Accueil🇫🇷Chercher

Fonds de l'OPEP pour le développement international

Le Fonds OPEP pour le développement international (OFID)[1] est l’institution intergouvernementale de financement du développement fondée en 1976 par les États membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). L'OFID a vu le jour lors de la conférence des souverains et chefs d’État des pays membres de l'OPEP tenue à Alger (Algérie) en . Une déclaration solennelle de la conférence avait « réaffirmé la solidarité naturelle qui unit les pays de l’OPEP avec d’autres pays en développement dans leur lutte contre le sous-développement, » et demandé que des mesures soient prises afin de renforcer la coopération entre ces pays.

Fonds de l'OPEP pour le développement international
Cadre
Pays
Organisation
Site web

L'objectif de l'OFID est de renforcer la coopération financière entre les pays membres de l'OPEP et d’autres pays en développement, en apportant à ces derniers le soutien financier nécessaire à leur développement socio-économique. il constitue en particulier un véhicule important de la coopération arabo-africaine. L’institution a pour mission première de favoriser le Partenariat Sud-Sud avec d’autres pays en développement du monde entier dans le but d’éradiquer la pauvreté. Le siège de l'OFID se trouve à Vienne (Autriche). Le Directeur-général actuel est Dr Abdulhamid Alkhalifa d'Arabie saoudite. Il effectue son troisième mandat à la tête de l'OFID, ayant été réélu à l’unanimité par l’instance suprême de l’institution, le Conseil ministériel, en .

Siège de l’OFID

Siège de l’OFID, Vienne (Autriche).

Le Siège de l’OFID [2] (situé dans le premier arrondissement de Vienne, sur la Ringstraße) était le palais résidentiel de l'Archiduc Guillaume François Charles d’Autriche. Construit entre 1864 et 1868 d’après les plans de l'architecte Theophil von Hansen, le palais fut vendu à l’ordre des Chevaliers teutoniques (ordre Teutonique) en 1870 et utilisé comme siège du Grand maître, le dernier étant l'archiduc Eugène. À partir de 1894, il servit de palais à la fois au Grand maître et maître d’Allemagne, acquérant le nom de Palais Deutschmeister. En 1938, après la dissolution de l’ordre des Chevaliers teutoniques, le bâtiment fut confisqué par l'Allemagne Nazie, en 1942, remis aux autorités policières. Entre 1945 et 1975, il servit de siège à la police de Vienne. Après une période d’inoccupation, le bâtiment devint la propriété de l'OFID.

Histoire

À la suite du premier Sommet de l'OPEP tenu à Alger (Algérie), en 1975, les pays membres ont fait part de leur détermination à aider les pays en développement grâce à un mécanisme de financement collectif. Ainsi, en 1976, les ministres des finances des pays membres se sont réunis et ont mis en place le Fonds spécial de l'OPEP, par l’intermédiaire duquel les pays membres achemineraient l’aide aux pays en développement. Le Fonds spécial de l'OPEP a démarré ses opérations en 1976, avec un capital initial d’environ 800 millions de dollars. À la fin de 1977, il avait accordé 71 prêts à 58 pays en développement, et avait acheminé des dons provenant de ses pays membres vers d’autres institutions de développement, dont le Fonds fiduciaire du Fonds monétaire international (FMI) et le Fonds international de développement agricole (FIDA).

Compte tenu du succès obtenu, les pays membres décidèrent en 1980 de transformer ce mécanisme temporaire en une entité juridique permanente appelée Fonds OPEP pour le développement international, il devint un organisme permanent pour le développement international en [3].

Pays membres

L'OFID compte 13 pays membres :

L'Équateur a rétabli son adhésion en juin 2014 après 22 ans d’absence[4].

Moyens

L'OFID apporte son concours financier de diverses manières, la répartition entre les différents types d’aide variant au fil du temps à mesure que les conditions régnant dans les pays bénéficiaires évoluent et que les besoins changent. Les modes de financement consistent à :

  • Consentir une aide financière Ă  des conditions de faveur sous forme de prĂŞts destinĂ©s Ă  l'exĂ©cution de projets et programmes de dĂ©veloppement, au soutien de la balance des paiements et au financement du commerce
  • Financer des activitĂ©s du secteur privĂ© dans des pays en dĂ©veloppement
  • Octroyer des dons Ă  l'appui de l’assistance technique, de l'aide alimentaire, de la recherche et des activitĂ©s similaires, ainsi que de la fourniture de secours humanitaires d’urgence
  • Contribuer aux ressources d’autres institutions de dĂ©veloppement dont les travaux profitent aux pays en dĂ©veloppement
  • Servir aux pays membres de l'OPEP d’agent sur la scène financière internationale chaque fois qu’une action collective est jugĂ©e nĂ©cessaire.

Ressources

Les ressources de l’OFID proviennent de contributions volontaires versées par ses pays membres et des réserves accumulées grâce à ses diverses opérations. Une reconstitution à hauteur de 1 milliard de dollars a été approuvée en par l’instance suprême de l’institution, le Conseil ministériel, en réponse directe aux besoins croissants des pays en développement et aux effets négatifs de la crise financière sur leurs économies[5].

Bénéficiaires

Tous les pays en développement peuvent, en principe, prétendre à l’assistance de l'OFID, bien que les pays les moins avancés soient largement prioritaires et aient reçu, à ce jour, plus de la moitié des engagements cumulés de l’institution. L'OFID accorde également son aide à des institutions internationales dont les activités profitent aux pays en développement. Les pays membres de l'OFID ne peuvent pas bénéficier d’une assistance, sauf en cas de catastrophe naturelle ou dans le cadre d’un programme régional. Au fil des années, l'OFID a étendu sa présence dans 134 pays, dont 53 se trouvent en Afrique, 31 en Amérique latine et dans les Caraïbes, 43 en Asie et 7 en Europe[6].

Opérations

Domaines prioritaires[7]

  • Agriculture : Les fonds ont contribuĂ© Ă  stimuler la production vĂ©gĂ©tale et animale, ainsi qu’à amĂ©liorer les infrastructures rurales, telles que les systèmes d’irrigation et les installations de stockage du fourrage. Un appui a Ă©galement Ă©tĂ© fourni pour aider Ă  promouvoir la recherche agricole.
  • Éducation : Le financement de l'OFID a permis de construire et de remettre en Ă©tat des Ă©coles, d’acheter des Ă©quipements et du matĂ©riel pĂ©dagogique, ainsi que de former des enseignants. L'OFID a aussi parrainĂ© la participation de ressortissants de pays en dĂ©veloppement Ă  divers confĂ©rences et ateliers.
  • Énergie : En tant qu’un des principaux partenaires de l’initiative des Nations unies Énergie durable pour tous, l'OFID a appuyĂ© des projets Ă©nergĂ©tiques allant de la fourniture d’infrastructures et d’équipements Ă  la recherche et la crĂ©ation de capacitĂ©s.
  • Finance : L'appui Ă  ce secteur a consistĂ© principalement en l’affectation de fonds aux micro, petites et moyennes entreprises (MPME) via des intermĂ©diaires financiers tels que des banques nationales et rĂ©gionales de dĂ©veloppement, des banques commerciales et des sociĂ©tĂ©s de crĂ©dit-bail.
  • SantĂ© : Le soutien a portĂ© sur la construction et la modernisation d’hĂ´pitaux, de dispensaires et autres infrastructures. Un appui au renforcement des capacitĂ©s et aux programmes de soins de santĂ© primaires a aussi Ă©tĂ© fourni. L'OFID joue Ă©galement un rĂ´le actif dans la lutte mondiale contre le VIH/SIDA grâce Ă  un programme spĂ©cial de dons.
  • Industrie : Le financement de l'OFID a profitĂ© Ă  tous les sous-secteurs, notamment les matĂ©riaux de construction, l’acier, les engrais et les produits chimiques.
  • Multisectoriel : Ce domaine inclut des opĂ©rations qui recouvrent plus d’un secteur et appuie souvent les activitĂ©s des Fonds d’investissement social, dont les projets sont habituellement induits par la demande au niveau local et comportent un fort Ă©lĂ©ment de participation communautaire.
  • TĂ©lĂ©communications : La plus grande partie du financement en faveur de ce secteur a Ă©tĂ© accordĂ©e au titre de la facilitĂ© pour le secteur privĂ© de l'OFID, avec des fonds allouĂ©s Ă  des opĂ©rateurs de rĂ©seaux mobiles en Afrique et en Asie.
  • Transports : L'OFID n’a eu de cesse d’apporter un soutien important Ă  ce secteur, allant de la construction et de la rĂ©fection de routes, ports maritimes et aĂ©roports aux chemins de fer, voies navigables intĂ©rieures et systèmes urbains de transport en commun.
  • Eau et assainissement : L'OFID a contribuĂ© Ă  financer une vaste gamme d’opĂ©rations visant Ă  fournir de l’eau potable salubre et des rĂ©seaux d’assainissement sĂ»rs. Cela va de grands projets de stockage, de traitement et de distribution de l’eau Ă  des pompes villageoises et latrines scolaires, en passant par des programmes permettant d’optimiser l’utilisation de l’eau dans les rĂ©gions arides.

Initiative Énergie au service des pauvres (ESP)

L’initiative de l'OFID Énergie au service des pauvres (ESP) est issue de la déclaration solennelle du troisième sommet de l'OPEP, qui s’est tenu à Ryad en . Cette déclaration appelait à faire de l’éradication complète de la pauvreté énergétique une priorité mondiale et enjoignait à l'OFID d’intensifier ses efforts pour atteindre cet objectif. L'ESP a été lancée par le roi Abdullah bin Abdul Aziz d’Arabie saoudite en et a ensuite été adoptée par l'OFID comme programme phare.

Depuis 2008, l'OFID a œuvré sans relâche pour propulser la question de la pauvreté énergétique en tête de l’ordre du jour mondial, et a contribué à ce que l’éradication de la pauvreté énergétique soit reconnue universellement comme l’« objectif manquant » du Millénaire pour le développement.

En , les pays membres de l'OFID ont publié une Déclaration ministérielle sur la pauvreté énergétique et consacré un montant minimum renouvelable de 1 milliard de dollars au financement de l'ESP. L'OFID accroît le volume de ses opérations dans le secteur énergétique en conséquence, en collaboration avec toutes les parties prenantes concernées.

L'OFID et l’initiative des Nations Unies Énergie durable pour tous (SE4All)

Grâce à ses efforts de plaidoyer de haut niveau, l'OFID est devenu un partenaire clé de l’Énergie durable pour tous (SE4All), qui poursuit trois objectifs: garantir l’accès universel à l’énergie durable, doubler l’efficacité énergétique et doubler la part des énergies renouvelables, le tout d’ici à 2030. L’OFID considère que sa propre initiative ESP est complémentaire des objectifs de SE4All. En 2011, le Directeur-général de l’OFID, M. Suleiman Jasir Al-Herbish, a été invité à rejoindre le Groupe de haut niveau sur SE4All créé par le Secrétaire général des Nations unies, groupe qui était chargé d’élaborer le programme d’action mondial présenté au Sommet Rio+20 de 2012.

MĂ©canismes financiers

Opérations en faveur du secteur public

Les prêts au secteur public constituent le pilier central des opérations de l'OFID, représentant plus des deux tiers du total des engagements cumulés. Ces opérations sont exécutées en coopération directe avec les gouvernements des pays partenaires à l’appui de leurs stratégies nationales de développement. Les prêts consentis par l'OFID au secteur public sont des prêts concessionnels, à faible taux d’intérêt assortis de longs délais de remboursement. Les conditions de prêt sont fonction de plusieurs facteurs, notamment le revenu national brut (RNB) par habitant de chaque pays partenaire. La contribution de l'OFID à l’Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) entre également dans le cadre du secteur public[8].

Opérations en faveur du secteur privé

La Facilité pour le secteur privé (FSP) a été créée en 1998 pour répondre à la demande croissante des pays partenaires en investissements dans des entreprises privées, qui sont de plus en plus considérées comme le moteur de la croissance économique et sociale. La facilité est un guichet de financement orienté vers le marché qui répond à la demande de financement des pays en développement à l’appui de leurs stratégies de développement du secteur privé. La FSP cherche à promouvoir le développement économique en encourageant la croissance des entreprises privées productives dans les pays en développement et en dynamisant les marchés locaux de capitaux. Des interventions réussies stimulent la croissance économique, en créant des emplois et en générant des revenus, et, partant, réduisent la pauvreté[9].

Facilité de financement du commerce

La Facilité de financement du commerce de l'OFID (FFC) a été créée en 2006 en vue de renforcer les moyens dont dispose l'OFID pour réduire la pauvreté et promouvoir le développement économique. C’est un guichet supplémentaire distinct destiné à soutenir les pays en développement admissibles dans leurs efforts pour parvenir à la croissance et à la prospérité. La facilité cible des opérations qui sont respectueuses du développement, de l’environnement et de l’équité sociale, en appliquant des politiques de crédit conformes aux pratiques courantes et en établissant des objectifs raisonnables de rendement axés sur le marché. Le financement octroyé au titre de la FFC a servi à soutenir l’importation/l’exportation de toute une gamme de biens/secteurs, dont le pétrole, le coton, l’acier, les produits alimentaires stratégiques, les textiles et les biens d’équipement[10].

Dons

Les dons [11] sont accordés essentiellement en fonction du type de projet et des résultats attendus, du nombre de bénéficiaires et de la situation socio-économique du pays récepteur. Le Programme de dons comprend les sous-programmes suivants:

  • Assistance technique: DestinĂ©s Ă  des projets de dĂ©veloppement nationaux et rĂ©gionaux qui visent Ă  promouvoir le dĂ©veloppement durable et Ă  rĂ©duire la pauvretĂ©. Ils couvrent une large gamme de secteurs de dĂ©veloppement, un rang de prioritĂ© Ă©levĂ© Ă©tant accordĂ© aux femmes et aux enfants.
  • Recherche et activitĂ©s similaires: Soutient des activitĂ©s qui permettent d’intensifier la coopĂ©ration Sud-Sud et Nord-Sud, en particulier dans les domaines de l’échange de savoir-faire et du renforcement des capacitĂ©s, notamment du dĂ©veloppement des ressources humaines.
  • Aide d’urgence: Contribuer Ă  soulager les souffrances des victimes de catastrophes - y compris celles qui ont lieu dans des États membres de l'OFID. L’aide est acheminĂ©e par l’intermĂ©diaire d’organismes de secours spĂ©cialisĂ©s.
  • Programme spĂ©cial de santĂ©: Depuis 2002, l'OFID a jouĂ© un rĂ´le actif dans la lutte mondiale contre le VIH/SIDA, mais les efforts se concentrent dĂ©sormais sur d’autres maladies Ă©vitables, notamment la tuberculose, le paludisme et les maladies vĂ©hiculĂ©es par l’eau. Sont Ă©galement ciblĂ©es des maladies non transmissibles (MNT) telles que le cancer, le diabète et les maladies cardiaques, qui sont plus rĂ©pandues dans les pays en dĂ©veloppement pauvres.
  • Programme de dons en faveur de la Palestine: Ce programme soutient des opĂ©rations axĂ©es sur le dĂ©veloppement durable en Cisjordanie et dans Gaza, ainsi que des actions de secours humanitaire en temps de crise. Il rĂ©pond aussi aux besoins des camps de rĂ©fugiĂ©s dans les pays voisins.
  • PauvretĂ© Ă©nergĂ©tique: Le portefeuille Énergie accompagne l’initiative phare de l'OFID, « Énergie au service des pauvres », et met l’accent sur la fourniture de solutions novatrices Ă  moyenne et petite Ă©chelle pour lutter contre la prĂ©caritĂ© Ă©nergĂ©tique, principalement en faveur des collectivitĂ©s rurales non raccordĂ©es au rĂ©seau.
  • Aide alimentaire

Contributions versées à d’autres organisations [12]

Fonds commun pour les produits de base (CFC)

Le Fonds commun pour les produits de base (CFC) est une institution financière intergouvernementale autonome crĂ©Ă©e dans le cadre des Nations unies. Depuis 1981, l'OFID apporte son appui au CFC, ayant dĂ©bloquĂ© un total de 83,6 millions de dollars en soutien Ă  l’institution. Le Premier Compte d’un montant de 37,2 millions de dollars des États-Unis a permis Ă  38 pays membres figurant parmi les moins avancĂ©s de verser leurs souscriptions au capital du premier Compte du CFC. Ă€ la fin de 2014, l'OFID avait signĂ© des accords avec 37 de ces pays.

Dans le cadre du soutien financier et au titre du Deuxième Compte totalisant 46,4 millions de dollars, un montant de 37,9 millions de dollars a Ă©tĂ© engagĂ© Ă  l’appui de 57 projets portant sur des produits de base dans 52 pays : 32 en Afrique, six en AmĂ©rique latine et 14 en Asie. Les projets Ă©ligibles Ă  un soutien financier sont centrĂ©s sur les produits de base couvrant la chaĂ®ne de valeur depuis la production jusqu’à la consommation et bĂ©nĂ©ficiant aux pauvres.

Fonds international de développement agricole (FIDA)

L'OFID a jouĂ© un rĂ´le important dans la crĂ©ation du FIDA, acheminant des contributions des pays membres de l'OPEP d’un montant de 861,1 millions de dollars au titre du capital initial de l’institution et de la première reconstitution des ressources. Depuis la crĂ©ation du FIDA, les États Membres de l'OPEP n’ont cessĂ© d’apporter un vigoureux soutien Ă  cette institution, contribuant aux reconstitutions successives de ses ressources. En outre, l'OFID lui-mĂŞme a accordĂ© 20 millions de dollars supplĂ©mentaires Ă  titre de contribution spĂ©ciale sur ses propres ressources.

Fonds fiduciaire du Fonds monétaire international (FMI)

Par l’intermédiaire de l'OFID, des ressources financières d’une valeur de 110 millions de dollars ont été transférées par un certain nombre d’États membres de l'OPEP au Fonds fiduciaire créé en et administré par le FMI. Représentant les bénéfices réalisés par sept de ces pays sur les ventes d’or détenues pour leur compte par le FMI, ces ressources ont servi à accorder, à des conditions de faveur, des prêts de soutien à la balance des paiements à des pays à faible revenu membres du FMI remplissant les conditions requises.

Notes et références

  1. L'acronyme français est en toute logique FODI. Cet acronyme est présent dans la littérature francophone, par exemple dans : Boutros Boutros-Ghali, « Les relations entre la Ligue arabe et l'OUA », Annuaire français de droit international, vol. 23,‎ , p. 175-186 (DOI https://doi.org/10.3406/afdi.1977.2035, www.persee.fr/doc/afdi_0066-3085_1977_num_23_1_2035, consulté le ), mais l'organisation a visiblement choisi de privilégier la généralisation de l'acronyme anglais OFID.
  2. http://www.ofid.org/Portals/0/Publications/Special%20Publications/HQ_A5_ENG_2014_Aug_web_o.pdf
  3. http://www.ofid.org/Portals/0/Publications/Special%20Publications/AE-engl.pdf
  4. « ofid.org/ABOUT-US/Member-Count… »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  5. « ofid.org/ABOUT-US/FAQs »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
  6. (en) « OPEC Fund partner countries from A-Z - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  7. (en) « OFID Focus Areas of international development - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  8. (en) « Public Sector Lending - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  9. (en) « Private Sector & Trade Finance - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  10. (en) « Private Sector & Trade Finance - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  11. (en) « Grants - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).
  12. (en) « The OPEC Fund for International Development What we Offer - OPEC Fund for International Development », sur https://opecfund.org (consulté le ).

Articles connexes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.