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Jean VII Paléologue

Jean VII Paléologue (en grec : Ioannès Palaiologos – Ιωάυυης Zʹ Παλαιολόγος), né en 1370 et mort le au mont Athos[1], est le fils d'Andronic IV Paléologue et de Marie Keratsa de Bulgarie. Il est empereur byzantin après une révolte qui l'oppose à son grand-père Jean V Paléologue et son oncle Manuel II Paléologue. Son règne est toutefois très court, entre avril et , puisqu'il est chassé du pouvoir par Manuel II. Après plusieurs années de fuite, il se réconcilie avec son oncle et est choisi pour régner sur la ville de nouveau en 1399 alors que Manuel II part en Europe pour chercher des alliés. Au retour de l'empereur en 1403, il part pour Thessalonique, où il règne jusqu'à sa mort en 1408.

Jean VII Paléologue
Empereur byzantin
Image illustrative de l’article Jean VII Paléologue
Règne
-
5 mois et 3 jours
-
~3 ans et 6 mois
Période Paléologue
Précédé par Jean V Paléologue
Manuel II Paléologue
Suivi de Jean V Paléologue
Manuel II Paléologue
Biographie
Naissance vers 1370
Décès (~38 ans)
mont Athos
Père Andronic IV Paléologue
Mère Marie de Bulgarie
Épouse Irène Gattilusio (née Eugénie)
Descendance Andronic V Paléologue

Biographie

Famille

Jean VII appartient à la dynastie des Paléologue, qui occupe le trône byzantin de 1261 à 1453, jusqu'à la chute de l'Empire. Jean VII fait donc partie de la famille royale. Son arrière-grand-père Andronic III Paléologue était empereur. Son grand-père Jean V Paléologue est l'empereur de Constantinople lors de sa naissance en 1370. Son père Andronic IV est l'aîné de la famille qui comporte plusieurs enfants. Toutefois, c'est son oncle Manuel II qui est choisi comme successeur au trône. Sa mère, Marie Keratsa de Bulgarie, est une princesse bulgare. Il mariera la fille du seigneur de Lesbos Francesco II, soit Irène Gattilusio. Ils auront un fils prénommé Andronic V Paléologue qui meurt très jeune.

Jeunesse et révoltes menées par son père

Durant ces années, l'Empire byzantin est un État secondaire soumis aux pressions contradictoires des Ottomans et des républiques italiennes. Ses frontières sont restreintes à un territoire comprenant Constantinople une partie de la Thrace, Thessalonique, quelques îles de la mer Égée ainsi que le despotat de Morée[2]. Dès sa naissance, son grand-père Jean V et son père Andronic IV se livrent à une guerre larvée puisque l'aîné des Paléologue s'est vu refuser son droit à la succession qui fut donné la place à son frère cadet Manuel II. Jean VII ne grandit donc pas à Constantinople et ne côtoie que très peu son grand-père et son oncle. Il vit alors à Sélymbrie avec ses parents. Son père se soulève pour recouvrer le pouvoir en 1371. Lors de ce premier soulèvement, Andronic IV ne dispose que de très peu d'appuis[3]. Il ne dispose que de l'appui de petits fonctionnaires mécontents de leurs sorts qui se rallient autour d'un héritier déchu. À ce moment, Jean VII n'a qu'un an. Un second soulèvement a aussi lieu en 1373 alors que Jean VII n'a que trois ans[3]. Andronic IV aurait noué une alliance avec le fils du Sultan contre leurs deux pères respectifs et pour tous deux prendre leur trône respectif[4]. Les deux régents s'allièrent pour mater la révolte de leurs descendants. Le , Andronic IV combat son père lors d'une bataille à Derkos et en sort défait. Il se rend et dépose les armes face à son père le dans la ville de Anthyros[5]. Le sultan ordonnera à Jean V de crever les yeux de son fils rebelle. Jean V s'exécutera et appliquera aussi le châtiment sur son petit-fils Jean VII[6]. Andronic IV se sauvera par la suite à Galata avec sa femme et son fils. Il réussit tout de même à prendre le pouvoir en investissant Constantinople le . Il se fera couronner et désigner comme basileus seulement un an plus tard le . Sa première action au pouvoir sera de rembourser deux dettes importantes aux Génois et aux Turcs[7]. Andronic IV recouvre par ailleurs son statut d'héritier tout comme son fils.

Son règne sera toutefois de courte durĂ©e. En 1379, trois ans seulement après sa prise du pouvoir, Jean V reprend sa place sur le trĂ´ne et chasse dĂ©finitivement son fils Andronic IV. En 1381, le père et le fils parviennent Ă  un agrĂ©ment. Andronic IV, proclamĂ© successeur lĂ©gitime, est apanagĂ© en Thrace ainsi que la ville de SĂ©lymbrie qu'il dirigeait dĂ©jĂ  de concert avec son fils Jean VII[8]. Ce dernier meurt quelques annĂ©es après le 25 ou le Ă  SĂ©lymbrie[8]. Jean V ne tient pas sa promesse et ne considère plus Andronic IV comme ayant Ă©tĂ© son digne successeur. Il dĂ©clare d'ailleurs que son fils et son petit-fils ont ruinĂ© la base juridique de son empire, il dĂ©clare donc Jean VII dĂ©chu de ses droits et nomme comme unique successeur son fils Manuel II en 1387[9]. Il n'aurait pas eu d'autres options auprès des autres membres de la fratrie après l'assassinat de Michel par son beau-frère et l'Ă©lĂ©vation de ThĂ©odore comme despote en MorĂ©e de Mistra[10]. Pourtant, le successeur de droit aurait dĂ» ĂŞtre son petit-fils Jean VII. Celui-ci se voit donc bafouer de son droit au trĂ´ne et deviendra donc un ennemi de son grand-père. Il possède toutefois les possessions lĂ©guĂ©es par Andronic dont SĂ©lymbrie.

Jean ou Andronic

Jean VII bĂ©nĂ©ficiera d'un deuxième prĂ©nom et se fera parfois appeler Andronic. Au dĂ©part, les historiens croient que les textes mentionnant Andronic ne font uniquement rĂ©fĂ©rence Ă  son père. Georgio Stella de GĂŞnes, un contemporain de l'Ă©poque qui aurait eu des liens rapprochĂ©s avec la famille PalĂ©ologue, viendra clarifier les choses. Celui-ci affirme que le prĂ©nom Andronic serait employĂ© dans des textes relatant des Ă©vĂ©nements postĂ©rieurs au dĂ©cès du père de Jean VII[11]. Lorsque les rebelles alliĂ©s Ă  Jean VII entrent dans Constantinople en 1390, ils scandent le nom Andronic pour rendre gloire Ă  leur meneur et incitent la foule Ă  le rĂ©pĂ©ter[12]. Il s'agit pourtant du coup d'État de Jean VII. Deux mentions dans le registre des dĂ©penses gĂ©nois de Pera mentionnent aussi Andronic comme empereur en 1390. Il s'agirait en fait de Jean VII[12]. Il est aussi mentionnĂ© qu'Andronic IV rĂ©gnera sur Constantinople en 1399 au dĂ©part de Manuel II pour l'Europe[12]. Il s'agit bien entendu de Jean VII, Andronic Ă©tant mort depuis longtemps. Il s'agit donc d'un cas exceptionnel au sein de l'Empire byzantin. Habituellement les orthodoxes n'ont qu'un seul nom de baptĂŞme, Jean VII en possède pourtant deux. Cependant, l'emplois de deux prĂ©noms distincts devient plus frĂ©quent dans le dernier siècle de Constantinople. D'autres personnages illustres ont employĂ© le prĂ©nom de leurs père Ă  la mort de celui-ci. Par exemple, Demetrius se fera renommer Michael[12]. Jean VII aurait fait de mĂŞme et aurait empruntĂ© le prĂ©nom de son père pour honorer sa mĂ©moire. En reprenant le prĂ©nom Andronic, Jean VII honore aussi la cause de son père et clame qu'il veut retrouver son droit lĂ©gitime au pouvoir tout comme l'a fait son paternel[12]. L'adoption du prĂ©nom Andronic favorise aussi la prise de la ville de Constantinople en 1390 puisque son grand-père se nomme aussi Jean. Acclamer un empereur qui a nouvellement acquis le pouvoir par la force et portant le mĂŞme prĂ©nom que le prĂ©cĂ©dent porterait Ă  confusion. En acclamant un empereur avec un prĂ©nom diffĂ©rent, les sujets verraient la diffĂ©rence et l'ascension d'un nouveau dirigeant. Le jeune souverain continuera tout de mĂŞme Ă  quelques occasions Ă  se faire prĂ©nommer Jean VII durant son règne. Dans un traitĂ© signĂ© avec les VĂ©nitiens en , le prĂ©nom de Jean est apposĂ©[12]. Par la suite, Jean VII nommera son fils Andronic V et recommencera donc Ă  se faire appeler par son nom de naissance.  Il aura tout de mĂŞme employĂ© le prĂ©nom de son père Ă  de nombreuses reprises avant de le cĂ©der Ă  son fils.

Les prémices

Jean VII est bien disposĂ© Ă  reprendre son droit lĂ©gitime au trĂ´ne après avoir Ă©tĂ© bafouĂ© par son grand-père Jean V. Il prĂ©pare sa rĂ©volte depuis SĂ©lymbrie, oĂą il a grandi avec son père. Il dirigeait dĂ©jĂ  la ville avec Andronic et celui-ci lui la lĂ©gua Ă  sa mort. Plusieurs le dĂ©lèguent d'ailleurs dĂ©jĂ  comme l'aspirant lĂ©gitime. Auparavant, lors du coup d'État d'Andronic IV et de ses annĂ©es de règne Ă  Constantinople, il aurait Ă©tĂ© proclamĂ© co-dirigeant et proclamĂ© empereur. Dans certains textes, entre autres ceux de voyageurs russes il est dĂ©signĂ© comme kaiser soit comme empereur[13]. Il dispose alors d'une base territoriale solide soit SĂ©lymbrie mais aussi un entourage politique fidèle composĂ©e d'archontes[14]. Jean V, pour sa part, apparaĂ®t singulièrement isolĂ© Ă  Constantinople. Il est d'ailleurs brouillĂ© avec son fils Manuel II. La vulnĂ©rabilitĂ© impĂ©riale viendra donc renforcer la hardiesse de Jean VII[14]. Le jeune rebelle disposera d'alliĂ©s puissants. Le sultan lui fournira une horde de soldats pour l'aider Ă  dĂ©trĂ´ner son grand-père[15]. Bajazet Ier voit en Jean VII un instrument pour imposer son pouvoir sur la capitale et l'aidera donc Ă  se rĂ©volter[16]. Les GĂ©nois lui apporteront Ă©galement un grand support. C'est après ĂŞtre passĂ© par GĂŞnes que Jean VII entrera dans Constantinople[17].

La révolte de 1390

Jean VII se dirigera donc vers Constantinople au début de l'an 1390. Il commencera par effectuer le siège de la ville, à une date qui demeure inconnue[18]. Lors d'un épisode le qui est un jour saint, on punira les soutiens de Jean VII qui se trouvent dans la cité[19]. Le , des renforts génois arrivent pour le supporter[19]. Il maintient alors à ce moment une pression sur Jean V, enfermé dans Constantinople. Toutefois, le souverain aurait pris quelques mesures. Il aurait fortifié la ville et presque toutes ses portes contre une éventuelle attaque[20]. Il bénéficiera également du support de Manuel II qui amènera des renforts depuis Lemnos[21]. Le , Jean entrera par la porte de Charisius[21]. Il s'agissait d'une position favorable pour investir Constantinople, surtout que cette porte se trouve sur une route en provenance de Gênes d'où proviennent les renforts. Elle est également moins fortifiée que les autres. Il s'y trouve également un monastère dévoué à saint Jean ce qui donne à ce quartier une importance symbolique. Jean VII disposerait du soutien populaire. La population de Constantinople lui ouvrira la porte et il pourra entrer à son aise dans la ville[22]. Il se dirige ensuite vers la Porte d'Or pour y vaincre son grand-père. Celui-ci sera par après emprisonné dans une tour. Jean VII acquiert donc la ville de Constantinople et en devient le souverain pour cinq mois. Nous en savons très peu sur son court règne en tant qu'empereur.

Perte de Constantinople aux mains de Manuel II (1390)

Bien que Jean VII a réussi à reprendre la ville de Constantinople des mains de son grand-père et à se proclamer empereur, la victoire n’est pas acquise pour longtemps. Son oncle, Manuel II Paléologue, prépare la défense de la ville et compte bien la reprendre. Nous savons que celui-ci serait passé par Lemnos où il aurait séjourné en exil auparavant, Rhodes et Christopolis pour y chercher des renforts. Lors de deux premières tentatives, il échouera à reprendre la ville aux mains de son neveu. Il réussira cependant lors d'une troisième tentative. Il attaquera la Porte d'Or le et chassera Jean VII[22]. Les troupes prennent d'assaut la forteresse. Jean VII sort alors de la cité.

Fuite chez les Ottomans et les GĂ©nois (1390-1399)

Après sa défaite contre son oncle à Constantinople, Jean VII doit fuir la ville. Tout d'abord, il trouve refuge auprès des Turcs. Le sultan Bajazet Ier l'accueille et lui donne en apanage la ville de Sélymbrie[23]. Peu de temps après, il ne se sent plus en sécurité dans l'entourage du sultan. Il se rend alors en l'Italie. On raconte qu'il serait allé en premier lieu à Gênes[24]. Il aurait déjà des liens cordiaux avec ceux-ci. Jean VII serait également allé à Ticin en Ligurie avec sa mère Marie en 1392[23].

RĂ©conciliation avec Manuel II (1399-1403)

En 1399, Jean VII se réconcilie avec son oncle Manuel II. Celui-ci adoptera même le jeune souverain et lui rendra son droit légitime à la succession au trône. Jean VII sera donc l'héritier direct de son oncle. Lorsque Manuel II part pour l'Occident pour solliciter l'aide étrangère en 1399, il confie Constantinople à son neveu et lui donne alors le pouvoir[25]. Son oncle lui fait donc assez confiance à ce moment pour le laisser gérer Constantinople. Lors de ce règne, Jean VII accomplira quelques prouesses. Il réussira entre autres à passer des traités avec les Turcs. Il profite de leur défaite à Ankara en 1402 et négocie avec le fils du sultan le retour de Thessalonique et de territoires en Thrace et en Macédoine (province romaine)[25]. Il redonne ensuite le pouvoir à Manuel II lors de son retour en 1403.

Apanage Ă  Thessalonique et mort (1403-1408)

S'Ă©tant rĂ©conciliĂ© avec Jean après une querelle en 1403, Manuel II octroie Ă  son neveu la ville de Thessalonique en apanage[26]. Il s'agit d'un grand honneur puisqu'il s'agit Ă  l'Ă©poque d'une des possessions les plus prestigieuses de l'Empire byzantin. Il est accueilli en hĂ©ros par le peuple Ă  son arrivĂ©e, Ă©tant d’ailleurs celui qui libĂ©ra Thessalonique des Turcs[27]. Il règne alors comme « empereur de la Thessalie Â» jusqu'Ă  sa mort en 1408[25]. Il n'a Ă  ce moment aucun successeur lĂ©gitime qui pourra prendre sa place, son fils Andronic V PalĂ©ologue Ă©tant mort Ă  l'âge de sept ans durant le règne de son père[28]. Sa femme prendra le voile sous le nom monastique d'EugĂ©nie[25].

Bilan du règne

En somme, Jean VII n'a été au pouvoir que pour une courte période de temps. Il n'aura régné que cinq mois sur Constantinople, et n'aura par la suite qu'été un remplaçant de Manuel II Paléologue. Il fut surtout vu durant une grande partie de sa vie comme un révolutionnaire contestant tout comme son père le pouvoir de son grand-père Jean V Paléologue. Ce n'est que durant ces dernières années de vie qu'il fut finalement allié avec son oncle.

Notes et références

  1. Eurydice Lappa-Zizikas, Le Voyage de Jean VII Paléologue en Italie, p. 139
  2. Angelikí Laḯou et Cécile Morrisson, Le Monde byzantin, p. 43.
  3. Michel Balard et Alain Ducellier, Coloniser au Moyen Ă‚ge, p. 376
  4. John V. Barker, Manuel II Palaeologus (1391-1425), p. 19.
  5. John V. Barker, Manuel II Palaeologus (1391-1425), p. 21.
  6. John V. Barker, Manuel II Palaeologus (1391-1425), p. 22.
  7. Mihailo Popovic, The young emperor of Constantinople, p. 293
  8. Mihailo Popovic, The young emperor of Constantinople, p. 294
  9. Michel Balard et Alain Ducellier, op. cit., p. 379.
  10. Mihailo Popovic, op. cit., p. 379.
  11. Marin Sanuto, Georguis Stella Anales Genuenses, p. 380.
  12. Elizabeth A. Zachariadou, John VII (alias Andronicus) Palaeologus, p. 340.
  13. Mihailo Popovic, op. cit., p. 295.
  14. Michel Balard et Alain Ducellier, op. cit., p. 378.
  15. John Julius Norwich, Histoire de Byzance, p. 485.
  16. Georg Ostrogorsky, Histoire de l'État byzantin, p. 458.
  17. Michel Balard et Alain Ducellier, op. cit., p. 379.
  18. George P. Majeska, Russian travellers to Constantinople, p. 551.
  19. George P. Majeska, Russian travellers to Constantinople, p. 552.
  20. George P. Majeska, Russian travellers to Constantinople, p. 554.
  21. George P. Majeska, Russian travellers to Constantinople, p. 555.
  22. George P. Majeska, Russian travellers to Constantinople, p. 557.
  23. Eurydice Lappa-Zizikas, op. cit., p. 340.
  24. Nikos Nikoloudis, Laonikos Chalkokondylès : A translation, p. 472.
  25. Oikonomidès 1977, p. 331.
  26. Oikonomidès 1977, p. 334-5.
  27. Oikonomidès 1977, p. 335-336.
  28. Oikonomidès 1977, p. 332.

Annexes

Ouvrages

  • Michel Balard et Alain Ducellier, Coloniser au Moyen Ă‚ge, Paris, Armand Collin, 1995, 400 p.
  • John W. Barker, Manuel II Palaeologus (1391-1425): a study in late Byzantine statesmanship, New Brunswick, Rutgers University Press, 1969, 614 p.
  • AngelikĂ­ Laḯou et CĂ©cile Morrisson, Le Monde Byzantin, t. III : L'Empire grec et ses voisins, XIIIe – XVe siècles, Paris, PUF, coll. Nouvelle Clio, 2011, 305 p.
  • George P. Majeska, Russian Travellers to Constantinople in the Fourteenth and Fifteenth Centuries, Washington DC, Dumbarton Oaks, 1984, 463 p.
  • Nikos Nikoloudis, Laonikos Chalkokondylès, A translation and commentary of the Demonstrations of Histories, Athènes, Historical publications, 1996, 596 p.
  • John Julius Norwich, Histoire de Byzance 330-1453, Paris, Perrin, 1999, 506 p.
  • Georg Ostrogorsky, Histoire de l'État byzantin, Paris, Payot, 1996, 647 p.
  • Manuel Sanuto, Georgius Stella Anales Genuenses, Venise, Storia, 1955, 489 p.

Articles de périodiques

  • Eurydice Lappa-Zizikas, Le Voyage de Jean VII PalĂ©ologue en Italie, Revue des Ă©tudes byzantines, no 34, 1976, pp. 139-142.
  • (en) Nicolas Oikonomidès, « John VII Palaeologus and the Ivory Pyxis at Dumbarton Oaks », Dumbarton Oaks Papers, no 31,‎ , p. 329-337
  • Mihailo Popovic, The young emperor of Constantinople : an overlooked prosopographical note in an itinerary of the fourteenth century, Byzantine and Modern Greek Studies, no 26, 2002, pp. 292-296.
  • (en) Elizabeth A. Zachariadou, « John VII (alias Andronicus) Palaeologus », Dumbarton Oaks Papers, no 31,‎ , p. 339-342

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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