GĂ©rard Jarlot
Gérard Jarlot, né le à Saumur et mort le à Paris[1], est un journaliste, scénariste et écrivain français, lauréat du prix Médicis en 1963.
Biographie
Gérard Jarlot rencontre Marguerite Duras en 1957, au début d'une nouvelle période d'écriture pour l'écrivaine qui lui dédie le roman Moderato cantabile. Avec elle, il en fait l'adaptation et écrit les dialogues, pour le film homonyme réalisé par Peter Brook en 1959.
En 1960, il signe le Manifeste des 121 titré « Déclaration sur le droit à l’insoumission dans la guerre d’Algérie ».
Il meurt le au sein de l'Hôtel des Saint-Pères dans le 6e arrondissement de Paris[1] et est inhumé dans un cimetière de Saint-Étienne (Loire)[2].
Ĺ’uvre
Littérature
- 1943 : Le PĂ©riple d'Autun, nouvelles
- 1946 : Les Armes blanches, roman (Gallimard)
- 1948 : Un mauvais lieu, roman (Gallimard)
- 1963 : Un chat qui aboie, roman — prix Médicis
Scénarios
- 1964 : La Chambre (téléfilm) de Michel Mitrani, en collaboration avec Michel Mitrani
- 1964 : Sans merveille de Michel Mitrani
- 1961-1963 : L'Itinéraire marin de Jean Rollin, en collaboration avec Marguerite Duras
- 1961 : Une aussi longue absence d'Henri Colpi, en collaboration avec Marguerite Duras
- 1960 : Moderato cantabile de Peter Brook, en collaboration avec Marguerite Duras
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- L'Homme menti, ébauche de roman de Marguerite Duras, inédit cité par Jean Vallier : C'était Marguerite Duras, Tome II, 1946-1996, Fayard, 2010, commenté par Marguerite Duras dans La Vie matérielle (POL, 1987).
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.