ForgeRock
ForgeRock est une société privée américaine basée à San Francisco, éditrice de logiciels spécialisés dans la gestion des identités et des accès (IAM). Elle possède de nombreux bureaux dans le monde, à Bristol, Londres, Grenoble, Paris, Vancouver, Sydney, Oslo, Munich et Singapour.
| Forgerock | |
 Logo de ForgeRock | |
| Création | février 2010 |
|---|---|
| Personnages clés | Fran Rosh (PDG) John Fernandez (Directeur des Finances) Lasse Andresen(directeur des nouvelles technologies) Christophe Badot (Vice-Président de ForgeRock, en charge de l’Europe du Sud et du Benelux) |
| Forme juridique | société anonyme |
| Action | Solutions Informatiques |
| Siège social | San Francisco |
| Activité | informatique spécialisée |
| Produits | Logiciels spécialisés |
| Effectif | 500 |
| SIREN | 528 211 923 |
| Site web | www.forgerock.com |
| Chiffre d'affaires | 100 millions d'$ (2019) |
Histoire
ForgeRock a été créé en 2010 en Norvège par d'anciens salariés de Sun à la suite de son rachat par Oracle,. Ils souhaitaient continuer le développement de logiciels d'IAM qui étaient en open-source[1].
En avril 2020 Forgerock a annoncé une levée de fonds de 93,5 millions de dollars afin de poursuivre son expansion, ce qui porte le total levé par la société à 230 millions de dollars[2].
Avec près de 800 clients, Forgerock compte plus d'un milliard d'identités. Parmi ses clients figurent entre autres Toyota, le gouvernement de Norvège, la BBC[3].
En 2019 Christophe Badot a été élu vice-président de ForgeRock, en charge de l’Europe du Sud et du Benelux[4].
Notes et références
- lessor38.fr, « Forgerock sécurise les données d'entreprise », sur L'Essor Isère (consulté le )
- laure, « ForgeRock lève 93,5 millions de dollars dans le cadre du financement de la série E », sur Les dernières News, (consulté le )
- « Interview with ForgeRock | Prometheus », sur prometheus.io (consulté le )
- « Étude spéciale : modélisation de la charge fiscale sur les revenus du travail en Afrique du Sud, au Bresil, en Chine, en Inde et en Indonesie », sur dx.doi.org, (consulté le )