AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Enfance clandestine

Enfance clandestine (Infancia clandestina) est un drame historique argentino-hispano-brésilien coproduit, coécrit et réalisé par Benjamín Ávila et sorti en 2012.

Enfance clandestine

Titre original Infancia clandestina
Réalisation Benjamín Ávila
Scénario Benjamín Ávila
Marcelo MĂŒller
Acteurs principaux
Sociétés de production Historias Cinematograficas Cinemania
Habitacion 1520 Producciones
Antartida Produccions
Academia de Filmes
Pays de production Drapeau de l'Argentine Argentine
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau du Brésil Brésil
Genre Drame
Film historique
Durée 112 minutes
Sortie 2012

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Synopsis

En 1979, en Argentine, Juan revient au pays sous un nom d'emprunt tandis que ses parents, des Montoneros, sont traqués par la dictature militaire. L'histoire fait surtout le parallÚle entre sa vie de petit garçon et les répercussions de la résistance sur cette enfance. On voit toute l'ambiguïté que cela apporte, les secrets qu'il doit garder, le fait de devoir inventer une fausse vie, les déménagements, et à cÎté le fait de vouloir des amis et une petite amie.

Fiche technique

Distribution

  • Natalia Oreiro : Cristina (son vrai nom) ou Charo (nom de code)
  • Ernesto Alterio : Beto
  • CĂ©sar Troncoso : Daniel
  • Cristina Banegas : la mĂšre de Charo
  • Teo GutiĂ©rrez Romero : Juan (vrai nom) ou Ernesto (nom d'emprunt)
  • Violeta Palukas : MarĂ­a
  • Marcelo Mininno

Distinctions

RĂ©compenses

RĂ©ception critique

PrĂ©sentĂ© lors du Festival de Cannes 2012 Ă  la Quinzaine des rĂ©alisateurs, le premier long mĂ©trage de BenjamĂ­n Ávila offre des similitudes de situation avec celui, contemporain, de Paula Markovitch, El premio (2011). Olivier De Bruyn pour Positif prĂ©sente le film ainsi : « dans Enfance clandestine le rĂ©alisateur qui s'est inspirĂ© de souvenirs personnels pour Ă©crire son scĂ©nario, Ă©chappe la plupart du temps aux piĂšges du pathos et de la dĂ©monstration Ă©loquente. À la fois rĂ©cit initiatique et chronique intimiste, le film fait preuve d'une maĂźtrise et d'une sensibilitĂ© Ă©galement singuliĂšres. »[1]

Toutefois, quelques mois plus tĂŽt, son collĂšgue Matthieu Darras, coauteur d'un compte rendu sur les films diffusĂ©s au Festival de Cannes, semble plus rĂ©servĂ© : « Sans doute sincĂšre, cette nouvelle fiction sur la violence politique ayant frappĂ© l'AmĂ©rique latine, telle qu'elle put ĂȘtre perçue Ă  hauteur d'enfant, peine Ă  trouver une forme distinctive, donc percutante. La mise en scĂšne d'Ávila, plus proche du Yves Robert de La Gloire de mon pĂšre que de ses contemporains latino-amĂ©ricains, ne suscite qu'une Ă©motion intermittente. »[2]

Notes et références

  1. in : Positif, n° 627, mai 2013.
  2. in : Positif, n° 617/618, juillet-août 2012.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.