HĂ´tel de Chapelaines
L'Hôtel de Chapelaines est un hôtel particulier du XVIe siècle situé à Troyes, en France. Il est en partie inscrit monument historique depuis 1926[1].
Destination initiale | |
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Style |
renaissance |
Construction |
1536 |
Propriétaire |
personne privée |
Patrimonialité |
Pays | |
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Province | |
RĂ©gion | |
DĂ©partement | |
Commune | |
Adresse |
55, rue de Turenne |
Coordonnées |
48° 17�nbsp;37�nbsp;N, 4° 04�nbsp;24�nbsp;E |
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Localisation
Il est situé au 55 de la rue Turenne[2], sur la commune de Troyes, dans le département français de l'Aube.
Historique
Le terrain
Avant la construction de ce bâtiment, le terrain est occupé depuis le XIIIe siècle par des bouchers, des teinturiers et des drapiers et appartient pour partie à l'abbaye de Clairvaux[n 1], et pour partie à l'abbaye Notre-Dame des Prés. Un égout, longeant le mur du futur hôtel, en marque la limite sud[3]. Il semble qu'il y ait eu à cet emplacement un bâtiment dit « maison de Clairvaux » dès la fin du XIIe siècle, situé sur le côté Est de la rue de Croncels - voie menant vers le bourg de Croncels à l'extérieur des murs de la ville. La porte de Croncels (une des portes de la ville) se trouvait à une centaine de mètres au sud du futur hôtel[4].
En 1470, l'abbaye de Clairvaux loue par bail emphytéotique les terrains lui appartenant à Pierre Largentier, teinturier de draps faisant partie de la noblesse marchande[n 2], et à sa femme Gilette Festuot. Trois ans après, en 1473, Pierre Largentier et sa femme prennent également à bail emphytéotique de l'abbaye de Notre-Dame des Prés un terrain avec un jardin et une maison dont la façade donnait sur la rue du Gros-Raisin. La location de ces biens passe en 1487 au fils du couple, Nicolas Largentier (II)[n 2], également teinturier de draps, et à sa femme Babelette (Élisabeth) Le Tartier[3].
L'hĂ´tel des Largentier
Survient le grand incendie de Troyes en 1524, suite à quoi les baux consentis par les deux abbayes sont convertis en une vente à titre perpétuel. Nicolas Largentier (II) fait alors construire l'hôtel en pierre[3] au no 9 de la rue Turenne.
En 1535 cet hôtel est appelé « Grand hôtel de Clairvaux » [n 3] et son propriétaire est Nicolas Largentier[n 2] (V[n 4]), petit-fils du précédent et époux de Simonette Maillet. Il prend vis-à -vis de l'abbaye de Clairvaux l'engagement de parachever les travaux, « si parachevez ne sont ». Le gros œuvre est vraisemblablement terminé l'année suivante, 1536[5].
A la mort de Nicolas Largentier (V) et de sa femme, la propriété passe à l'un de leurs enfants, Nicolas Largentier (VI) (�610[6])[n 2] et sa femme Marie Le Mairat (�628[7])[n 5]. C'est l'époque des guerres de religion, et il quitte femme, commerce et maison pour se mettre au service du roi Henri IV en combattant la Ligue. Pendant son absence, la maison est pillée en 1586[8] par les corps de métiers ameutés contre les commissaires chargés de lever un impôt sur les métiers[9] - [10] ; mais après la fin des hostilités, le roi le dédommage avec un don de 20 000 livres en assignations[n 6] - [n 7] - [8]. Il devient seigneur de Vaucemin[n 8], baron de Chapelaines, seigneur de Vassimont et Haussimont, de Vaurefroy, de Lenharée en partie, de Vauchassis et Thennelières en partie, etc., vicomte de Neufchâtel-sur-Aisne, seigneur de Ternon et de Léguillon[5]. Il devient seul adjudicataire des fermes de France et s'en enrichit considérablement[8]. il achète en 1597 de Catherine de Clèves, duchesse de Guise, la terre de Chapelaines à Vassimont dans la Marne[11], et y fait construire un vaste château[n 9]. A cette époque, la maison de la rue de Turenne prend le nom de Chapelaines.
par Charles Fichot[9]
Après les Largentier
A la mort de Marie Le Mairat en 1628, l'hôtel passe à l'un de leurs fils, Louis Largentier[9] (1581-1639[12])[n 2], qui dissipe toute sa fortune dans des recherches d'alchimie - y compris de faire exploser le château de Chapelaine. A sa mort en 1639, l'hôtel de la rue de Turenne est saisi à la requête des créanciers et vendu pour 14 300 francs à Louis de la Fertey, achetant pour le compte de l'épicier de Troyes Sorel. A terme, il arrive par héritage à sa nièce Edmée Denise, femme de Louis de La Fertey. Pendant son veuvage elle le vend à M. Rapault, mais François Camusat de Riancey exerce son droit de retrait lignager et l'achète le 31 juillet 1697. Cette maison passe ensuite à ses héritiers Jean Camusat de Riancey et Marie-Claude Camusat[9], femme de François-Joseph de Loynes de la Potinière (1704-1762[13]), auditeur des comptes à Paris.
En 1774, Marie-Claude Camusat est veuve et habite l'hôtel, qui est alors connu sous le nom d'hôtel de Loynes. Sa fille - ou sa petite-fille[n 10] -, Élisabeth-Louise de Loynes, épouse de Victor Paillot, maire de Troyes (1800-1803) et député de l'Aube (1815-1820), hérite de l'hôtel. Elle y accueille l'empereur d'Autriche le 8 février 1814. L'hôtel passe ensuite à son fils, Jacques-Eugène Paillot-Lemuet (�860), secrétaire général de la préfecture de l'Aube. Lors de la transformation de la grande pièce principale en appartements[14], dès avant 1853[15], la cheminée est déménagée au musée Saint-Loup, dans la section Arts décoratifs (sculpture, 1re salle)[16].
En 1889 l'hôtel appartient à la descendance de Jacques-Eugène Paillot[17].
Visiteurs célèbres
Le roi Louis XIII, en chemin vers le Dauphiné pour y secourir le duc Charles Ier de Mantoue (guerre de succession de Mantoue), y est reçu le 23 janvier 1629 par Louis Largentier et sa femme Marguerite d'Aloigny[9]. Il y reste jusqu'au 26 janvier. Son choix de logis est un choix politique : Louis Largentier est son bailli et le roi réaffirme ainsi la préséance de son officier sur les autres corps de la ville[18].
L'empereur François Ier d'Autriche y loge le 8 février 1814[17], pendant l'invasion de la France (fin décembre 1813 à avril 1814) par la sixième coalition contre Napoléon. Dans cette maison de Troyes, l'empereur d'Autriche (beau-père de Napoléon depuis 1810 par sa fille Marie-Louise) tient une conférence avec le roi de Prusse Frédéric Guillaume III et le tsar Alexandre 1er de Russie ; tous trois décident de ne plus traiter avec Napoléon[18].
Architecture
La façade possède de nombreuses fenêtres sculptées et une balustrade de style Renaissance. Morel-Payen en donne une description succincte :
« La façade, construite en ligne brisée, est divisée en cinq parties par des pilastres, dont les intervalles à l'étage sont remplis par des fenêtres. Celles-ci sont accompagnées de colonnettes portant des frontons triangulaires surmontés de vases. Sur le couronnement, court une balustrade divisée par des piédestaux portant des vases cannelés et couverts. A l'angle sud-ouest, a la hauteur du premier étage, se voit une niche Renaissance avec cul-de-lampe et clocheton sculpté à jour.
Du même côté, à la hauteur des combles, deux énormes gargouilles à tête monstrueuse. Au rez-de-chaussée, la porte est flanquée de deux pilastres.
A gauche, une fenêtre grillée ; la partie droite, où il y en avait deux, a été aménagée en maison de commerce ; l'une des deux fenêtres a été transformée en porte. »
�Morel-Payen 1929, p. 77
Fichot donne une description plus détaillée[19], y compris de la belle cheminée datant de 1541[20].
Façade Portail. Détail du balustre. Cheminée du premier étage.
Protection
La façade sur rue et la couverture sont inscrites monuments historiques depuis le 16 juin 1926[1].
Notes et références
Notes
- L'abbaye de Clairvaux possède une partie de cette propriété depuis 1204, par un don provenant de Thomas d'Ile-Aumont (voir Fichot 1889, p. 86).
- La première mention de la famille Largentier remonte à Jehan Largentier, qui fait partie de la noblesse marchande : il est allié par mariage avec les héritiers d'Anne Musnier, femme de Gérard de Langres ; celle-ci a sauvé au péril de sa vie Henri le Large (1127-1181), comte de Champagne[21] - [n 11], et en reçoit à perpétuité, pour elle et pour ses descendants masculins et féminins, des lettres de noblesse, l'exemption générale de tout impôt et le droit de ne plaider qu'à la Cour du comte[21].
Jehan Largentier s'établit à Troyes vers 1363[22].- Jehan Largentier épouse Isabeau Lecierge, fille de François Lecierge, qui porte d'azur à trois chandeliers d'or. Par la suite la famille Largentier retient toujours ces armoiries[22]. Ils ont pour enfants :
- Pierre Largentier (I)[22] (�487 ?[3]), épouse Gilette Festuot[3]
- Nicolas Largentier (I)[23]
- Pierre Largentier (II), marguillier de l'Ă©glise Saint-Gilles (Croncels)[22]
- Nicolas Largentier (II), épouse Isabeau le Tartier, fille de Claude Maître du Châlel de Troyes. Nicolas (II) était seigneur de Nogent-sur-Aube et de Magnicourt. Souche des Largentier de Sardaigne[24].
- Nicolas Largentier (III) (�522[25]), épouse Madeleine Lemercier (�532[25], fille de Philippe Le Mercier[24]. Ils ont huit enfants, dont :
- Nicolas Largentier l'aîné (IV), qui épouse Thiennette Angenoust[26] ;
- Nicolas Largentier le jeune (V), marié à Simonette Maillet[n 12], qui continue la descendance[27]. Teinturier à Troyes, il acquiert plusieurs marquisats. Ils ont cinq enfants[28] :
- Marie Largentier, Ă©pouse Guillaume Format et Guillaume Rouillard[29]
- Anne Largentier (°1542) épouse François baron du Vouldy[29]
- Nicolas Largentier (VI), secrétaire du roi (1602-1610), épouse Marie Le Mairat[29]
- Georges Largentier (�610), conseiller de ville[30]
- Charles Largentier (�630[31]), président ès-conseils du duc de Savoie[6], abbé de Sainte-Bénigne de Fruttuaria, vicaire général de Turin, évêque de Mondovi (13 août 1603)[32]
- Nicolas Largentier (°1544)[29]
- Louis Largentier, baron de Chapelaines[n 13]
- Charles Largentier, abbé d'un monastère du diocèse de La Rochelle
- Elisabeth Largentier, première prieure perpétuelle de Sainte-Scolastique (bénédictines)
- Pierre Largentier l'aîné (III), seigneur de Roncenay, les Croûtes et Chantaloë, épouse en premières noces Thiennette de Pargues, et en secondes noces Marguerite Dare. Il a entre autres enfants[27] :
- Denys Largentier (°1556[33]-1624[34]), se retire très jeune à Clairvaux ; puis docteur en théologie, abbé de Tiron, procureur en cour de Rome, vicaire-général de son ordre en Italie[27], abbé de Clairvaux en 1596[35]
- Nicolas Largentier l'heureux (°1545), épouse Marie Legras[36]
- Claude Largentier, abbé de Clairvaux en 1626 (�653)[36]
- Pierre Largentier le jeune (IV), qui Ă©pouse Madeleine le Tartier[27].
- Claude Largentier, Ă©pouse Jehanne Lorenceau
- Nicolas Largentier (III) (�522[25]), épouse Madeleine Lemercier (�532[25], fille de Philippe Le Mercier[24]. Ils ont huit enfants, dont :
- Nicolas Largentier (II), épouse Isabeau le Tartier, fille de Claude Maître du Châlel de Troyes. Nicolas (II) était seigneur de Nogent-sur-Aube et de Magnicourt. Souche des Largentier de Sardaigne[24].
- Pierre Largentier (II), marguillier de l'Ă©glise Saint-Gilles (Croncels)[22]
- Nicolas Largentier (I)[23]
- Babelette Largentier, épouse Pierre Maillet, écuyer et bourgeois de Troyes, noble et issu comme les Largentier des héritiers Musnier[22]
- Jehanne Largentier, Ă©pouse Jehan Robelin, dont[22] :
- Marie Robelin, épouse Jehan Dorigny qui prend les armes des Largentier, avec une étoile d'or pour brisure, et les transmet à ses descendants, parmi lesquels figurent Pierre Dorigny, conseiller au parlement de Paris ; et Nicolas Dorigny, conseiller au même parlement, président aux enquêtes et chancelier de l'Université[22].
- Pierre Largentier (I)[22] (�487 ?[3]), épouse Gilette Festuot[3]
- Jehan Largentier épouse Isabeau Lecierge, fille de François Lecierge, qui porte d'azur à trois chandeliers d'or. Par la suite la famille Largentier retient toujours ces armoiries[22]. Ils ont pour enfants :
- Nicolas Largentier (V) (époux de Simonette Maillet) fait aussi construire la maison du Gros-Raisin située sur la rue de la Petite-Massacrerie. Voir plus de détails dans Fichot 1889, p. 87.
- Chauvet donne Nicolas Largentier époux de Simonette Maillet comme « quatrième du nom » (Chauvet 1885, p. 255) (après son père Nicolas Largentier (III) (�522), époux de Madeleine Lemercier). Mais il indique aussi qu'il s'agit de Nicolas Largentier le jeune, qui a un frère aîné appelé Nicolas Largentier l'aîné (Chauvet 1885, p. 250), ce qui fait de Nicolas Largentier le jeune le cinquième du nom.
- Les actes de Marie Le Mairat sont détaillés dans Chauvet 1885, p. 263-267. Pour sa fondation du prieuré Sainte-Scholastique à La Prée, voir aussi l'article « Chartreuse de Troyes ».
- Une assignation, dans ce sens, est l'action d'attribuer des fonds. Voir « Assignation », sur dictionnaire-academie.fr (consulté en ).
- L'abbé Georges donne du personnage un portrait moins flatteur : Nicolas Largentier (VI), qu'il confond avec son frère Georges, se prononce bien pour Henri IV, mais il s'enfuit de Troyes sous la menace des ligueurs. Pendant son absence sa maison est pillée et il doit passer par de longues procédures judiciaires pour être indemnisé de 20 000 livres. « Les longues poursuites relatives au recouvrement de cette somme le jetèrent dans les affaires de la haute finance; il amassa des richesses considérables�». Son compte-rendu est cependant moins crédible que ceux de Chauvet et de Fichot : erreur de nom pour le constructeur du château de Chapelaine, omission des sources de sa fortune (voir Étienne Georges, « Une excursion à Rosières », Annuaire de l'Aube, vol. deuxième partie « Renseignements statistiques, historiques et administratifs »,�/span> , p. 7-28 (voir p. 12) (lire en ligne, consulté en )).
- Il existe un lieu-dit appelé fief de Vaucemin à Broyes (Marne). Voir « Fief de Vaucemin », sur archives.marne.fr (consulté en ).
- Selon le site Châteaux de France, la construction du château de Chapelaine à Vassimont est achevée par Marie Le Mairat (veuve de Nicolas Largentier V) et par « son fils Georges, adjudicataire général des fermes du Roi ». En 1696, le château de Chapelaine est détruit par une explosion, peut-être provoquée par une expérience alchimique de Henri-Louis Largentier, marquis de Chapelaine. Un château plus modeste est reconstruit à proximité, mais il brûle à son tour le 7 septembre 1914. Voir Château de Chapelaine, sur chateau-fort-manoir-chateau.eu. La gravure de ce château figure dans l'œuvre de Claude Chastillon, ingénieur-topographe du roi en 1602 (d'après Fichot 1889, p. 87).
- Élisabeth-Louise de Loynes (selon Fichot 1889, p. 89) est selon Courcelles « Marie-Benoite de Loynes », fille de François-Joseph de Loynes IIe du nom (1736-1767) et époux de Matie-Edmée de Mauroy, et petite-fille de François-Joseph de Loynes Ier du nom (1704-1762) et époux de Marie-Claude Camusat de Riancey. Elle est « née à Troyes le 6 janvier 1769, mariée à N Paillot, dont le fils, Eugène Paillot de Loynes, a été nommé membre de la chambre des députés par le département de l'Aube. Il est aujourd'hui secrétaire-général de la préfecture du même département. » Voir Courcelles 1826, Famille de Loynes, p. 11-12 (p. 237-238).
- Félix Bourquelot, « Cantique latin à la gloire d'Anne Musnier, héroïne du douzième siècle », Bibliothèque de l'École des chartes, t. 1,�/span> , p. 289-304 (lire en ligne, consulté en ).
- Nicolas Largentier le jeune (V) meurt jeune. Sa veuve Simonette Maillet, fille de Nicolas Maillet et de Guillemette le Peltrat, se remarie Ă Nicolas Hennequin, dont elle a Guillaume Hennequin (voir Chauvet 1885, p. 250, note 1).
- Étienne Georges, « Une excursion à Rosières », Annuaire administratif et statistique du département de l'Aube, 2e partie « Renseignements statistiques, historiques & administratifs »,�/span> , p. 7-28 (voir p. 12) (lire en ligne, consulté en ).
Références
- « Maison », notice no PA00078264, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Rue Turenne » sur Géoportail.
- Fichot 1889, p. 86.
- « Évolution de la ville de Troyes à travers les siècles », 3e et 4e plans : Troyes à la fin du XIIe siècle et du XIIIe siècle, sur sabinelaillet.canalblog.com (consulté en ).
- Fichot 1889, p. 87.
- Chauvet 1885, p. 259.
- Chauvet 1885, p. 268.
- Chauvet 1885, p. 257.
- Fichot 1889, p. 88.
- Théophile Boutiot et Alexis Silvére Det, Histoire de la ville de Troyes et de la Champagne méridionale, vol. 4, Paris / Troyes, A. Durand / libr. Dufey Robert, , 661 p. (lire en ligne), p. 143-145.
- Alphonse Roserot, Collection des inventaires sommaires des Archives départementales antérieures à 1790, t. 1 (Archives civiles, série E. Donne la liste des biens de la succession de Nicolas Largentier mort en 1610), Troyes, imprimerie administrative de J. Brunard, , 297 p. (lire en ligne), p. 119.
- Chauvet 1885, p. 298.
- Jean-Baptiste-Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France�/cite>, t. 6, Paris, libr. Arthus Bertrand, , 702 p. (lire en ligne), p. 236 (p. 11 de la famille de Loynes).
- Fichot 1889, p. 90.
- Amédée Aufauvre, « Notice sur les vieilles maisons historiées de Troyes », Annales du Congrès archéologique de France,�/span> , p. 312-340 (voir p. 338) (lire en ligne, consulté en ).
- Lucien Morel-Payen, Le Musée de Troyes et la bibliothèque, Paris, éd. Henri Laurens, , 44 grav. + 64 (lire en ligne), p. 30.
- Fichot 1889, p. 89.
- « Hôtel Chapelaines », sur jschweitzer.fr (consulté en ).
- Fichot 1889, p. 89-90.
- Fichot 1889, p. 90-91.
- Chauvet 1885, p. 244.
- Chauvet 1885, p. 245.
- Chauvet 1885, p. 246.
- Chauvet 1885, p. 247.
- Chauvet 1885, p. 248.
- Chauvet 1885, p. 249.
- Chauvet 1885, p. 250.
- Chauvet 1885, p. 250, note 1.
- Chauvet 1885, p. 293.
- Chauvet 1885, p. 259, 293.
- Chauvet 1885, p. 263.
- Chauvet 1885, p. 260.
- Chauvet 1885, p. 250, 296.
- Chauvet 1885, p. 251, 296.
- Chauvet 1885, p. 251.
- Chauvet 1885, p. 296.
Bibliographie
- [Chauvet 1885] Chauvet, « La famille Largentier », Mémoires de la Société d'agriculture, sciences et arts du département de l'Aube, t. XXII, 3e partie (t. XLIX de la collection),�/span> , p. 243-302 (lire en ligne, consulté en ). .
- [Fichot 1889] Charles Fichot, Statistique monumentale du département de l'Aube, t. 3, Troyes, libr. Lacroix, , 558 p. (lire en ligne), p. 86-91. .