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Communication en Iran

Le gouvernement iranien gère les moyens d'Ă©mission, qui incluent trois stations de radio nationale et deux rĂ©seaux nationaux de tĂ©lĂ©vision, aussi bien que des douzaines de stations locales de radio et de tĂ©lĂ©vision. En 2000, il y avait 252 radios et 158 tĂ©lĂ©viseurs en service pour 1 000 rĂ©sidents. Il y avait 219 lignes tĂ©lĂ©phoniques et 110 PC pour 1 000 rĂ©sidents. Les ordinateurs Ă  usage personnel sont devenus plus accessibles au milieu des annĂ©es 1990, et depuis lors la demande de l'accès Ă  l'Internet a augmentĂ©. En 1998 le ministère des postes et des tĂ©lĂ©communications a commencĂ© Ă  vendre des comptes Internet au grand public. En 2006, les revenus de l'industrie des tĂ©lĂ©coms en Iran ont Ă©tĂ© estimĂ©s Ă  1,2 milliard de dollars.

Ceci est une liste des moyens de communications de l'Iran[1].

Presse

La presse iranienne appartient à des propriétaires privés et reflète une diversité des vues politiques et sociales.

Une cour spéciale a autorité pour surveiller les médias écrits, suspendre la publication ou retirer le permis de publication des publications ou journaux qu'un jury trouve coupable d'éditer un contenu antireligieux, calomnieux, ou d'information contraire à l'intérêt national. Depuis la fin des années 1990, la cour a suspendu la publication de beaucoup de journaux pro-réformateurs et partisans de Mohammad Khatami et également d'autres périodiques.

La plupart des journaux iraniens sont édités en Persan, mais les journaux en langues anglaise ou autres existent également. Les périodiques le plus largement distribués sont basés à Téhéran.

Les journaux quotidiens et hebdomadaires populaires incluent Ettela'at, Kayhan, Resalat, Iran Daily et le Tehran Times (les deux derniers sont publiés en langue anglaise). 2000 titres quotidiens

Téléphone

Le réseau téléphonique est encore insatisfaisant. Il est actuellement en cours de modernisation et d'extension, avec le but non seulement d'améliorer l'efficacité et d'augmenter le volume du service urbain, mais également d'apporter le service téléphonique à plusieurs milliers de villages actuellement non reliés.

RĂ©seau domestique

En raison de l'investissement lourd dans le système de téléphone depuis 1994, le nombre d'abonnés à une ligne téléphonique mobile se monte à plusieurs millions ; d'ailleurs, le niveau technique du système a été élevé par l'installation de milliers de relais numériques.

RĂ©seau International

L'Iran possède des fréquences radio HF et relais de radio en micro-ondes vers la Turquie, l'Azerbaïdjan, le Pakistan, l'Afghanistan, le Turkménistan, la Syrie, le Koweït, le Tadjikistan, et l'Ouzbékistan. Un câble sous-marin de fibre optique vers les Émirats arabes unis permet l'accès au Fiber-Optic Link Around the Globe (FLAG). L'Iran est également lié au Trans Asia Europe (en) (TAE), une ligne de fibre optique qui s'étend entre l'Azerbaïdjan et le Turkménistan en passant par la partie nordique de l'Iran, avec des extensions en Géorgie et en Azerbaïdjan. L'Iran compte aussi des stations terrestres satellitaires (9 Intelsat et 4 Inmarsat).

L'accès à Internet, dont le service est disponible dans toutes les villes principales, augmente très rapidement. Beaucoup de petites villes et même quelques villages ont maintenant accès à Internet.

Statistiques

Radio

  • Stations d'Ă©missions de Radio : AM 72, FM 5, ondes courtes 5 (1998)
  • Nombre de radios : 22 millions (de 2005)

Télévision

  • Stations d'Ă©mission de tĂ©lĂ©vision : plus de 450 rĂ©pĂ©titeurs de basse puissance (1997)
  • Nombres de tĂ©lĂ©visions : 15 millions (estimation 2007)

Internet

L'Internet est de plus en plus utilisé en Iran. Internet est devenu un moyen d'accès à l'information et à la libre expression parmi la population jeune. L'Iran est également le quatrième pays du monde par le nombre de bloggers.

  • Fournisseurs de service Ă  Internet (FAI) : nombreux - 12 certifiĂ©s (2002)
  • Code pays (nom de domaine) : .ir
  • Utilisateurs d'Internet : 17 millions (en 2006)

Privatisation

Basés sur la note C des politiques générales de l'article 44 de la constitution, le ministère des communications et de la technologie de l'information a annoncé qu'il introduira en Bourse les parts des sociétés affiliées, comme la Mobile Telecommunications Company, au cours d'une grande campagne de privatisation[2] - [3].

Dans le cadre des politiques générales de l'article 44, les compagnies de telecom sont classées en 4 catégories :

  • groupe un : le premier groupe concerne en gĂ©nĂ©ral les rĂ©seaux de telecom filaires, y compris ceux du secteur public opĂ©rant dans les 30 provinces. Parmi les 30 rĂ©seaux provinciaux de telecom, la privatisation concerne les rĂ©seaux de tĂ©lĂ©communications fixes de TĂ©hĂ©ran, d'Isphahan, du Fars, de Hamedan, d'Ahvaz, de Khorasan Razavi, du Khuzestan et d'AzerbaĂŻdjan oriental. Le secteur non gouvernemental inclut des compagnies telles qu'Iraphone, Novin, Zahi Kish, Kouh-e Nour, Montazeran Adlgostar et Pouya Ertebat.
  • groupe deux : le deuxième groupe concerne le rĂ©seau de tĂ©lĂ©phonie mobile. Dans le secteur public, ils incluent Telecommunication Company de l'Iran (TCI). Dans le secteur non gouvernemental, ils incluent des compagnies de tĂ©lĂ©communications telles qu'Omran Kish, Isphahan, Rafsanjan complex et Irancell.
  • groupe trois : il y a seulement un rĂ©seau public dans le secteur du rĂ©seau informatique, Ă  savoir Data and Telecommunications Company of Iran qui est considĂ©rĂ© un rĂ©seau de base de telecom en termes de rĂ©seaux mobiles et Shomal IT Company. Dans le secteur non-gouvernemental, il y a plus de 100 compagnies avec un rĂ©seau informatique partagĂ©.
  • groupe quatre : le rĂ©seau subsidiaire de tĂ©lĂ©coms appelĂ© Subsidiary Telecommunications Company est un autre rĂ©seau de base de telecom. Elles sont totalement possĂ©dĂ©es par l'Ă©tat et ne sont pas visĂ©es par la privatisation.

Voir aussi

Références

Liens externes

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