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Famille de Kesling

La famille de Kesling de Berg (ou Keßling von Bergen en allemand) est une famille subsistante de la noblesse allemande...

Famille de Kesling
Image illustrative de l’article Famille de Kesling
Armes de la famille.

Blasonnement d’azur à la bande de gueules accompagné en chef d'un pélican d'argent s'ouvrant à la poitrine pour nourrir ses petits.
Pays ou province d’origine Électorat de Trèves ou Bavière
Allégeance Flag of Bavaria (striped) Royaume de Bavière

Royal Standard of the King of France Royaume de France

Banner of the Holy Roman Emperor with haloes (1400-1806) Saint-Empire romain germanique

Flag of Austria Archiduché d'Autriche

Demeures Château de Wildenberg (Basse-Bavière)
Charges Grand Chambellan (Bavière), Grand Écuyer (Bavière), Conseiller secret (Bavière), Gentilhomme de la maison du Roi (Bavière)
Fonctions militaires Général de l'armée Bavaroise, Lieutenant de la garde du Roi de Bavière

Histoire familiale

Selon Ernest Lehr, dans l'Alsace noble : « La famille de Kesling de Berg porte le titre de Baron depuis une époque très-reculée. Elle est originaire de l'électorat de Trèves, et a fourni plusieurs officiers supérieurs aux armées impériales. Au dix-huitième siècle, elle est venue se fixer en Alsace; une partie de ses membres y résident encore, tandis que les autres se sont établis en Bavière, où ils ont été investis de hautes fonctions. » Cependant, cette version reste controversée.

Il reste en revanche certain que bon nombre de ses membres occupèrent de hautes fonctions dans les armées de Bavière, de France, d’Autriche, du Saint-Empire… Elle fournit aussi plusieurs chambellans et gentilshommes de la chambre du Roi au Royaume de Bavière.

Titres et Armes

Les Kesling de Berg portent le titre de Freiherr qui signifie littéralement « homme libre » ou « seigneur libre » et correspond au titre français de baron. L’épouse du Freiherr est appelée Freifrau ; une fille de Freiherr est appelée Freiin (forme abrégée de Freiherrin).

Les Kesling portent : d’azur à la bande de gueules accompagné en chef d'un pélican d'argent s'ouvrant à la poitrine pour nourrir ses petits. Cimier : un pélican s'ouvrant à la poitrine pour nourrir ses petits.

Généalogie

I. Chrétien-Frédéric-Auguste de Kesling de Berg (1574 - ), baron et colonel du régiment impérial de Pappenheim (Bavière). Marié à Christine-Catherine de Gemmingen, dont il eut au moins:

II. Frédéric-Auguste de Kesling de Berg (1598 - ), baron, lieutenant-colonel du régiment impérial de Montfort et commandant de la forteresse de Hohentwiel (Bade-Wurtemberg). Marié à Anne-Catherine de Reitzenstein, dont il eut au moins:

III. Jean-Frédéric de Kesling de Berg (1627 - ), baron et lieutenant-colonel au service d’Autriche. Marié avec Marie-Anne de Gosen (ou Gossen), dont il eut au moins:

IV. Philippe-Charles-René de Kesling de Berg (1667 - 1743), baron et colonel au régiment Royal-Allemand au service de France. Marié le à Louise-Sophie Reichsfreiin de Bettendorf, dont il eut :

  • Sophie-Philippine-Christiane (1719 - ) ;
  • Frédéric-Charles-Louis, qui suit.

V. Frédéric-Charles-Louis de Kesling de Berg (Sarrebrück, Sarre; 1728 - Sarreguemines; 1807), baron, capitaine de cavalerie au service de France et chevalier de Saint-Louis. Incarcéré à la révolution (ca. 1793)[1]. Marié à Christine-Louise-Caroline Reichsfreiin de Bettendorf, dont il eut:

  • Charles-Louis-Philippe (Sarrewerden; 1763 - Munich, Bavière; 1843), baron, chevalier de Malte, chambellan, grand-écuyer et conseiller intime du roi de Bavière, citoyen d'honneur de la ville de Nuremberg, seigneur de Wildenberg (Niederbayern), membre de la délégation bavaroise au congrès de Vienne, grand-croix des ordres de Bavière, de Saxe, de Bade, d'Autriche, de Grèce, etc. Marié en 1801, à Louise ( - 1830), baronne de Wangenheim.
  • Chrétien-Frédéric-François (Sarrewerden; 1766 - WrocÅ‚aw, Pologne; 1807), lieutenant-colonel au service de Bavière.
  • Henri-Frédéric-René (Sarrebrück, Sarre; 1772 - Heidelberg, Bade-Wurtemberg; 1808), inspecteur des eaux et forêts au service de Bade. Admis en 1804 à la Noble société des lignages d'Alten Limpurg de Francfort[2]. Marié en 1802 à Frédérique-Sophie-Françoise ( - 1805), baronne de Glauburg; dont il eut un enfant mort en bas âge. Puis remarié en 1806 à Louise-Sophie-Christine-Elisabeth, baronne de Gemmingen-Guttenberg; dont il eut :
    • Ida-Louise (Heidelberg; 1807 - Munich; 1877), dame de Saint-Anne. Mariée en 1834 à Constantin de Redwitz (1804 - 1850), baron, lieutenant-colonel et chambellan bavarois ;
    • Charles-Henri-Posthume (1808 - 1833), cadet dans un régiment de cuirassiers bavarois. Il meurt dans un duel.

Puis avec Gertrude (Erstein; 1853 - ), fille de Jacques Schneider dit de Schneider, et de Madeleine Schwark, dont il eut :

  • Louis-Charles, qui suit.

VI. Louis-Charles-Frédéric de Kesling de Berg (Lille; 1788 - Krafft; 1868), baron, colonel de lanciers, officier de la Légion d’honneur, chevalier de Saint-Louis, médaillé de Sainte Hélène, trésorier des hussards du Haut Rhin (en 1818). Marié le à Gerstheim avec Marie-Louise-Pauline (Gerstheim; 1799 - Erstein; 1870), fille de Jean-Louis II de Bancalis de Pruynes, baron, artilleur pour le prince de Condé et partisans du duc d’Enghien, et de Louise de Bénaste de Sanlèque, dont il eut :

  • Louis-Henri-Charles (Gerstheim; 1819 - Munich; 1901), baron, gentilhomme de la chambre du roi de Bavière (kammerjunker) et seigneur de Wildenberg (Niederbayern)[3]. Marié le à Munich (Bavière) avec Adélaïde de Perfall (Munich; 1828 - Munich; 1906), baronne et dame de Saint-Anne; dont il eut :
    • Emmanuel-Maximilien-Marie-Joseph-Anton-Francis-Charles (Munich; 1850 - Basing; 1924), baron et seigneur de Wildenberg (Niederbayern). Marié avec Marie Hafner (Munich; 1852 - Wildenberg; 1922), d'où:
      • Emmanuel II (1879 - 1902)
      • Carole-Adélaïde-Elisabeth-Marie-Paula (Regensburg; 1889 - ), mariée le à Wildenberg avec Martin Maher, docteur en médecine.
      • Elisabeth-Marie-Auguste-Adélaïde-Emmanuelle (Wildenberg; 1891 - ), mariée le à Munich avec Wilhelm Reissner.
      • Marie-Emmanuelle (Wildenberg; 1899 - ), mariée le à Wildenberg avec Ferdinand Bwerenz.
    • Charles-Louis (1851 - 1900)
    • Alfred-Marie-Joseph-Anton (Wildenberg; 1854 - 1929), baron, seigneur de Wildenberg (Niederbayern), generalleutnant (général de division) bavarois et oberleutnant (lieutenant) de l’Hartschiere (garde du corps du roi). Marié le à Vienne avec Alice von Bongrass (Agram; 1863 - ).
      • Alix-Amalie-Marie-Josèphe-Adélaïde-Madeleine (Würzburg; 1889 - 1967), dame de Wildenberg (Niederbayern).
    • George-Marie-Joseph-Maximilien (1860 - 1860)
    • Marie (Munich; 1864 - 1919)
    • Marie-Josèphe-Elisabeth-Paula (Munich; 1864 - 1936), jumelle de Marie. Dame de Saint-Anne.
  • Maximilien-Auguste-Louis, qui suit.
  • Henriette-Sophie-Marie-Louise-Pauline (1821 - 1912), mariée le avec Alfred Rollé de Baudreville, capitaine de chasseurs à cheval.
  • Adolphe-François-Henri (Gerstheim; 1825 - Nancy; 1897), marié le à Nancy avec Françoise-Elisabeth-Charlotte (Nancy; 1835 - 1909), fille de Pierre Louis Georges Adolphe du Prel d’Erpeldange, baron, colonel du 5e régiment de hussards (de France), et de Thérèse Charlotte Le Bègue de Bayecourt de Girmont; dont il eut :
    • Louise-Jeanne-Marie (Nancy; 1864 - nancy; 1888), mariée le à Jean-Baptiste de Lamirault, comte, Lieutenant-colonel commandant le 51e régiment d'infanterie territoriale et officier de la Légion d’honneur.
    • Paul-Marie-Alphonse (Nancy; 1866 - Alizay; 1925), marié le à Gabrielle-Louise-Marie (Caen; 1870 - Alizay; 1938), fille de Gabriel de Vaugirard, comte, chef d’escadron de cavalerie et chevalier de la Légion d’honneur, et de Marie-Sophie-Caroline de Joybert; dont il eut :
      • Elisabeth-Marie-Paule (Saint-Victor-d’Epine; 1895 - Alizay; 1951), mariée le à Alizay avec Arthur-Armand-Henri de Tessières de La Bertinie (Argillières; 1891 - Dijon; 1971), vicomte.
      • Marie-Thérèse-Gabrielle (Saint-Victor-d'Epine; 1896 - Lourdes; 1963), religieuse.
      • Geneviève-Jeanne-Marie (Saint-Victor-d'Epine; 1898 - Annecy; 1973), mariée le à Alizay avec René-Marie-Charles Housard de Potterie (1886 - Nancy ; 1968).
      • Henriette-Gabrielle (Romilly-sur-Andelle; 1901 - ), morte en bas âge.
      • Jeanne-Marie (Romilly-sur-Andelle; 1901 - ), jumelle de la précédente et morte en bas âge.
      • Henri-François-Marie (Alizay ; 1907 - Paris; 1968), directeur de société. Marié le à Paris avec Madeleine-Françoise Colledu, d'où descendance. Remarié le à Paris avec Caroline Schmitt[4].
      • Louis-Marie-Joseph (Alizay; 1915 - Vergt; 1944), FFI Groupe Marianne, mort pour la France le [5]. Marié à Marguerite Marie Beaugier, d'où descendance[6].

VII. Maximilien-Auguste-Louis de Kesling de Berg (Gerstheim; 1820 - 1891), conseiller à la cour d’appel et juge à Strasbourg (Alsace) et Mulhouse (Alsace). Marié le à Bar-le-Duc avec Alix, chanoinesse honoraire de l’ordre royal et chapitral de Sainte Thérèse de Bavière, fille de Maurice Gosse de Serlay, chevalier de Serlay et de l'Empire, officier de la Légion d’honneur, chevalier de Saint-Louis, chef d’escadron aux cuirassiers de la Reine et de Condé et sous-intendant militaire de 1re classe, et de Jeanne-Charlotte Drouhot, dont il eut :

  • Anne-Marie-Louis-Adrien, qui suit ;
  • Marie-Oscar (1860 - ), marié le à Marie-Claude-Nathalie, fille de N. Durand de Villers, conservateur des forêts ;
  • Marie-Maurice (1869; Mulhouse - )

VIII. Anne-Marie-Louis-Adrien de Kesling de Berg (Bar-le-Duc; 1857 - Chambéry; 1944), baron et lieutenant-colonel de cavalerie. Marié le à Vernoux-en-Vivarais avec Louise (Cornas; 1861 - ), fille de Jules Sonier de Lubac, sous-préfet de Boussac, conseiller général de l'Ardèche, maire de Cornas, littérateur, historien et propriétaire, et d’Eugénie Passerat de Silans, dont il eut :

  • Marie-Thérèse (Chambéry; 1888 - Nice; 1978), mariée le à Chambéry avec Jean-Joseph Boissarie, secrétaire général de la compagnie d’assurance l’UNION, officier de marine, officier de la Légion d’honneur, et chevalier de l'Ordre de Saint-Grégoire-le-Grand.
  • Marie-Louis, qui suit.

IX. Marie-Louis de Kesling de Berg (Tarascon; 1889 - Chambéry; 1960), baron, chevalier de la Légion d’honneur et ancien officier. Marié le à Grenoble avec Germaine Le Roy d’Amigny (Grenoble; 1902 - ), d'où descendance[7] - [8]

Personnalités

Charles-Louis de Kesling

Lithographie de Charles Louis Philippe de Kesling par Franz Seraph Hanfstaengl.

Charles Louis Philippe de Kesling (Karl Ludwig Philipp), baron Kesling von Bergen, né le à Saarwerden, décédé le à Munich. Il fut chambellan royal, grand-écuyer (1799-1843) et conseiller intime et secret du roi de Bavière, citoyen d'honneur de la ville de Nuremberg (1823), seigneur de Wildenberg (Niederbayern), membre de la délégation bavaroise au congrès de Vienne, chevalier de Malte, grand-croix des ordres de Bavière, de Saxe, de Bade, d'Autriche, de Grèce, etc.

Il était réputé pour avoir les faveurs du Roi Maximilien et pour être particulièrement influent. De fait, sa position de grand-écuyer était le quatrième poste le plus important de la cour.

Il avait également la fonction de vétérinaire royal qui allait de pair avec son rôle de grand-écuyer et maître des chevaux de la Couronne de Bavière. Au fil des années, il mit sur pied une bibliothèque de quatre cents ouvrages spécialisés en sciences vétérinaires. Le Roi Maximilien ayant choisi d'installer l'écurie royale en sa propriété de Bergstetten, que la couronne avait acquise en 1816, c'est assez naturellement que le grand-écuyer choisit de s'y installer[9].

« Ce noble homme bien éduqué avait reconnu le talent de Ludwig Schwwanthaler et lui avait ouvert la voie. Sa statue grandeur nature, réalisée selon le modèle de Halbig par F. von Miller, est située sous les arcades de l'ancien cimetière de l'église de Munich. »[10] En 1819, il fit venir à la cour du Roi Maximilien Ier de Bavière, le peintre Albrecht Adam qui fit d'ailleurs de lui une gravure équestre et un tableau plus célèbre : Baron von Kesling, Master of the Horse with Arab Stallions at the Bavarian Royal Stud (1819)[11].

Baron de Kesling (à gauche), peinture par Albrecht Adam.

Dans ses mémoires Albrecht Adam raconte sa rencontre avec le Baron de Kesling et ses multiples visites à Bergstetten « Le Comte Froberg-Montjoye m'a présenté au grand-écuyer, Baron von Kesling. Ce gentleman, l'un des plus hauts dignitaires de la cour, était l'un des hommes les plus influents, car il avait les faveurs du Roi qui avait une grande confiance en lui et le tenait en haute estime. […] Je connaissais déjà pas mal de choses sur les chevaux, ce qui lui plut et il ne fallut pas longtemps pour que j'aie sa permission de me rendre à l'écurie royale pour y étudier les chevaux. Je fus par la suite engagé pour peindre un certain nombre de ces animaux pour le Roi, peintures que le Roi offrit ensuite personnellement au grand-écuyer »[12]

En 1812, le Roi de Bavière donna à Charles-Louis-Philippe de Kesling, alors Oberstallmeister (grand-écuyer), le château de Wildenberg qui était revenu au domaine royal en 1811. Une statue fut ensuite érigée en 1844 dans la cour du château à la mémoire de Philippe de Kesling.

Ce dernier n'ayant pas d'enfant malgré son mariage en 1801 à Louise de Wangenheim ( - 1830), il dut adopter son jeune demi-frère, Louis-Charles. En effet, son frère Chrétien-Frédéric-François mourut en 1807 sans descendance, et son autre frère, Henri-Frédéric-René n'eut que des filles. À la mort de Philippe, Louis-Charles devint baron et donna une nombreuse descendance puisque ses trois fils eurent tous eux-mêmes des enfants. Ainsi, la famille de Kesling, aujourd'hui implantée en France, est subsistante.

Il est inhumé dans le caveau familial, au vieux cimetière sud de Munich[13].

Alfred de Kesling

officier du Hartschier en uniforme.

Alfred de Kesling (Alfred Freiherr von Kesling) est né le 12 février 1854 et est décédé le 2 octobre 1929. À la mort de son frère, il récupère le titre de baron et le château familial de Wildenberg. Suivant la tradition militaire ancestrale de la famille, il s'engagea dans une brillante carrière militaire. En effet, il fut par la suite generalleutnant de l'armée de Bavière (ce qui correspond environ à général de division) et oberleutnant du l'Hartschier (de), la garde du roi de Bavière.

La première trace de sa présence dans l'armée est attestée en 1873, où il sert au 1er régiment d'artillerie de campagne[14] En 1974, il a le grade de leutnant et est affecté au 4e régiment d'artillerie de campagne[15]. En 1882, il intègre la 15e promotion de l'académie bavaroise de guerre (de), et en sort avec l'aptitude de Höhere Adjutantur en 1885.

Dès le XXe siècle, il s'illustre comme officier supérieur. Entre le et le , il est commandant du 11e régiment d'artillerie de campagne; il a alors le grade de oberstleutnant. Entre le et le , il est commandant du 7e régiment d'artillerie de campagne, dit le régiment Prinzregent Luitpold avec le grade d'oberst.

En 1905 il devient généralmajor. Il est d'abord commandant de la 3e brigade d'artillerie de campagne, entre le et , puis, entre le et , de la 2e brigade d'artillerie de campagne[16].

En 1908, il intègre le Hartschier avec le grade d'oberleutnant, c'est-à-dire l'un des officiers qui dirige les gardes du corps du Roi de Bavière. Les officiers de cette troupe d'élite avaient tous le rang de général à quelques rares exceptions. Il termine ainsi sa carrière militaire generalleutnant.

À sa mort, le titre passa à son cousin germain, Adrien. Il avait épousé Alice von Bongrass (Agram; 1863 - ).

Principales alliances

Alliances de la famille de Kesling : von Gemmingen, von Reitzenstein, von Gossen, von Bettendorf, von Wangenheim, von Glauburg, von Gemmingen-Guttenberg, von Redwitz, de Bancalis de Pruynes, von Perfall, Rollé de Baudreville, du Prel d'Erpeldange, de Lamirault, de Vaugirard, de Tessières de La Bertinie, Housard de Potterie, Gosse de Serlay, Durand de Villers, Sonier de Lubac, Le Roy d'Amigny, Arminjon, etc[17].

Notes et références

  1. (de) « Keßling Friedrich Karl Ludwig von », sur Saarland Biografien (consulté le ).
  2. (de) « Kessling von Bergen », sur Patriciat de Francfort, (consulté le ).
  3. (de) Regierungsblatt für das Königreich Bayern : 1845, Munchen, (lire en ligne), p. 382.
  4. Benoît de Diesbach-Belleroche (Cte).
  5. « Louis Marie Joseph de Kesling », sur Service historique de la Défense, Caen (via Benoît de Diesbach-Belleroche) (consulté le ).
  6. (de) Justus Berthes, Gothaisches Genealogisches, , p. 253, 254.
  7. Ernest Lehr, L'Alsace noble, Alsace, Editeur Berger-Levrault, (lire en ligne), p. 274-275.
  8. Paul Rousseau, Généalogie des Familles : Sonier de Lubac, Kesling de Berg, Lafon de Fongauffier, Boissarie, Petit de La Villéon, Bodin de La Pichonnerie, Sénac et Saint-Guily, .
  9. (de) Joseph Plank, Grundzüge einer Veterinär-Topographie von Baiern, Munich, (lire en ligne), p. 17.
  10. (de) Albrecht Adam, Aus dem Leben eines Schlachtenmalers, Hofenberg Sonderausgabe, (ISBN 978-1-4928-0136-8, lire en ligne), p. 39.
  11. (en) « Oil Sketches and Paintings 1775-1905 », sur Daxter & Marschall, (consulté le ).
  12. (de) Albrecht Adam, 1786-1862 : aus dem Leben eines Schlachtenmalers; Selbstbiographie nebst einem Anhange, Stuttgart, Hyacinth Holland, (lire en ligne), p. 40-1.
  13. (de) « AA-23 (Kesling) », sur Alter Südfriedhof München, (consulté le ).
  14. (de) « Verordnungs-Blatt (1873) », sur Bayerische StaatsBibliothek (consulté le ).
  15. (de) « Verordnungs-Blatt (1874) », sur Bayerische StaatsBibliothek (consulté le ).
  16. (de) « 2. (kgl. bayer.) Feldartillerie-Brigade », sur GenWiki (consulté le ).
  17. Paul Rousseau.
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