Kathrin Schweizer
Kathrin Schweizer, née le (originaire de Muttenz), est une personnalité politique suisse, membre du Parti socialiste (PS).
Kathrin Schweizer | |
Fonctions | |
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Conseillère d'État du canton de Bâle-Campagne Direction de la sécurité | |
En fonction depuis le | |
Élection | 31 mars 2019 |
Députée au Landrat du canton de Bâle-Campagne Chef de groupe (2015-2019) | |
– | |
Groupe politique | socialiste |
Conseillère communale de Muttenz | |
– | |
Biographie | |
Date de naissance | |
Nationalité | Suisse |
Parti politique | Parti socialiste |
Profession | Biologiste |
Elle est membre du gouvernement du canton de Bâle-Campagne depuis juillet 2019, à la tête du département de la sécurité.
Biographie
Kathrin Schweizer naît le [1]. Elle est originaire de Muttenz, dans le canton de Bâle-Campagne[2]. Elle a une sœur cadette[3].
Elle grandit à Muttenz et y réside toujours[4].
Elle fait des études de biologie[4], puis obtient un diplôme postgrade dans le domaine de l'environnement. Elle dirige ensuite pendant dix ans l'association Pro Velo des deux Bâle, avant de travailler comme urbaniste pour le département des travaux publics et des transports du canton de Bâle-Ville[3].
Elle est mariée[3].
Parcours politique
Elle fait ses premiers pas en politique à la fin des années 1990, dans divers organes communaux[4]. Elle adhère au Parti socialiste en 2004[3].
Elle est ensuite élue en 2007 au Landrat, où elle est le chef du groupe socialiste de 2011 à 2015. Ses thèmes de prédilection au parlement cantonal sont les questions de transport, de finances et d'économie. Elle siège par ailleurs de 2015 à 2019 au Conseil communal (exécutif) de Muttenz[4].
Elle est candidate au Conseil national en octobre 2011[5] et octobre 2015[2]. Première des candidats non élus lors de cette dernière élection, elle annonce toutefois en renoncer à succéder à la démissionnaire Susanne Leutenegger Oberholzer pour se porter candidate au Conseil d'État de son canton[6].
Elle est élue le au Conseil d'État, permettant à son parti de retrouver un siège au gouvernement, perdu quatre ans plus tôt. Elle est la troisième mieux élue et la première femme de gauche à y siéger[4]. Elle prend la tête de la direction de la sécurité le [7].
Notes et références
Notes
Références
- (de) Bojan Stula, « Streit wegen der «Spielgeld-Affäre»: Ein letztes Aufbäumen der Polizei-Kritiker », sur Luzerner Zeitung, (consulté le )
- « Élection du Conseil national 2015 - Canton de Bâle-Campagne - Liste 2: Sozialdemokratische Partei und Gewerkschaften (SP) », sur site officiel de la Chancellerie fédérale suisse, (consulté le )
- (de) Lisa Groelly, « In Muttenz zu Hause, in den Bergen daheim », sur Basler Zeitung, (consulté le )
- (de) Hans-Martin Jermann, « Die Zurückhaltende: Das ist die Bilanz von Regierungsrätin Kathrin Schweizer » , sur bz Basel, (consulté le )
- « Élection du Conseil national 2011 - Canton de Bâle-Campagne - Liste 2: Sozialdemokratische Partei und Gewerkschaften (SP) », sur site officiel de la Chancellerie fédérale suisse, (consulté le )
- (de) Hans-Martin Jermann, « Nachfolge Leutenegger - Kathrin Schweizer verzichtet auf den Sitz in Bern – und will dafür in die Regierung », sur St. Galler Tagblatt, (consulté le )
- (de) Hans-Martin Jermann, « Kathrin Schweizer: «Zweierkandidatur der Grünen gefährdet meinen Regierungssitz nicht» » , sur bz Basel, (consulté le )
Liens externes
- Site officiel
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
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