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Heinz-Wolfgang Schnaufer

Heinz-Wolfgang Schnaufer, né le et mort le était un as allemand de la Seconde Guerre mondiale, connu pour ses 121 victoires dans la chasse de nuit.

Heinz-Wolfgang Schnaufer
Heinz-Wolfgang Schnaufer

Naissance
Calw
DĂ©cĂšs
prĂšs de Biarritz[1]
Origine Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Allégeance TroisiÚme Reich
Arme Luftwaffe
Grade Major
AnnĂ©es de service 1939 – 1945
Conflits Seconde Guerre mondiale
Faits d'armes DĂ©fense du Reich
Distinctions Croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chĂȘne, glaives et brillants

Biographie

Il remporte sa premiÚre victoire dans la nuit du 1er au , en abattant un quadrimoteur Halifax dans la région de Louvain. Sa 50e victime tombe dans la nuit du 24 au .

Il semble que les avions qu'il utilisa furent toujours des Messerschmitt Bf 110, mais il testa un prototype biplace Dornier Do 335 en , dans l'éventualité d'en faire un chasseur de nuit.

Le , ĂągĂ© de 22 ans, aprĂšs sa centiĂšme victoire (le ), il est le 21e Ă  recevoir la croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chĂȘne, glaives et brillants, plus haute distinction militaire allemande de la Seconde Guerre mondiale (27 rĂ©cipiendaires) , aprĂšs la Croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chĂȘne et glaives en or et brillants (1 rĂ©cipiendaire).

Il obtient son plus grand succÚs le en début de nuit, en abattant neuf appareils alliés. Des recherches effectuées aprÚs-guerre tendent à prouver qu'il aurait en fait abattu 10 appareils[2]. Le il remporte ses 3 derniÚres victoires.

Il meurt en 1950 lors d'un accident de voiture prĂšs de Biarritz.

DĂ©corations

La dérive du Messerschmitt Bf 110 de Schnaufer avec les emblÚmes de ces victoires.

Grades

:Leutnant (Lieutenant de seconde classe)
:Oberleutnant (lieutenant de premiĂšre classe)
:Hauptmann (capitaine)
:Major

Notes et références

Notes

  1. According to Scherzer on 3 August 1944[7].

Références

  1. Page Wikipedia en allemand
  2. www.cieldegloire.com
  3. Kurowski 2007, p. 139.
  4. Obermaier 1989, p. 25.
  5. Patzwall and Scherzer 2001, p. 417.
  6. Fellgiebel 2000, p. 384.
  7. Scherzer 2007, p. 675.
  8. Fellgiebel 2000, p. 84.
  9. Fellgiebel 2000, p. 44.
  10. Fellgiebel 2000, p. 38.

Voir aussi

Sources

Liens externes

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