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François Valentin (général d'Armée)

général d'armée français

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Pour les articles homonymes, voir Valentin et François Valentin.

François Valentin (né le dans le 8e arrondissement de Paris et mort à Paris le ) est un général d'Armée français.

François Valentin
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Biographie
Naissance
Décès
(à 89 ans)
Paris
Nationalité
Activité
Autres informations
Grade militaire
Général d'armée (en)
Conflits
Archives conservées par

Sommaire

Jeunes années

Il est le fils d'Edouard Valentin et d'Hélène Crémieux.

Il entre à l'École polytechnique en 1932 et choisit l'artillerie à la sortie de l'école.

Carrière militaire

Capitaine au 17e régiment d'artillerie à Sedan en 1939, il combat puis est fait prisonnier en juin 1940. Emmené vers l'Allemagne, il parvient à s'échapper en Alsace le 30 juin 1940 et rejoint la zone libre et l'Armée d'Armistice. Il est rayé des cadres de l'Armée du fait des lois anti-juives. Après une période de vie civile, il cherche à reprendre le combat mais est arrêté à la frontière espagnole et emprisonné en Espagne. Libéré, il gagne l'Afrique du Nord puis combat en Italie au sein du Corps Expéditionnaire Français commandé par le Maréchal Juin. Il débarque à Marseille en septembre 1944 et participe à la libération de la Franche Comté et de l'Alsace.

Après la Seconde Guerre mondiale, il participe à la guerre d'Indochine puis à celle d'Algérie. Nommé général, il commande l'école d'Artillerie puis est nommé adjoint du général Massu, commandant des Forces françaises en Allemagne (1967-1968). Il est nommé adjoint au chef d'état-major des Armées, le Général Fourquet puis Commandant de la 6ème Région Militaire à Metz. En 1972, il devient Commandant de la 1re Armée[2] et Gouverneur Militaire de Strasbourg. C'est dans ces fonctions qu'il négocie les accords Valentin-Ferber (juillet 1974), accords de coopération entre la France et l'OTAN qui, tout en laissant à la France son autonomie de décision, prévoient son rôle en cas d'engagement aux côtés des troupes de l'OTAN.

Ayant quitté l'Armée d'active en 1974, il continue de suivre les questions de Défense et plaide auprès des autorités politiques pour une Armée de métier[3].

Décorations

Décorations françaises

Décorations étrangères


Œuvres

Notes et références

  1. « https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf »
  2. « Le général de Galbert et l'Amiral de Joybert reçoivent leur cinquième étoile », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  3. « François Valentin », La jaune et la Rouge,‎ (lire en ligne)
  4. Jacques Isnard, « Défense de la France », Le Monde,‎ (lire en ligne)