Accueil🇫🇷Chercher

Festival du court métrage de Clermont-Ferrand

Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand aussi connu sous l'appellation festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, est une manifestation cinématographique consacrée au court métrage. En matière d’audience, c'est le deuxième festival de cinéma en France après le festival de Cannes[1].

Festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Image illustrative de l’article Festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Public lors d'une séance de projection en 2017.

Date de création
Créateur Sauve qui peut le court métrage
Prix principal Voir le Palmarès du festival du court métrage de Clermont-Ferrand
Président Éric Roux (depuis 2020)
Édition courante Festival du court métrage de Clermont-Ferrand 2023
Durée 8 jours
Lieu Clermont-Ferrand, Drapeau de la France France
Siège social La Jetée, 6 place Michel-de-L'Hospital, 63058 Clermont-Ferrand Cedex 1
Site web clermont-filmfest.org

Histoire

Avant même la création du festival, des initiatives ponctuelles ont été menées. Entre 1979 et 1981, le Cercle cinématographique universitaire de Clermont-Ferrand (CCUC) organise des semaines du court métrage[2] - [3]. Devant le succès rencontré par cette initiative, l'association Sauve qui peut le court métrage est créée le [4] afin d'encourager la création d'une manifestation pour mettre en valeur le film court.

Le festival en tant que tel naît ainsi en 1982. La manifestation prend rapidement une grande ampleur, et d'initiative bénévole, le festival s'institutionnalise.

Le premier Marché du Film Court à l'intention des professionnels est organisé en 1986, donnant au festival un intérêt économique[5].

En 1988, le festival s'ouvre Ă  l'Ă©chelle internationale[6].

En 1995, la frĂ©quentation passe la barre des 100 000 personnes. En parallèle, la Commission du Film Auvergne est crĂ©Ă©e en 1997 afin de faciliter les initiatives de tournage dans la rĂ©gion[7].

En 2002 s'est ajoutée à la compétition une catégorie consacrée au cinéma numérique[8]. Depuis, cette compétition a pris le nom de « labo » et rassemble non pas les films numériques, mais ceux présentant un aspect expérimental remarqué[8].

En 2009 est créé Euro Connection, plateforme de rencontre des producteurs, diffuseurs et financeurs européens qui souhaitent développer des projets de court métrage sous la forme de coproductions européennes[9]. Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand a été élu Meilleur Festival International lors de la cérémonie des FILMAD Awards qui s'est tenue à Madrid, le 22 décembre 2009[10].

Organisation

Ă€ partir de 2012, chaque annĂ©e, le festival reçoit plus de 7 000 inscriptions de courts mĂ©trages produits dans le monde entier (dont près de 1 700 productions françaises), pour environ 170 films prĂ©sentĂ©s en compĂ©tition[11].

Le festival propose chaque année trois compétitions (nationale, internationale et labo), une section jeunes publics, une rétrospective thématique[12] et un focus consacré à un pays[13]. De nombreux autres programmes (Regards d'Afrique, Décibels !, Collections, Carte Blanche, Films en Région, etc.) viennent compléter le panorama proposé aux spectateurs.

Le Vercingétorix est un trophée remis aux lauréats du grand prix, prix spécial du jury et prix du public pour chacune des compétitions (internationale, labo, nationale). Il a été réalisé d'après une œuvre de Roland Cognet[14].

Le festival du court métrage de Clermont-Ferrand qualifie pour les Oscars, les César et le European Short Film Audience Award.

Lieux

La Maison de la Culture qui accueille une grande partie du festival.

Le festival se déroule sur plus d'une quinzaine de lieux à Clermont-Ferrand : le théâtre de la Comédie, la Maison de la Culture, la salle Varda de l'Université Clermont Auvergne, le cinéma le Capitole, la salle Conchon, la salle des Frères Lumières du CROUS[15], la Jetée, le cinéma le Rio, l'ESACM, l'Opéra...

En 2021, exceptionnellement et en raison de l'épidémie de COVID 19 mondiale, le festival s'est tenu en version numérique[16].

Portée et influence du festival

Fréquentation

En 2010, entre 400 et 500 courts métrages sont projetés sur 450 séances dans 13 salles différentes, et en amont, 6500 films sont reçus et visionnés par l'équipe d'organisation[17].

En 2019, parmi les 3500 professionnels accrédités figurent par exemple des représentants du Short Film Corner du Festival de Cannes et, pour la première fois, des représentants de Netflix États-Unis en recherche de nouveaux talents[18].

Évolution du nombre total de spectateurs[19] du Festival[20]
1979 1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986
1 200[2]1 800[2]3 000[2]-----
1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994
16 000[21]25 000[21]28 000[21]40 000[22]50 000[22]62 000[22]75 000[22]-
1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002
100 000-------
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
-135 000130 000140 000133 000137 000[23]135 000144 000
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
149 000144 000154 000160 000[24]160 000162 000161 000165 000
2019 2020 2021 2022 2023 - - -
165 700[25]172 000[26]-100 000[26]160 000[27]---

DĂ©couvertes

Le festival a permis de découvrir des réalisateurs qui se sont ensuite lancés dans le long métrage avec succès, parmi lesquels :

  • CĂ©dric Klapisch, laurĂ©at du Prix spĂ©cial du jury national en 1987[28] pour In transit (son film de fin d'Ă©tudes[29]), puis Ă  nouveau Prix spĂ©cial du jury national en 1990[28] pour Ce qui me meut.
  • Bruno Podalydès, laurĂ©at du Prix du public national en 1992[28] pour Versailles rive-gauche (qui recevra le CĂ©sar du meilleur court mĂ©trage en 1993)
  • Jean-Pierre Jeunet, laurĂ©at du Prix du public et du Prix de la presse nationaux en 1990[28] pour Foutaises.
  • Jan Kounen, laurĂ©at du Prix de la recherche en 1994[28] pour Vibroboy.
  • Érick Zonca, Grand Prix national en 1995[28] pour Éternelles.
  • Xavier Giannoli, qui a prĂ©sentĂ© en compĂ©tition nationale ses courts mĂ©trages Le CondamnĂ© en 1994, Dialogue au sommet en 1995 et J'aime beaucoup ce que vous faites en 1996, qui remporta la mention spĂ©ciale du jury jeunes. Son court mĂ©trage L'Interview lui, fut programmĂ© en 1999 dans le programme Distributeur consacrĂ© aux Prix de Courts 98.
  • Blandine Lenoir, dĂ©couverte en tant que comĂ©dienne dans Carne de Gaspar NoĂ© en compĂ©titions nationale et internationale en 1992 aux cĂ´tĂ©s de Philippe Nahon (qui remporta le prix d'interprĂ©tation masculine) puis dans La Maison verte de Sylvie Verheyde en 1993, a par la suite vu cinq de ses courts mĂ©trages sĂ©lectionnĂ©s dans la compĂ©tition nationale du festival : Avec Marinette en 2000 (Prix de la Meilleure CrĂ©ation Sonore (SACEM, CST), Prix de la Meilleure Première Ĺ’uvre de fiction), Rosa en 2006 (Prix d'InterprĂ©tation FĂ©minine Prix d'InterprĂ©tation FĂ©minine), Ma Culotte en 2007, Pour de vrai en 2008 et Monsieur l'AbbĂ© en 2011.
  • Le court mĂ©trage Logorama a ensuite gagnĂ© l'oscar du meilleur court mĂ©trage.
  • Éric Toledano et Olivier Nakache, en compĂ©tition nationale en 2000 avec leur court mĂ©trage Les Petits Souliers.
  • Denis Villeneuve, sĂ©lectionnĂ© en compĂ©tition internationale en 1995 avec son court mĂ©trage REW FFWD et en compĂ©tition labo en 2009 avec son court mĂ©trage Next Floor.
  • Thomas Vinterberg, avec son court mĂ©trage Drengen Der Gik Bagloens (Le Garçon qui marchait Ă  reculons), laurĂ©at du Prix du public international et de la mention spĂ©ciale du jury international en 1995. La mĂŞme annĂ©e, il prĂ©sentait Ă©galement le court mĂ©trage Sidste Omgang (Dernière tournĂ©e) en compĂ©tition internationale.

François Ozon a fait la connaissance de son actrice fétiche, Ludivine Sagnier, dans le court-métrage Acide aminé de Guillaume Bréaud à Clermont-Ferrand en 1999[30].

Le Marché du Film Court

En parallèle du festival se tient chaque année sur 5 jours le Marché du Film Court, qui réunit en un seul lieu toutes les catégories professionnelles du secteur (réalisateurs, producteurs, diffuseurs, acheteurs, écoles de cinéma, organismes nationaux, etc.)[31].

Sponsors et médias

Pour l'édition 2022, les partenaires médias étaient l'hebdomadaire culturel Télérama, la station Radio Nova, la revue des Cahiers du cinéma, les chaînes de télévisions d'Arte et France Télévisions, le quotidien L'Humanité, la magazine Têtu, le média en ligne Konbini et la plateforme de cinéma jeunesse Benshi. Parmi les partenaires officiels figurent aussi des médias tels que Canal + ou Youtube[32].

Retombées économiques

En 2017, les chercheurs Xavier Hollandts et Daniela Borodak ont ont interrogĂ© 989 personnes sur l’ensemble des sites du festival sur une semaine et en ont dĂ©duit un impact positif global de 11 millions d’euros, rĂ©partis en 7,3 millions d’euros d’impact primaire et de 3,7 millions d’euros d’impact secondaire. En 2017, 51 % des visiteurs Ă©taient des non locaux, 17 % des professionnels. Les visiteurs non locaux ont dĂ©pensĂ© 6,2 millions d’euros dont 1 451 198 € pour l’hĂ©bergement, 1 441 599 € € pour la restauration, 2 450 284 € dans les commerces, 83 745 € € pour le transport et enfin 802 760 € pour les sorties[33]. Ils ont particulièrement mis en Ă©vidence l'importance de la part des professionnels du cinĂ©ma : mĂŞme s’ils ne reprĂ©sentent que 17 % des participants, ils gĂ©nèrent 56 % des flux de l’impact primaire : 73 % des dĂ©penses d’hĂ©bergement, 53 % des dĂ©penses de loisirs, et 52 % des dĂ©penses de restauration[34].

« Chaque euro investi dans le territoire rapporterait 22 € pour le territoire »

— Xavier Hollandts et Daniela Borodak, La Montagne, 23 avril 2019


Autour du festival

La Jetée

Depuis 2000, les bureaux du festival sont regroupés dans un bâtiment réaménagé et agrandi par l'architecte Vincent Speller[35] : La Jetée, nom donné en référence au film de Chris Marker : La Jetée.

Ce lieu abrite Ă©galement :

  • la Commission du Film Auvergne. Depuis 1997 la Commission du Film Auvergne offre un service gratuit pour tout type de production dĂ©sireuse de tourner dans la rĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes.
  • le pĂ´le d'Ă©ducation aux images Auvergne. La JetĂ©e est une des 17 structures implantĂ©es dans 9 rĂ©gions pĂ´les rĂ©gionaux d’éducation artistique et de formation au cinĂ©ma et Ă  l’audiovisuel qui poursuivent des actions de sensibilisation et d’éducation artistique au cinĂ©ma et Ă  l’audiovisuel, autour de trois axes principaux : l’animation du rĂ©seau rĂ©gional, les ressources et la formation[36].
  • le Centre de documentation du cinĂ©ma et du court mĂ©trage de La JetĂ©e. Bibliothèque spĂ©cialisĂ©e membre du rĂ©seau des bibliothèques et mĂ©diathèques de Clermont Auvergne MĂ©tropole, ce centre est ouvert Ă  tous et conserve plus de 150 000 courts mĂ©trages en libre accès sur des postes de consultation, 18 000 documents traitant de cinĂ©ma (livres et revues de 1920 Ă  nos jours), des ressources pĂ©dagogiques, catalogues de festivals, les archives tĂ©lĂ© et radio de l'INA[37]. Sa spĂ©cialisation court-mĂ©trage en fait un lieu unique en Europe[38].

Polémiques

En 2004, le jury, à l'unanimité, par l'intermédiaire de son porte-parole Mathieu Amalric déclencha la polémique en n'attribuant pas de grands prix à la sélection française se plaignant d'une sélection médiocre et peu innovante[39] - [40].

En 2023, Laurent Wauquiez est critiqué en raison de la réduction de moitié (de 210 000 à 100 000 euros) de la subvention apportée au festival par le conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes[41] - [42].

Notes et références

  1. « Le Festival du court métrage peut-il encore progresser ? », sur La Montagne, (consulté en ).
  2. « 1979: l'année où le festival du Court-Métrage est né... », sur 7 Jours à Clermont, (consulté le )
  3. « Clermont-Ferrand : du ciné-club au festival | CNC », sur cnc.fr (consulté le )
  4. « PSS / Centre du Court Métrage La Jetée (Clermont-Ferrand, France) », sur www.pss-archi.eu (consulté le )
  5. Thierry Méranger, Le court métrage, , p. 44
  6. « Retour sur le Festival International du Court Métrage à Clermont-Ferrand | Cine Region », sur www.cine-region.fr (consulté le )
  7. Catherine Bédarida, « Les régions s'organisent pour attirer les tournages de films », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  8. « Le Labo à Clermont-Ferrand : 20 ans déjà ! », sur Brefcinema | Le meilleur du court métrage en VOD (consulté le )
  9. « Clermont ISFF | Euro Connection | Clermont ISFF » (consulté le )
  10. Page web de la 1re Ă©dition FILMAD http://www.filmad.org/noticias.php?id=62&n=el-festival-internacional-de-cine-de-gijon-y-clermont-fer
  11. « Clermont-Ferrand : 38e édition du festival du court métrage »
  12. Les rétrospectives thématiques sont : animation allemande (1982), animation américaine (1983), animation française (1984), animation polonaise (1985), animation japonaise (1987), 10 ans de festival (1988), peinture (1989), animation expérimentale (1990), danse (1991), architecture (1992), bouffe (1993), anges et autres volatiles (1994), un siècle en courts (1995), érotisme et sexe (1996), fantastique (1997), 20 ans de courts métrages français (1998), polar (1999), bandes dessinées (2000), sadomasochisme et fétichisme (2001), vache (2002), Venise (2003), piscine (2004), boxe (2005), Noël (2006), super héros (2007), chiens (2008), comédies musicales (2009), zombies (2010), contes (2011), mouches (2012), particules imaginaires (2013), fuite (2014), vélo (2015), espace (2016), humour noir (2017), nourriture (2018), short in translation (2019), mondes paysans (2020), danse (2022), libido (2023)
  13. Royaume Uni (1981), Suisse (1982), États-Unis (1983), Algérie (1984), Espagne (1985), Brésil (1987), Australie (1989), URSS (1990), Royaume-Uni (1991), Pays nordiques (1992), États-Unis (1993), Iran (1994), Irlande (1996), Amériques, Europe, Océanie (1997), Italie (1999), Afrique sub-saharienne (2000), Corée du Sud (2001), Chine et Hong Kong (2002), Algérie (2003), Brésil (2004), Norvège (2005), Royaume-Uni (2006), Belgique (2007), Asie du sud-est (2008), Pays-Bas (2009), Maroc (2010), Nouvelle-Zélande (2011), Cuba (2012), Inde (2013), États-Unis (2014), Chine (2015), Suède (2016), Colombie (2017), Suisse (2018), Canada (2019), Pologne (2020), Espagne (2022), Taïwan (2023)
  14. Festival du court métrage 2023 Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, , p. 67
  15. C'est dans la salle rebaptisée aujourd'hui "des Frères Lumières" qu'eurent lieu les premières projection en 1979.
  16. Solenne Barlot, « COVID 19 : le festival du court-métrage de Clermont-Ferrand sera 100% numérique », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le )
  17. Grands festivals en Auvergne, p. 56
  18. Cyril Michaud, « Les passionnés de court-métrage ont rendez-vous au festival de Clermont-Ferrand », sur leparisien.fr, (consulté le )
  19. entrée décomptée dans l'une des salles participant au festival.
  20. Par défaut la source est l'association Sauve qui peut le court métrage.
  21. 11 e festival du court-métrage, , p. 5.
  22. Moïse Rotat et Bénédicte Dubust, « L'Auvergne fait son cinéma », L'Express, no 2228,‎ 17-23 mars 1994, p. 11.
  23. DĂ©pĂŞche TV5.org
  24. Journal La Montagne 9 février 2014
  25. « Plein champ : quelques chiffres », sur cinema-auvergne.fr,
  26. « Plein champ : quelques chiffresLe 44e festival du court-métrage de Clermont-Ferrand se termine avec plus de 100.000 entrées », sur France Bleu, (consulté le )
  27. « Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand : le Somalien Mo Harawe décroche le Grand Prix international », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  28. « Clermont-Ferrand, le "Cannes du court-métrage" », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. « Clermont FilmFest : Le marché du film court, un espace dédié aux professionnels – Cied » (consulté le )
  30. « Clermont ISFF | Partenaires | Clermont ISFF » (consulté le )
  31. Centre France, « Etude - Festival du court métrage de Clermont-Ferrand : onze millions d'euros de retombées économiques », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  32. (en) Daniela Borodak et Xavier Hollandts, « Les festivals de cinéma, ça rapporte ! », sur The Conversation (consulté le )
  33. « La Jetée », Vieilles maisons françaises,‎ , p. 52
  34. « Les pôles régionaux d'éducation aux images », sur Le fil des images (consulté le )
  35. Le Centre de documentation du cinéma et du court métrage : La Jetée, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court métrage, sans date, 4 p.
  36. Marc Lemonier, Guide des lieux cultes du cinéma en France, Horay, , 423 p. (ISBN 2-7058-0421-8), p. 43
  37. « Top 10 des prix de festivals les plus controversés », sur Accréds,
  38. « Mathieu Amalric », sur Format Court,
  39. « Laurent Wauquiez critiqué après de nouvelles coupes dans les subventions culturelles régionales à Lyon », sur LEFIGARO, (consulté le )
  40. « Une "guillotine politique", la Région réduit la subvention au Festival du court-métrage de Clermont-Ferrand », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )

Voir aussi

Livres

  • Daniela Borodak, P. PirĂ©-Lechalard, C. Dos Santos, A. Albert-Cromarias et E. Bourlier-Bargues, EnquĂŞte sur le public du Festival du court MĂ©trage, Clermont-Ferrand,
  • Daniela Borodak et Xavier Hollandts, Etude d’impact Ă©conomique du Festival du Court MĂ©trage sur son territoire, Clermont-Ferrand,
  • Christian Izalguier, Grands festivals en Auvergne, Issoire, Christian Izalguier, , 183 p. (ISBN 9782953877700), p. 54-59.
  • 20 ans de courts mĂ©trages Ă  Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage, , 79 p.
  • Richard Raskin et Gilles Colpart, Grands tĂ©moins pour films courts, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage,
  • William Sloane et Bernard Chardère, Grands tĂ©moins pour films courts, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage,

Articles

  • Clarisse Fabre, « Antoine Lopez quitte "La JetĂ©e" clermontoise », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • GĂ©raldine Messina, « Etude - Festival du court mĂ©trage de Clermont-Ferrand : onze millions d'euros de retombĂ©es Ă©conomiques », La Montagne.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )
  • Macha SĂ©ry, « Clermont-Ferrand, le "Cannes du court-mĂ©trage" », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consultĂ© le )

Vidéos

PĂ©riodiques

  • Ça suit son court ... : hors-sĂ©rie quotidien du Festival du court mĂ©trage de Clermont-Ferrand, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage, 1996-.... (ISSN 1277-6122)
  • MarchĂ© du film court., Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage, 1981-2012 (ISSN 1294-9779)
  • Le Quotidien : festival du court mĂ©trage Clermont-Ferrand..., Paris, Éd. Scope, 2006-2011.
  • Sur un plateau : lettre d'information de la Commission du film d'Auvergne, Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage, 2001-2011. (ISSN 1637-5580)

Catalogues

  • Catalogues du festival publiĂ©s depuis 1979. (ISSN 1295-9510)
  • 5e festival du court mĂ©trage de Clermont-Ferrand : au (catalogue), Clermont-Ferrand, Sauve qui peut le court mĂ©trage, , 77 p., in-8o (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne Accès limitĂ©)

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.