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Handball aux Jeux olympiques d'été de 1992

Les tournois masculin et féminin de handball aux Jeux olympiques d'été de 1992 organisés à Barcelone (Espagne), se sont déroulées du 27 juillet au . Les matchs ont eu lieu sur deux sites : à Granollers au Palais des sports pour les matchs de poule et à Barcelone au Palau Sant Jordi les finales.

Handball aux
Jeux olympiques 1992
Description de l'image Handball pictogram.svg. Description de l'image Olympic rings.svg.
Généralités
Sport Handball
Organisateur(s) CIO, IHF
Édition H. : 6e[1] ; F. : 5e
Lieu(x) Barcelone, Drapeau de l'Espagne Espagne
Date du
au
Participants 20 équipes (12 masc. et 8 fém.)
Épreuves 2
Site(s) Palais des sports, Granollers
Palau Sant Jordi, Barcelone, Drapeau de l'Espagne Espagne
Palmarès
Tenant du titre masculin Union soviétique
féminin Corée du Sud
Vainqueur masculin Équipe unifiée
féminin Corée du Sud
Finaliste masculin Suède
féminin Norvège
Troisième masculin France
féminin Équipe unifiée

Navigation

Le nombre de participants est identique aux Jeux olympiques de 1988 (12 équipes masculines et 8 équipes féminines), mais le déroulement a été changé. Chez les hommes sont introduites les demi-finales, permettant aux équipes classées deuxièmes d'avoir l'opportunité d'atteindre la finale, même si ce cas ne se présente finalement pas. Chez les femmes, le tournoi final est remplacé par une phase finale (demi-finales et finale).

Chez les hommes, l'Équipe unifiée conserve son titre acquis en 1988 sous l'égide de l'URSS en devançant la Suède et la France. Chez les femmes, le podium est le même que quatre ans plus tôt, la Corée du Sud remportant l'or devant la Norvège et l'Équipe unifiée.

Podiums finaux

Tournoi féminin

Les effectifs sur le podium du tournoi féminin sont[2] :

Tournoi masculin

Les effectifs sur le podium du tournoi masculin sont[4] :

Tournoi olympique femmes

Qualifications

À l'issue du Championnat du monde 1990, les quatre premières équipes ont obtenu leur qualification pour ces Jeux olympiques. Mais entre-temps, ces quatre nations ont été grandement touchés par des changements politiques : l'URSS, championne du monde, est représentée par l'équipe unifiée tandis que la Yougoslavie, finaliste, ne peut participer du fait des sanctions internationales de l'ONU. Enfin, la RDA et la RFA, respectivement 3e et 4e, concourent désormais sous l'égide de l'Allemagne unifiée. Par conséquent, l'Autriche, 5e, et la Norvège, 6e, sont conviées au tournoi olympique. L'Espagne étant automatiquement qualifiée en tant que pays hôte, les trois places restantes sont attribuées aux champions continentaux : la Corée du Sud (Asie et champion olympique en titre), le Nigeria (Afrique) et les États-Unis (Amériques).

Résumé du tournoi

Au tour préliminaire, l'Équipe unifiée et l'Allemagne dominent facilement les États-Unis et le Nigeria dans la poule A. Dans la poule B, les Sud-Coréennes ont battu à plates coutures 26 à 17 la Norvège, invitée de dernière minute à la suite de l'exclusion de la Yougoslavie, bannie par le CIO quelques jours avant la cérémonie d'ouverture. Mais les Autrichiennes renforcées par trois joueuses précédemment médaillées sous les maillots de la Yougoslavie (Jasna Kolar-Merdan et Slavica Đukić (en)) ou de l'URSS (Natalia Rusnachenko) parviennent à faire match nul (17-17) face aux Coréennes et comme ces dernières ont remporté leur dernier match face aux Espagnoles, la seconde place qualificative se joue lors du match opposant la Norvège à l'Autriche. Dans un match tendu, et malgré les 7 buts de l'Autrichienne d'origine Roumaine Edit Matei (en), les Scandinaves s'imposent finalement 19 à 17.

Les deux demi-finales ont été des matchs très serrés : les Allemandes se sont inclinées de peu face aux Coréennes (26-25) tandis que les Norvégiennes ont battu les joueuses de l'Équipe unifiée grâce à un but de Siri Eftedal à trois secondes de la fin du match (24-23). À l'opposé, la finale a été à sens unique : après avoir brièvement mené en début de rencontre, les Norvégiennes ont été nettement dominées par les Sud-Coréennes (28-21), comme lors de leur premier match de poule. La Corée du Sud remporte ainsi son deuxième titre olympique consécutif et, les ex-soviétiques ayant battu les Allemandes (24-20), le podium est finalement identique à celui de 1988.

Groupe A

Équipe Pts J G N P Bp Bc Diff
1 Équipe unifiée 6 3 3 0 0 77 5819
2 Allemagne 4 3 2 0 1 86 6125
3 États-Unis 2 3 1 0 2 57 76-19
4 Nigeria 0 3 0 0 3 56 81-25
  • Qualification pour les demi-finales
  • Éliminé

Groupe B

Équipe Pts J G N P Bp Bc Diff
1 Corée du Sud 5 3 2 1 0 82 6121
2 Norvège 4 3 2 0 1 55 60-5
3 Autriche 3 3 1 1 1 64 622
4 Espagne 0 3 0 0 3 50 68-18
  • Qualification pour les demi-finales
  • Éliminé

Phase finale

En finale, la Corée du Sud bat la Norvège 28-21 (16-8)[7] :

Dans le match pour la 3e place, l'équipe unifiée bat l'Allemagne 24-20 (10-9)[7] :

Matchs de classement

DateTourÉquipe 1ScoreÉquipe 2
Match pour la 5e placeAutriche 26 – 17 États-Unis
Match pour la 7e placeEspagne 26 – 17 Nigeria

Statistiques et récompenses

L'équipe-type des Jeux olympiques est[3] :

Meilleures marqueuses
RangJoueuseÉquipeButsTirs%MJMoy.
1Natalia Morskova Équipe unifiée416167,2 %58,2
2Lim O-kyeong Corée du Sud304369,8 %56,0
3Jasna Merdan-Kolar Autriche234057,5 %45,8
4Lee Mi-young Corée du Sud233663,9 %54,6
5Silvia Schmitt Allemagne224153,7 %54,4
6Heidi Sundal Norvège213265,6 %54,2
7Oh Seong-ok Corée du Sud204445,5 %54,0
8Auta Olivia Sana Nigeria193652,8 %36,3
9Marina Bazanova Équipe unifiée192673,1 %53,8

Tournoi olympique hommes

Qualifications

La plupart des participants ont obtenu leur qualification à l'occasion du Championnat du monde 1990 : aux côtés du champion du monde Suédois et du finaliste Soviétique, la Roumanie, la Yougoslavie, l'Espagne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et l'Allemagne de l'Est ont obtenu leurs billets pour ces Jeux olympiques. L'Espagne étant déjà qualifiée en tant que pays hôte, sa place qualificative a été redistribuée à la France, classée 9e. Toutefois, les années 1990 et 1991 sont marquées par une multitude d'événements politiques avec la dislocation de l'Union soviétique, la réunification allemande, la fin de l'apartheid en Afrique du Sud ou encore la guerre qui fait rage en ex-Yougoslavie. Dans ce contexte mondial, le Comité international olympique souhaitant réunir le plus grand nombre de pays pour réaliser des jeux universels, l'équipe unifiée remplace l'URSS, l'Allemagne de l'Est concourt sous la bannière d'une Allemagne réunifiée tandis que la Yougoslavie, sous sanctions internationales de l'ONU, ne peut participer. Cette dernière est alors remplacée par l'Islande, 10e du Mondial 1990. Les trois dernières places qualificatives sont enfin attribuées aux trois champions continentaux : l'Égypte (vainqueur du Championnat d'Afrique), la Corée du Sud (vainqueur du Championnat d'Asie) et Cuba (vainqueur des Jeux panaméricains). Cependant, Cuba ayant déclaré forfait pour des raisons économiques, le Brésil (vice champion) fait alors ses débuts olympiques[8].

Le tirage au sort des groupes a eu lieu le et avait alors conduit à la répartition suivante[9] :

  • Poule A : Suède, Tchécoslovaquie, Yougoslavie, représentant panaméricain, Hongrie, représentant asiatique
  • Poule B : URSS, Allemagne, Roumanie, Espagne, France, représentant africain.

Résumé du tournoi

Au tour préliminaire, dans la poule A, la Suède a confirmé son titre de champion du monde en dominant avec une relative facilité tous ses adversaires. L'autre performance remarquable est celle des Islandais, remplaçant au pied levé la Yougoslavie, qui ont réalisé un match nul 16-16 face aux Tchécoslovaques et ont obtenu une victoire étriquée mais méritée face aux vice-champions olympiques en titre Sud-Coréens (26-24) avant de s'incliner face aux Suédois lors du dernier match alors que les deux équipes étaient assurées de participer aux demi-finales. Dans la poule B, on retrouve un schéma quasiment identique : l'Équipe unifiée, héritière d'une URSS défaite en finale du championnat du monde, remporte tous ses matchs. Seule équipe à avoir réussi à leur tenir tête (23-22), la France est la surprise de cette poule, ayant notamment écarté les hôtes Espagnols 18 à 16 lors de leur premier match.

En demi-finale, l'Islande a failli créer la surprise face à l'Équipe unifiée, menant 16-15 à 15 minutes de la fin du match. Finalement, Talant Douïchebaïev, auteur de 9 buts, et ses coéquipiers appuient sur l'accélérateur et s'imposent 23 à 19. Dans l'autre match, la Suède, qui menait confortablement 20 à 14 face à la France, a vu son avance fondre lors du dernier quart d'heure au point de voir les Français revenir à un but (23-22). Mais, au prix d'un dernier effort, les Scandinaves s'imposent finalement 25 à 22. La finale est donc pour une revanche du Championnat du monde 1990. Après une première mi-temps serrée (9-9), les Suédois prennent un temps une avance de deux buts (14-12), vite comblée par l'Équipe unifiée qui remporte ce match 22 à 20 et de facto son troisième titre après 1976 et 1988, même si seul Andreï Lavrov était déjà champion olympique à Séoul. Dans le match pour la troisième place opposant les deux équipes surprises du tournoi, la France remporte la médaille de bronze aux dépens de l'Islande et donc son premier trophée : les « Bronzés » sont ainsi les précurseurs des Barjots qui deviendront champions du monde en 1995.

Groupe A

Équipe Pts J G N P Bp Bc Diff
1 Suède 10 5 5 0 0 120 8634
2 Islande 7 5 3 1 1 101 992
3 Corée du Sud 6 5 3 0 2 114 117-3
4 Hongrie 4 5 2 0 3 102 108-6
5 Tchécoslovaquie 3 5 1 1 3 94 922
6 Brésil 0 5 0 0 5 96 125-29
  • Qualification pour les demi-finales
  • Éliminé

Groupe B

Équipe Pts J G N P Bp Bc Diff
1 Équipe unifiée 10 5 5 0 0 121 9823
2 France 8 5 4 0 1 111 9813
3 Espagne 6 5 3 0 2 97 98-1
4 Roumanie 3 5 1 1 3 107 115-8
5 Allemagne 3 5 1 1 3 97 103-6
6 Égypte 0 5 0 0 5 92 113-21
  • Qualification pour les demi-finales
  • Éliminé

Phase finale

Demi-finales Finale
Équipe unifiée 23
Islande 19
Équipe unifiée 22
Suède 20
France 22
Suède 25
Match pour la 3e place
France 24
Islande 20

Demi-finales


19h00
France 22 - 25 Suède Palau Sant Jordi, Barcelone, Drapeau de l'Espagne Espagne
Arbitrage : Marek Szajna et Jacek Wróblewsk
Denis Lathoud 6 (10-11) Pierre Thorsson 6

FFHB
LA84


Match pour la troisième place


15h00
Islande 20 - 24 France Palau Sant Jordi, Barcelone, Drapeau de l'Espagne Espagne
Arbitrage : Drapeau : Équipe unifiée Grigorij Guterman et Youri Taranoukhine
Valdimar Grímsson 5 (9 - 12) Laurent Munier 6

FFHB
LA84

Islande
Gardiens :
GB12Guðmundur Hrafnkelsson0/0
GB16Bergsveinn Bergsveinsson0/0
Joueurs de champ :
DC2Birgir Sigurðsson1/1
AL3Jakob Sigurðsson1/1
ALD5Valdimar Grímsson5/11
DC6Gunnar Gunnarsson4/7
ARG8Patrekur Jóhannesson0/1
ALG9Konráð Olavsson3/4
AR10Héðinn Gilsson3/8
P11Geir Sveinsson0/0
AR14Einar Sigurðsson0/2
AR15Júlíus Jónasson3/7
Entraîneur : Þorbergur Aðalsteinsson
Feuille de match[10] - [11]
Islande Statistiques France
20/42Buts marqués24/44
47,62 % % réussite54,55 %
4/6Jets de 7m2/4
? minSuspensions? min
?Cartons jaunes ?
?Cartons rouges ?
France
Gardiens :
GB12Jean-Luc Thiébaut0/0
GB16Frédéric Perez0/0
Joueurs de champ :
DEF3Pascal Mahé2/4
ARG5Frédéric Volle4/8
ARG6Denis Lathoud1/4
P9Gaël Monthurel1/2
ALD11Éric Quintin4/5
P13Philippe Gardent3/5
ALG14Thierry Perreux1/3
ARD15Laurent Munier6/9
DC17Jackson Richardson1/3
ARD18Stéphane Stoecklin1/1
Entraîneur : Daniel Costantini

Finale

Suède
Gardiens :
GB1Mats Olsson0/0
GB16Tomas Svensson0/0
Joueurs de champ :
DC3Magnus Wislander2/4
AR5Ola Lindgren3/6
P6Per Carlén3/4
AL7Erik Hajas7/11
AL8Magnus Cato0/0
P9Axel Sjöblad0/0
AR10Robert Andersson1/3
AL11Pierre Thorsson3/6
ARD13Staffan Olsson0/2
DC14Magnus Andersson1/4
Entraîneur : Bengt Johansson
Feuille de match[10] - [11]
Drapeau de la Suède Suède Statistiques Drapeau Équipe unifiée
20/40Buts marqués22/44
50 % % réussite50 %
0/0Jets de 7m0/3
? minSuspensions? min
?Cartons jaunes ?
?Cartons rouges ?

[vidéo] Finale entière, sans commentaires[12]

Drapeau Équipe unifiée
Gardiens :
GB1Andreï Lavrov0/0
GB16Igor Tchoumak0/0
Joueurs de champ :
AR2Igor Vassiliev0/1
AL3Iouri Gavrilov5/7
DC4Andreï Barbachinski4/5
DC7Sergueï Bebechko0/1
Alg8Valeri Gopine1/2
AR9Vassili Koudinov3/6
DC10Talant Douïchebaïev4/14
ARD13Mikhaïl Iakimovitch4/7
P14Oleg Grebnev0/0
AR15Oleg Kisselev1/1
Entraîneur : Spartak Mironovitch

Matchs de classement

DateTourÉquipe 1ScoreÉquipe 2
Match pour la 5e placeCorée du Sud 21 – 36 Espagne
Match pour la 7e placeRoumanie 19 – 23 Hongrie
Match pour la 9e placeTchécoslovaquie 20 – 19 Allemagne
Match pour la 11e placeÉgypte 27 – 24tab Brésil

Remarque : dans le match pour la 11e place, l'Égypte a eu besoin de passer par une séance de tirs au but pour s'imposer face au Brésil (10-8, 19-19, 22-22, 24-24, 27-24).

Statistiques et récompenses

L'équipe-type des Jeux olympiques[5] - [13] :

Meilleurs buteurs
RangJoueurÉquipeJButsMoy.
1Talant Douïchebaïev Équipe unifiée7476,7
2Cho Chi-hyoDrapeau de la Corée du Sud Corée du Sud6457,5
3Valdimar GrímssonDrapeau de l'Islande Islande7355,0
4Alberto UrdialesDrapeau de l'Espagne Espagne4307,5
Robert LicuDrapeau de la Roumanie Roumanie65,0
Erik HajasDrapeau de la Suède Suède65,0
7Mikhaïl Iakimovitch Équipe unifiée7294,1
8Cristian ZahariaDrapeau de la Roumanie Roumanie6274,5
Valeri Gopine Équipe unifiée73,9

Arbitres

La Fédération internationale de handball (IHF) a sélectionné 12 binômes d'arbitres pour les deux tournois[14] :

  • Klaus Dieter Convents et Roger Xhonneux (de)
  • Svein Olav Øie et Bjørn Hogsnes
  • Ole Christensen (2) et Per Godsk Jørgensen (2)
  • Marek Szajną et Jacek Wróblewski
  • Ramón Gallego Santos et Victor Pedro Lamas Pérez
  • Stefan Jug (2) et Herbert Jeglić (2)
  • Jean Lelong (3) et Gérard Tancrez (3)
  • Fritz Rudin et Roger Schill
  • Hans Thomas et Jürgen Thomas
  • Bo Johansson et Bernt Kjellqvist
  • Grigory Gouterman (2) et Iouri Taranoukhine
  • F. Shimada et N. Goto

Les Français Jean Lelong et Gérard Tancrez participent à leurs troisièmes Jeux olympiques tandis que cinq autres arbitres ont précédemment officié à Séoul en 1988.

Notes et références

  1. Il s'agit de la 6e apparition à 7 joueurs et en salle mais la 7e apparition du handball masculin aux Jeux olympiques, la première (en 1936) s'étant jouée à 11 joueurs et en plein air.
  2. « 1992 Summer Olympics, Handball, Women », sur Olympedia.org (consulté le )
  3. (en + fr) « Handball et jeux olympiques (Women - 1992 - Barcelona) » [PDF], Fédération internationale de handball (consulté le ), p. 32-33
  4. « 1992 Summer Olympics, Handball, Men », sur Olympedia.org (consulté le )
  5. (en + fr) « Handball et jeux olympiques (Men - 1992 - Barcelona) » [PDF], Fédération internationale de handball (consulté le ), p. 29-31
  6. Remarque : bien qu'indiqués dans le fichier de l'IHF, Dimitri Filipov, Pavel Soukossian, Andreï Minevski et Viatcheslav Gorpichine n'ont pas participé à la compétition : il n'apparaissent ni sur Olympedia[4] ni sur le rapport officiel [PDF].
  7. « Les Coréennes sacrées », Handball magazine n°282, Fédération française de handball, (consulté le )
  8. « Handball Hebdo n°5 », Fédération française de handball, (consulté le ), p. 6
  9. Jean-Louis Michel, « Tirage au sort des Jeux olympiques : La France en bonne compagnie », Hand-ball : bulletin fédéral, Fédération française de handball, no 272, , p. 49 (lire en ligne, consulté le ).
  10. (en + fr) Jeux de la XXVe Olympiade Barcelona 1992 : Les résultats, vol. 5, LA84 Foundation.org, 537 p. (lire en ligne [PDF]), p. 248.
  11. « Les résultats », Handball magazine, Fédération française de handball, no 282, , p. 47 (lire en ligne).
  12. [vidéo] Juegos Olímpicos 1992 - EUN vs SWE - Final (Barcelona) sur YouTube (consulté le )
  13. « Le Sept magique », Handball magazine, Fédération française de handball, no 282, , p. 48 (lire en ligne, consulté le ).
  14. « Arbitres aux Jeux olympiques (1936-2012) » [PDF], Fédération internationale de handball (consulté le )

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Bibliographie

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