • États-Unis : 20 décembre 1978
  • France : 7 février 1979
• Classification[1] :
  • États-Unis : PG (lors de sa sortie en salles)
  • France : interdit aux moins de 12 ans (lors de sa sortie en salles)

• Donald Sutherland (VF : Pierre Santini) : Matthew Bennell
• Brooke Adams (VF : Michèle André) : Elizabeth Driscoll
• Jeff Goldblum (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Jack Bellicec
• Veronica Cartwright (VF : Michèle Bardollet) : Nancy Bellicec
• Leonard Nimoy (VF : Denis Savignat) : D^r. David Kibner
• Art Hindle (VF : Michel Paulin) : D^r. Geoffrey Howell
• Lelia Goldoni (VF : Julia Dancourt) : Katherine Hendley
• Kevin McCarthy : l'homme qui court
• Don Siegel (VF : Georges Aubert) : le chauffeur de taxi
• Tom Luddy : Ted Hendley
• Stan Ritchie : Stan
• David Fisher : M. Gianni
• Robert Duvall : le prêtre à la balançoire au début (caméo)

Le tournage a lieu de février à avril 1978. Il se déroule dans divers quartiers et rues de San Francisco (Montgomery Street, Telegraph Hill, Civic Center, Hayes Valley, Russian Hill, Chinatown, Pacific Heights, Powell Street, Market Street, Presidio, Transamerica Pyramid, The Embarcadero) [2].

Source : Internet Movie Database[3]

Lors de l'édition 2020 du festival Hallucinations collectives, Xavier Gens, à qui fut donné carte blanche, choisit de passer le film. Il justifie son choix par le fait qu'il s'agit du premier film d'horreur qu'il ait vu et qu'il reste encore aujourd'hui terrorisé par les images du film, ce qui aurait ainsi grandement influencé son cinéma[4].