In'oya
In'oya est une entreprise française de dermo-cosmétiques fondée en 2011 ciblant ses recherches sur les spécificités des peaux noires, mates et métissées.
Laboratoire In'oya | |
Logo du Laboratoire INOYA | |
Création | 2011 |
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Fondateurs | Abd Haq Bengeloune & Laïla Mkimer |
Forme juridique | Société par actions simplifiée |
Slogan | La recherche pour les peaux noires et mates |
Siège social | Gardanne France |
Activité | Cosmétique |
SIREN | 534 452 768 |
Site web | inoya-laboratoire.com |
En s'appuyant sur le génie génétique et ses travaux de recherche scientifique sur la mélanogenèse, le laboratoire In'oya a découvert les processus qui conduisaient à l'apparition de taches sur les peaux pigmentées et breveté une molécule destinée à traiter ces taches[1].
Historique
En 2011, le laboratoire In'oya est créé par Abd Haq Bengeloune[2], un jeune ingénieur biomédical d'origine sénégalaise, entouré d'une équipe de chercheurs marseillais du CNRS de Saint-Jérôme et de l'INSERM de la Faculté de pharmacie de la Timone. L'objectif est de mettre en place un soin anti-taches tenant compte des gènes spécifiques aux peaux pigmentées[3] - [4].
En 2013, Crédit Agricole Alpes-Provence Création entre dans le capital du Laboratoire In'oya[5].
En 2014, le Laboratoire In'oya développe une innovation technologique capable de bloquer l'enzyme TYRP1 ainsi que la Tyrosinase pour agir sur les taches d'hyperpigmentation[6].
En 2015, le Laboratoire In'oya se lance dans la commercialisation de ses produits auprès des pharmacies françaises[1].
Notes et références
- « In’Oya, les cosmétiques ethniques … et éthiques », La Tribune,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- "Abd Haq Bengeloune : au bonheur des dames", sur Jeune Afrique, 04/02/2013
- "Des sociétés très en pointe", sur Le Point, 19/04/2012
- "Les innovations que la Silicon Valley nous envie", sur Capital.fr, 10/09/2012
- "CAAP Création aux côtés d'In’Oya", sur Crediagricole.info, 29/04/2015
- "ArgTX-636, a polyamine isolated from spider venom: A novel class of melanogenesis inhibitors, sur ScienceDirect, 15/11/2016