Famille du Bouëxic

La famille du Bouëxic est originaire de Bretagne, où elle a possédé la terre de La Chapelle-Bouëxic, dont elle tire son nom.

Son berceau est la manoir du Baron à Lohéac, qu'elle possédait au XVI^e siècle[1].

Sa filiation remonte à Mathurin du Bouëxic, qui vivait au XVI^e siècle[2].

Guillaume, seigneur de La Driennais, est confirmé noble en Bretagne le 29 janvier 1635[3]. Louis de Bouëxic, seigneur de La Chapelle-Bouëxic, est maintenu noble en Bretagne le 10 novembre 1668[3].

Arnaud Clément écrit, dans un document en ligne intitulé La noblesse française, que la famille du Bouëxic a obtenu des lettres patentes de confirmation de noblesse en 1626, et qu’elle a été maintenue noble en 1668[2].

Ci-dessous, une filiation simplifiée de la famille du Bouëxic[4] :

• Luc Urbain du Bouëxic de Guichen (1712-1790), lieutenant général des armées navales, grand-croix de Saint-Louis, chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit et commandant de la marine à Brest.
• Charles Auguste du Bouëxic de Pinieux (1779-1851), député d’Eure-et-Loir (1824-1830).

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  Portrait posthume de Luc Urbain du Bouëxic de Guichen (1712-1790), peinture à l'huile par Paulin Guérin, 1837.

Les principales alliances de la famille du Bouëxic sont[5] : de La Bourdonnaye (1622), de Carné, de Guersans (1728), Tourteau de Septeuil (1808), Tardif d’Hamonville (1839 et 1858), de Remond de Montmort (1846), Graillet de Beine (1864), d'Esclaibes d'Hust (1867), de Tschudy de Glaris (1870), d'Aubéry de Frawenberg (1870), de La Hamayde (1872), de Chevron-Villette (1881), Brac de La Perrière (1901), Bernard de Montessus (1931), etc.

• La Chapelle-Bouëxic[6].
• Manoir de Pinieux.

• Armes : D’argent à trois pins arrachés de sinople, posés deux et un.[2], ou D'argent à trois arbres de buis (alias trois sapins) déracinés de sinople, 2 et 1.[5]
• Devise : Hoc Tegmine Tutus (Voici un abri sûr)[2].
• Timbre : couronne de comte.
• Supports : deux levrettes[5].