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Henry Déziré

Henry Déziré, né le à Libourne (Gironde) et mort le à Paris, est un artiste peintre français

Henry Déziré
Autoportrait d'Henry Déziré vers 1930.
Naissance
Décès
(à 87 ans)
Paris
Nom de naissance
Pierre Henry Déziré
Autres noms
Henri Déziré
Nationalité
française
Activité
artiste peintre
Formation
Académie Julian, École Nationale des Beaux-Arts
Maître
Mécène
Familles Babut, David, Gutzeit
Distinction
Prix Puvis de Chavannes (1938), Prix Gillot-Dard (1939), Prix Dulac (1948), Prix Bastien Lepage (1958).
Œuvres principales
Fleurs et oranges (1905), Nu accroupi devant la cheminée (1907), L'Age d'Or (1911), Les maquignons (1919), Portrait de Mademoiselle D. (1925), L'hallali (1937), Le carnaval de Venise (1939)

Biographie

Jeunesse

Son acte de naissance indique les prénoms Pierre, Henry, mais il a toujours été connu sous le nom de Henry ou Henri. On le trouve aussi parfois désigné sous le nom de Henry-Déziré, et son nom de famille est parfois orthographié Désiré. Il passe ses dix premières années à Libourne, où son père est mouleur-fondeur. Puis la famille se déplace à La Rochelle. Il y apprend le métier de mouleur-fondeur, lui aussi et passe beaucoup de temps à dessiner. Il est alors remarqué par un architecte qui le présente à William Bouguereau, professeur à l'École des Beaux-Arts de Paris et à l'Académie Julian. Bouguereau lui fait obtenir une subvention de la ville et la gratuité des cours à l'Académie Julian.

Formation

Henry Déziré reçoit sa formation à l'Académie Julian, auprès de William Bouguereau et de Gabriel Ferrier, Il est admis à l’École des Beaux-Arts de Paris en 1899, à titre temporaire, puis à titre définitif en 1901. Il participe à peu de concours de l’École, mais obtient une 3e seconde médaille au concours d'esquisse peinte 1er degré en 1901, puis en 1902, il obtient une mention au concours Fortin d'Ivry (concours de perspective) en composition à deux degrés.

Carrière

Il s'installe définitivement à Paris dans un studio situé à Montparnasse, grandement soutenu par la générosité de mécènes rochelais, parmi lesquels les familles David et Babut, et grâce aussi à la générosité de la ville de La Rochelle qui continue de lui accorder une subvention. Il fait ses débuts au Salon de la société des artistes français en 1904, et à cette occasion le jury lui décerne une mention honorable[1]. Dès lors sa carrière est lancée, il expose dans de nombreux Salons, ainsi que dans des galeries en France et à l'étranger. Il reçoit des prix, l’État lui achète des toiles, même si la plupart de ses toiles sont achetées par des collectionneurs.

Œuvre

Grandes compositions et pastorales

Henry Déziré a reçu un enseignement académique, et ses premières œuvres en portent la marque (Post Fata Venit Gloria, 1904). Au fil du temps, il se détache de ce style, mais il gardera toujours le goût des grandes compositions (L'Âge d'Or, 1911 [2], L'Âge d'Or ou Le Printemps, 1921)[3] à la recherche d'un idéal de beauté et d'harmonie, peuplé de bergers et de nymphes. Tout au long de sa carrière, il sera remarqué pour ses compositions décoratives : Retour de Fête (1907)[4], Pierrot endormi (1909)[5], Les Patineurs (années 1920), l'Hallali (1933)[6], le Carnaval de Venise (1939)[7].

Natures mortes

Henry Déziré, Nature morte, 1921. Collection du Musée des Beaux-Arts de Nantes, cliché A. Guillard

Le parti-pris décoratif se manifeste dans toutes ses œuvres, doublé d'un talent de coloriste, notamment dans les natures mortes qu'il commence à exposer en 1905 (Fleurs et Oranges)[8]. Il y représente des arrangements de fleurs, de fruits, d'objets disposés sur des nappes blanches, où jouent les harmonies de blanc, de jaune, de bleu, parfois rehaussées par une touche d'orange ou de vert. Les critiques remarquent les « symphonies en blanc » de ses débuts, et J.C. Holl parle d'un « sentiment latent de l'intimité et de l'élégance, la fascination d'un œil serein par l'harmonieuse chanson des nuances[9] ».

Henry Déziré peindra des natures mortes tout au long de sa vie, et souvent des fleurs. Ses Monnaies du pape de 1929 et ses « bouquets en blanc majeur[10] » retiennent l'attention.

Portraits

Il commence très tôt à peindre des portraits, notamment ceux de ses bienfaiteurs, puis celui de sa fille (Portrait de Mademoiselle D. ou Portrait de ma fille, 1925)[11], qui fait partie des collections du Musée d'art moderne de Paris. Ce sont des portraits de l'intimité, à la forte présence, peints d'une manière franche et directe. Voici ce que dit le critique du Journal des débats : « Henry Déziré a résumé [dans ce portrait] tout son savoir attentif, loyal, sensible, là non plus rien d'apprêté, pas de manière: conscience et tact se sont entendus pour n'exprimer que le vrai en sa grâce simple »[11].

Nus

Nu accroupi devant la cheminée, 1907. Cliché H. Peyre

Les critiques le remarquent aussi pour ses nus, pudiques, aux tons dorés, où il s'émancipe des modèles académiques et cherche à mettre en valeur l'aspect décoratif, notamment dans le tableau intitulé Nu accroupi devant la cheminée, ou encore plus tard, dans les années 1920, où le critique J.C. Holl évoque « deux beaux nus de femmes qui vibrent dans la lumière »[12].

Paysages

La vie et l’œuvre d'Henry Déziré sont très marqués par ses voyages, dont il rapporte des paysages, souvent peints sur place.

La Rochelle, Oléron et la Vendée

Il a souvent peint La Rochelle, captant ses lumières aux tonalités grises (La Plage, 1935, Le Port de La Rochelle, vers 1940) ou celles de l'Ile d'Oléron Moulin, 1938, dont le critique Gallus écrit : « L'attention est aussitôt attirée par un panneau important d'œuvres de Déziré, qui lui ont valu le prix Puvis de Chavannes, et parmi lesquelles figurent une marine lumineuse et une petite toile sobre et pleine de distinction, d'un vieux moulin breton »[13], ou encore Les Bords de la Creuse à La Roche-Posay (1923)[14].

L'Italie

Il est attiré par l'Italie où il fait ses premiers séjours en 1912 et 1913, dans la région de Rome et de Naples (Villa d'Este, Villa d'Hadrien, Tivoli, Capri, Naples). Il est fasciné par les arbres et les paysages où se côtoient le gris-vert des oliviers et le noir des cyprès. Il rapportera assez de toiles pour faire deux expositions à la Galerie Druet, qui lui achète toute sa production[15].

Il va à Venise en 1937, et en donne une impression aux lumières pâles et argentées, avec une pâte plus riche. Ses sujets de prédilection sont le Grand Canal, le Palais des Doges, San Giorgio Maggiore, La Douane, les canaux, les ciels. Une fois rentré à Paris, il travaille à sa composition Carnaval de Venise qui lui vaut un prix en 1939 : « A l'occasion du Salon, la Société Nationale des Beaux-Arts vient de décerner ses prix annuels. Le prix Gillot-Dard (24,000 francs) a été attribué à M. Déziré pour son tableau Carnaval. »[16].

Temps de Guerre (1914-1918)

Empêché de s'engager pour combattre à cause des suites d'une grave typhoïde, il séjourne à Viviers-sur-Rhône (Ardèche), et y peint de grands peupliers, des paysages de ruines rocailleuses, des portraits. En 1917, rétabli, il est peintre aux Armées, affecté dans la zone de Wesserling, en Alsace.

Bretagne

Entre 1918 et 1921 il fait de nombreux séjours au Faouët (Morbihan). Il en rapporte des portraits, en particulier « une petite paysanne au profit nettement arrêté »[17] et « des paysanneries très réalistes », comme l'écrit J.L. Vaudoyer[18]. Un critique rapporte qu'il peint « une Bretagne âpre et vigoureuse, telle qu'elle est »[19].

Région de Sanary (Var)

À partir de 1924, il séjourne à plusieurs reprises à Sanary, à la recherche de lumières méridionales. Les toiles qu'il y peint sont pour la plupart des marines où il retrace « le calme et le repos des barques au bassin, dans des notes grises derrière quoi transparait le bleu méridional »[20]. Lors de l'exposition de ses toiles à la Galerie Devambez, Escholier parle de la « chaude lumière méditerranéenne » de ses marines[21].

Paris et l'Ile-de-France

Henry Déziré est très attaché à ce coin d'Ile-de-France où il a une maison (Avernes, Seine-et-Oise) et aussi à Paris. À partir de 1931 il peint des vues de Paris, notamment des bords de la Seine, de la Place de la Concorde, des Invalides, de la Chambre des Députés, des paysages du Vexin français, et aussi des natures mortes et des bouquets[22]. Il ne fera plus guère de voyages lointains à partir de ce moment-là, partageant son temps entre Paris et la campagne. Voici ce qu'il dit lui-même en 1932 : « Je passe mon été en Seine-et-Oise, à Avernes. J'ai choisi cette région d'Ile-de-France un peu oubliée des artistes pour me reposer de la vive lumière du Midi où je vais tous les ans depuis assez longtemps. Ici, à deux pas de Paris, je suis dans la vraie campagne, sans baigneurs ni touristes, c'est d'une quiétude que j'apprécie beaucoup pour le travail »[23].

  • La plage (1935) Coll. Musées d'Art et d'Histoire de La Rochelle, cliché Max Roy
    La plage (1935) Coll. Musées d'Art et d'Histoire de La Rochelle, cliché Max Roy
  • Venise (1937)
    Venise (1937)
  • Convoi militaire (1917)
    Convoi militaire (1917)
  • Les maquignons (1919), coll. Musée du Faouët
    Les maquignons (1919), coll. Musée du Faouët
  • Sanary, le grand voilier (1925)
    Sanary, le grand voilier (1925)
  • Paris, Place de la Concorde (vers 1940)
    Paris, Place de la Concorde (vers 1940)

Salons

Il envoie des tableaux régulièrement à différents salons de Paris et de province, ou même à l'étranger.

Salons de Paris

Il fait ses débuts à la Société des artistes français en 1904 et y expose encore à plusieurs reprises [24]. À partir de 1906 il expose au Salon d'automne. On lui confie l'accrochage et l'organisation générale du salon en 1930[25], et en 1932, c'est lui qui réalise l'affiche et les cartons d'invitation[26]. Il fera partie du jury pour le salon de 1936[27], et fera partie du Comité d'Honneur à partir de 1952[28]. Il envoie des toiles au Salon des indépendants[29], à la Société nationale des beaux-arts[30], au Salon des tuileries[31].

Il participe aussi au Salon des échanges, à partir de 1922. À l'occasion de ce salon, les artistes peuvent échanger toiles et objets d'art ou d'industrie. En 1933, on lui demande de faire un grand panneau décoratif pour le Salon des artistes décorateurs, et il réalise L'Hallali[32].

En 1926, il présente à la Rétrospective des Indépendants les toiles Pastorale, Les Laveuses, Retour de fête et Paysage[33].

Salons de province et de l'étranger

Le Salon d'automne se délocalise parfois en province et à l'étranger, et les toiles d'Henry Déziré sont accrochées à La Rochelle, en 1927, à Saint Étienne, en 1938 ou 39 puis en 1943, à Vienne (Autriche) en 1946. Le Salon des Tuileries envoie aussi des toiles notamment aux États-Unis, à Indianapolis en 1931 et à Dallas en 1932[34].

Expositions

Très tôt il expose ses toiles dans différentes galeries, pour des expositions qui lui sont consacrées en propre, ou bien où l'espace est partagé avec d'autres.

En France

Henry Déziré a la chance de pouvoir exposer ses toiles dans de nombreuses galeries, pour les vendre. Parmi les premières expositions celle de la Société Moderne à la galerie Durand-Ruel, rue Laffitte[35], celles de la Galerie Druet[36]. Puis il exposera à la Galerie Marcel Bernheim[37], à la galerie Devambez[38], ou encore à la galerie Charpentier qui lui consacrent chacune une grande exposition[39]. Certains lieux d'exposition sont moins habituels, comme pour l'exposition intitulée Paris vu par les peintres d'aujourd'hui organisée par le joailler Henry Kahn dans les vitrines de la rue Saint-Honoré[40].

Il expose beaucoup à Nantes, en particulier, à la Galerie Mignon-Massart, comme l'atteste sa correspondance.

À l'étranger

Comme le montrent les tampons des douanes françaises sur les châssis, les tableaux d'Henry Déziré ont voyagé en Allemagne, en Italie pour la Biennale de Venise en 1932, en Belgique pour de grandes expositions à Anvers et à Bruxelles[41], et aussi aux États-Unis où il a participé à la Summer Exhibition of Paintings at the Brooklyn Museum de New York, en 1925[42], ainsi qu'aux Exhibitions of Paintings from the Carnegie International, au Carnegie Institute de Pittsburgh.

Depuis sa mort (1965)

Il a été organisé deux expositions :

  • une rétrospective « Henry Déziré, 1878-1965, peintures et dessins » à la chapelle du Collège Fromentin de La Rochelle, exposition organisée par la Société des Amis des Arts de La Rochelle, du au [43].
  • une exposition à la galerie Roland Maréchal, l'Ami des Lettres, à Bordeaux, en 1996.

Le Musée du Faouët organise une exposition rétrospective du au , à l'occasion du cinquantième anniversaire de la mort d'Henry Déziré[44].

Prix et récompenses

En 1901, il obtient une 3e seconde médaille au concours d'esquisse peinte 1er degré[45], puis en 1902 une mention au concours Fortin d'Ivry (concours de perspective) en composition à deux degrés[45].

En 1904 il reçoit une mention honorable au Salon des Artistes Français[1], puis, en 1936, une 2e mention honorable au Carnegie International de Pittsburgh pour Field Flowers (Fleurs des champs)[46], en 1938 le prix Puvis de Chavannes pour son panneau à la Nationale des Beaux-Arts (marine bretonne et moulin à vent)[47], en 1939 le prix Gillot-Dard (24,000 francs) pour Carnaval, ce prix étant décerné à la meilleure composition[48], en 1948 le prix Dulac et en 1958 le prix Bastien Lepage.

Collections publiques

Un certain nombre de musées possèdent des toiles d'Henry Déziré, notamment le Musée d'Art Moderne de Paris, Centre Georges Pompidou [49], le Palais des Beaux-Arts de Lille (Nord)[50], le Musée des Beaux-Arts de Nantes (Loire Atlantique)[51], le Musée d'Art et d'Histoire Marcel Dessal à Dreux (Eure-et-Loir) [52], le Musée d'Art Moderne et Contemporain de Saint-Étienne Métropole (Loire)[53], le Centre National des Arts Plastiques[54], le musée d'Art et d'Archéologie de Guéret (Creuse)[55], sans oublier le musée des Beaux-Arts de La Rochelle[56], le musée du Faouët[44], le Musée Alfred-Canel à Pont-Audemer et le musée Baron-Martin a Gray (Haute-Saône).

Ventes aux enchères

Les tableaux d'Henry Déziré passent parfois dans les salles de ventes. Parmi les ventes qui ont eu lieu depuis les années 2000, voici quelques résultats dont on trouve la trace sur les sites de ventes aux enchères : Nymphes au bain, huile sur toile, a été vendu à la Nouvelles Orléans (États-Unis), le pour 4 800 $[57], Bouquet de roses, 1912, huile sur toile, a été vendu à New York (Christie's), le pour 1 500 $[58], Nu accroupi devant la cheminée, 1907 a été vendu à Lyon (Conan rive gauche), le pour 6 800 [59], Muse et bergers, pastorale, 1917, huile sur toile, a été vendu à Paris (Drouot), le pour 1 800 [60].

Annexes

Bibliographie

Il peut y avoir des variations sur l'orthographe du nom: Déziré ou Désiré, Henry ou Henri.

Le nom d'Henry Déziré figure dans plusieurs dictionnaires des artistes :

  • Benezit Dictionary of Artists.
  • Allgemeines Künstlerlexicon en ligne.
  • Panorama of French Painting in 1940, éditions Wildenstein and Co, New York, 1940.
  • Dictionnaire des Petits Maîtres de la peinture, 1820-1920, Schurr et Cabane, éditions Amateur, 2008.
  • Dictionnaire biographique des artistes contemporains 1910-1930, René Édouard-Joseph, éditions Art et Édition, Paris, 1930.
  • Les peintres bordelais, Didier Cousin, site web[61].
  • La cote des peintres, 2015, J. A. Akoun, accessible en ligne[62].

Il lui a été consacré quelques monographies et articles divers :

  • Henry Déziré, 1878-1965, Jean-Marc Michaud, publication du Musée du Faouët, , éditions Liv'Éditions.
  • Drogues et Peintures, album d'art contemporain, no 34 Henry Déziré, Laboratoire Chantereau, vers 1935.
  • La jeune peinture contemporaine, J. C. Holl, éditions de la Renaissance contemporaine, 1912.
  • La peinture, Tristan Leclère, éditions Sansot et Cie, 1913.
  • Henry Déziré dans l'Art et les Artistes, William Romieux, tome XVI, .
  • Henri Déziré, Romieux, Akademos, juillet 1909.

Notes et références

  1. Gazette de France, 2 mai 1904.
  2. Tabarant, Le Siècle, 7 octobre 1911.
  3. Thiebault-Sisson, Le Temps, 20 avril 1921.
  4. Hofmann, Journal des Arts, 21 avril 1926.
  5. Tout Paris (pseudonyme), Le Gaulois, 7 février 1909.
  6. Gustave Kahn, « Les artistes décorateurs », Le Mercure de France, .
  7. René Jean, Le Temps, 16 mai 1939.
  8. Aubry, Le Petit Havre (Le Havre), 18 novembre 1905.
  9. J. C. Holl, Les Salons, 1906.
  10. Arsène Alexandre, « Le salon des Tuileries », Le Figaro, 7 mai 1929, p. 6 lire en ligne sur Gallica.
  11. Sarradin, Journal des Débats, 2 octobre 1925.
  12. J.C. Holl, Correspondance Artistique, 15 novembre 1927.
  13. Gallus, La Bretagne à Paris, 2 juillet 1938.
  14. Fegdal, Bonsoir, 18 mai 1923.
  15. Henri Genet, « Exposition Henry Déziré », L'opinion, .
  16. Excelsior, 12 mai 1939.
  17. Journal des Arts, 22 octobre 1920.
  18. J. L. Vaudoyer, Écho de Paris, 11 février 1921.
  19. Victoire, 20 février 1920.
  20. René Jean, Le Petit Provençal, 30 mai 1925
  21. Escholier, Le Dépêche (Toulouse), 17 mai 1925
  22. Charnage, La Croix, 30 juin 1931.
  23. « Peintres, en quelle province de France passez-vous l'été? réponses recueillies par Gaston Poulain », Comœdia, .
  24. Gazette des Beaux Arts, 1er juin 1906.
  25. Chavance, Liberté, 1er novembre 1930.
  26. Catalogue du Salon d'Automne, 1932.
  27. Catalogue du Salon d'Automne, 1936.
  28. Catalogue du Salon d'Automne, 1952.
  29. Courrier de La Rochelle, 15 mai 1904.
  30. Fegdal, Revue Contemporaine, avril 1922.
  31. René Jean, Le Provençal (Marseille), 15 mai 1923.
  32. Gustave Kahn, « les artistes décorateurs », Mercure de France, .
  33. René Édouard-Joseph, Dictionnaire biographique des artistes contemporains, tome 1, A-E, Art & Édition, 1930, p. 409
  34. Maureen Osburn, « Petites Tuileries on View », Dallas Morning News, .
  35. Thebault-Sisson, Le Temps, 27 février 1909.
  36. Henri Genet, « Exposition Henry Déziré », l'Opinion, .
  37. Louis Vauxcelles, « Modigliani, Déziré et Charlot », Excelsior, .
  38. Alexandre, Le Figaro, 25 mars 1925.
  39. J.C. Holl, « Henry Déziré, Henry Ottmann, la peinture en zigzags », La Correspondance Artistique Internationale, no 53, .
  40. Renée Moutard-Uldry, Beaux-Arts, 28 juin 1935.
  41. Catalogue illustré de l'exposition des œuvres d'Henry Déziré (17 au 28 février 1926) à la Galerie des Artistes Français, Passage Colonial, 35 chaussée d'Ixelles, Bruxelles.
  42. « The World of Art: Summer Exhibition of Painting at the Brooklyn Museum », New York Times, , SM18.
  43. Catalogue de l'exposition Henry Déziré organisée par la Société des Amis des Arts de La Rochelle, 14 mars-30 avril 1986.
  44. « Exposition 2015 : Henry Déziré (1878-1965) », sur le site du musée du Faouët (consulté le ).
  45. Archives de l'École des Beaux-Arts de Paris.
  46. Excelsior, 17 octobre 1936.
  47. Bretagne à Paris, 2 juillet 1938.
  48. Bretagne à Paris, 2 juillet 1939.
  49. « Œuvres de Henry Déziré dans la collection en ligne du Centre Pompidou », sur collection.centrepompidou.fr (consulté le ).
  50. N° d'inventaire p. 1944, don de la famille Masson en 1979.
  51. « Œuvres dans la collection en ligne du Musée des Beaux-Arts de Nantes », sur navigart.fr (consulté le )
  52. « Œuvres de Henry Déziré au Musée de Dreux », sur le site de Webmuseo (consulté le ).
  53. « Œuvres dans la collection en ligne du Musée d'Art Moderne et Contemporain de Saint-Étienne Métropole »
  54. « Œuvres dans la collection en ligne du Centre National des Arts Plastiques », sur cnap.fr (consulté le )
  55. Pas de fichier image disponible sur le web.
  56. « Œuvres de Henry Déziré sur le site Alienor.org ».
  57. « Nymphes au bain », sur le site de Artnet (consulté le ).
  58. « Bouquet de roses vente chez Christie's », sur le site de Invaluable (consulté le ).
  59. « Nu accroupi devant la cheminée, 1907 », sur le site de Vincent Lécuyer (consulté le ).
  60. « Muse et bergers,pastorale », sur le site de Artnet (consulté le ).
  61. « dictionnaire des peintres bordelais », sur le site des peintres bordelais.
  62. « la cote des peintres:Henri Déziré », sur le site de La cote des peintres de J.A. Akoun (consulté le ).

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