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Chronologie des actions de la Bande noire

Cette liste non exhaustive regroupe différentes actions revendiquées par les groupes anarchistes se réclamant de la Bande noire, ou qui lui sont imputées ainsi que celles revendiquées sous d'autres noms, mais imputées à cette mouvance.

1878

  • Dans la nuit du au deux prĂ©sumĂ©s mouchards nommĂ©s Jeunehomme et Vindiollet sont victimes de reprĂ©sailles. Ils sont tabassĂ©s et Vindiollet est laissĂ© pour mort sur la route. Cette vengeance semble ĂŞtre l’œuvre d'une sociĂ©tĂ© secrète, prĂ©misse de la Bande noire[1].

1881

  • En fĂ©vrier, un homme est invitĂ© Ă  rejoindre la Bande noire, mais rĂ©ticent et accusĂ© de trop parler il est finalement rouĂ© de coups, puis abandonnĂ© en ayant Ă©tĂ© averti que s'il parlait « on lui ferait son affaire »[2].
  • Entre fĂ©vrier et juillet, de nombreuses menaces signĂ©e par la Bande noire, ainsi que le « ComitĂ© exĂ©cutif de France », sont envoyĂ©es au curĂ© Gaulthier, Ă  un maĂ®tre mineur et Ă  un ingĂ©nieur de la compagnie des mines[3].

1882

  • Dans la nuit du au des reposoirs prĂ©parĂ©s pour une procession le lendemain sont jetĂ©s dans un Ă©tang[4].
  • Dans la nuit du au , destruction de la croix de mission du Bois du Verne, la croix des Alouettes est renversĂ©e, une tentative est faite contre celle de Sanvignes-les-Mines[5] - [6].
  • Entre le 11 et le [4] la croix des Alouettes est Ă  nouveau dĂ©truite ainsi que la barrière qui servait de clĂ´ture autour du piĂ©destal, les croix du Bois Roulot, du Bois-du-Verne et du Bois Boulay sont renversĂ©es[7], une tentative a lieu au hameau de Sauvigny[8]. Au Bois-du-Verne une grosse pierre de charbon est lancĂ©e contre une fenĂŞtre d'une maison habitĂ©e par le desservant de la chapelle[5]. Ă€ Blanzy une petite croix placĂ©e au-dessus de la porte d'entrĂ©e d'un pensionnat des sĹ“ur est subtilisĂ©e, un tĂ©moin affirme avoir vu cinq individus attacher et descendre la croix[9].
  • Dans la nuit du au les membres de la Bande noire s'en prennent Ă  une statue de Notre-Dame des mines[4] Ă  Montceau-les-Mines, ils tentent de la faire tomber avec des cordes mais Ă©chouent, puis ils utilisent de la dynamite qui endommage le socle. Ils dĂ©truisent durant la mĂŞme nuit, Ă  Saint-Vallier, la Croix de la Fleur, datant du Moyen Ă‚ge et oĂą se rendaient alors les processions lors des rogations[10]. Un peu plus tard ils s'en prennent Ă  la maison du père Beaubernard ancien conseiller municipal sous l'Empire, sous prĂ©texte qu'il a laissĂ© Ă©riger une statue de la Vierge sur une colline surplombant Montceau-les-Mines, ils brisent des vitres et une palissade et l'obligent Ă  leur remettre une petite somme d'argent[9].
  • Dans la nuit du 14 au , trois croix situĂ©es Ă  Saint-Berain-sous-Sanvignes, Blanzy, et Saint-Vallier sont renversĂ©es, puis brisĂ©es Ă  coup de massues[4].
  • Le , une Ă©meute des sympathisants et membres de la bande noire Ă©clate, deux-cents Ă  cinq-cents mineurs y participent[11]. Une armurerie est pillĂ©e par la bande du Bois-du-Verne et les armes sont redistribuĂ©es aux manifestants. La chapelle du Bois-du-Verne est incendiĂ©e, saccagĂ©e et la rosace de l'entrĂ©e est dĂ©truite par une bombe[12]. Ils pĂ©nètrent dans l'Ă©cole des sĹ“urs oĂą ils cassent des carreaux ainsi que la porte du vestibule. Ils brisent aussi les vitres de plusieurs habitations voisines. Les jours qui suivent plusieurs incidents isolĂ©s se reproduisent : la chapelle du Magny est attaquĂ©e et des coups de feu sont tirĂ©s dans la nuit[2]. Deux-mille soldats sont alors dĂ©ployĂ©s dans la crainte d'une nouvelle Ă©meute et une vingtaine (voir une trentaine[13]) de mineurs sont arrĂŞtĂ©s[14].
  • Entre aoĂ»t et octobre de nombreuses menaces de mort signĂ©es par un « comitĂ© exĂ©cutif rĂ©volutionnaire » sont adressĂ©es Ă  des contremaĂ®tres des mines, au directeur commercial de la tuilerie de Montchanin et Ă  un grand propriĂ©taire terrien Ă  Saint-Vallier. Le une affiche est placardĂ©e, elle est signĂ©e « un chef de la Bande noire » et menace « le voleur Langeron »[15].
  • Le , deux coups de revolvers sont tirĂ©s sur la devanture d'un cordonnier, malgrĂ© qu'aucun motif de reprĂ©sailles valables ne soit trouvĂ©, l'attaque est imputĂ©e Ă  la Bande noire[16].
  • Le plusieurs croix sont dĂ©molies dans les communes de Gourdon et du Mont-Saint-Vincent[17].
  • Le et le , deux croix sont dĂ©truites : une Ă  Sanvignes-les-Mines appartenant Ă  un certain Villedieu et une Ă  Blanzy, propriĂ©tĂ© de la compagnie des mines[18].
  • Le a lieu une tentative d'Ă©meute dans les rues de Blanzy et de Montceau-les-Mines. Une vitre d'une aubergiste est brisĂ©e[19].
  • Dans la nuit du 7 au six croix sont dĂ©truites Ă  Montceau-les-Mines, Saint-Vallier, Sanvignes-les-Mines et Pouilloux[20].
  • Le , une croix appartenant Ă  un mĂ©decin est dĂ©truite Ă  Montceau-les-Mines[18]. Les vitres d'un aubergiste sont brisĂ©es, et des affiches anarchistes placardĂ©es[19].
  • Dans la nuit du 11 au deux charges explosives explosent chez Claude Gardenet contremaĂ®tre Ă  la tuilerie de Saint-Vallier[20], les vitres ainsi qu'une partie de l'escalier sont soufflĂ©es par les explosions. C'est le premier attentat visant directement une personne[18].
  • Le , une croix est dynamitĂ©e Ă  GĂ©nelard[20] - [21]. Au Puits-Sainte-Elisabeth un contremaĂ®tre essuie deux tirs de revolver qui ne l'atteignent pas[22].
  • Dans la nuit du 14 au , une cartouche explose chez la maĂ®tre mineur Jean Saunier mais Ă©pargne le bâtiment, Ă  quelques minutes d'intervalle une autre cartouche explose devant la porte du chef de poste Ducarouge[23].
  • Le , un paquet de 15 cartouches de dynamite est dĂ©couvert cachĂ© près de l'Ă©cole des sĹ“urs de Sanvignes-les-Mines[24].
  • Le , une cartouche explose dans la cour du presbytère de Saint-Vallier et fait voler en Ă©clats les vitres[23].
  • Le , deux cartouches de dynamite explosent, en plein procès des membres de la Bande noire, chez un marqueur de l'usine de la Briquette nommĂ© Martin. Il semblerait toutefois, selon un rapport de gendarmerie, que ce soit le brigadier des gardes de la compagnie, nommĂ© Jeannet, qui Ă©tait la cible et que les cartouches ont Ă©tĂ© placĂ©es chez la mauvaise personne[25].

1883

  • Le , la fenĂŞtre du marqueur Perrin, au Magny, est la cible d'un tir de revolver, la mĂŞme nuit deux croix sont renversĂ©es Ă  Saint-Eusèbe[26].
  • Le , les portes de jardin de trois employĂ©s de la compagnie des mines sont enlevĂ©es, l'une d'elles est jetĂ©e dans la rivière voisine[27].
  • Dans la nuit du 23 au , un bâton de dynamite explose sous la fenĂŞtre du maĂ®tre mineur Saunier, Ă  Montceau-les-Mines[28]. Une autre explosion de poudre comprimĂ©e a lieu devant le magasin d'un Ă©picier[29].
  • Le des coups de feu sont tirĂ©s sous les fenĂŞtres des frères Maristes Ă  Bellevue[28].
  • Le des coups de feu sont tirĂ©s sur le domicile d'un marqueur de la mine nommĂ© BenoĂ®t Perrin[30].
  • Le Ă  Montceau-les-Mines, une explosion de dynamite sous la fenĂŞtre du maĂ®tre mineur Camus cause d'importants dĂ©gâts matĂ©riels[31].
  • Dans la nuit du 7 au , une bombe explose chez un dĂ©nommĂ© Ducarouge causant d'importants dommages[30] - [32].
  • Dans la nuit du 21 au une petite cartouche de dynamite explose chez un mineur nommĂ© Aufort Ă  Montceau-les-Mines, mais le lien avec la mouvance anarchiste n'est pas avĂ©rĂ©[30].
  • Le , une bombe explose chez un mineur nommĂ© MĂ©nager aux Alouettes, l'explosion ne cause aucun dĂ©gât[33].
  • Les , et dans le village de Bel-Air, l'ingĂ©nieur Michalowski qui avait acceptĂ© de faire une expertise d'explosions suspectes pour le compte du parquet de Charolles en voit sa chambre Ă  coucher dynamitĂ©e 3 fois, mais il y Ă©chappe Ă  chaque fois[34] - [35].
  • Le , le directeur de la tuilerie de Saint-Pierre est la cible de menaces, le garde particulier de la tuilerie voit deux de ses vitres, ainsi qu'une cloison et un placard endommagĂ© par une grosse pierre. Trois ouvriers des mines sont le mĂŞme jour tabassĂ©s par sept ou huit individus[36].

1884

  • Le , cinq cartouches explosent chez un dĂ©nommĂ© Philippe Bois dans le hameau du Bois-du-Leu Ă  Sanvignes-les-Mines et font des dĂ©gâts matĂ©riels mais sans qu'on puisse relier ça Ă  la mouvance anarchiste[37].
  • Le , 45 kg d'explosif et 210 m de mèche sont dĂ©robĂ©s Ă  Perrecy-les-Forges[38].
  • Le la maison de l’ingĂ©nieur Louis Chevalier, second du Directeur des mines de Perrecy-les-Forges est dynamitĂ©e par l'emploi de soixante cartouches, il est lĂ©gèrement blessĂ©, mais son Ă©pouse est grièvement blessĂ©e Ă  la tĂŞte. Les dĂ©gâts sont Ă©normes[39].
  • Dans la nuit du 14 au , la maison du maire de Sanvignes-les-Mines, François Grelin, est prise pour cible, une bouteille contenant des explosifs et des balles de plomb est lancĂ©e Ă  travers une porte vitrĂ©e[40].
  • Dans la nuit du 15 au , dans le quartier du Bois du Leu dans la commune de Sanvignes-les-Mines une cartouche placĂ©e dans le trou de vidange d'un Ă©vier explose dans la maison d'un ouvrier boiseur accusĂ© d'avoir eu « la langue trop longue »[40].
  • Le , six cartouches de dynamite sont dĂ©posĂ©es en bas de la Croix de mission du Magny, la mèche s'Ă©teint avant d'avoir communiquĂ© le feu Ă  l'explosif[41].
  • Le , des cartouches de dynamite sont Ă  nouveau dĂ©posĂ©es en bas de la Croix du Magny, mais la mèche fait long feu peu après l'allumage. Dans le mĂŞme temps de nombreuses menaces de mort sont reçues, notamment par le maire de Blanzy[42] - [43].
  • Le , une charge de dynamite est placĂ©e contre la chapelle du Magny, l'explosion dĂ©truit la porte ainsi que des chaises et des vitres[41].
  • Le , attentat contre la maison d'un contremaĂ®tre Ă  l'usine de produits cĂ©ramiques de Ciry-le-Noble dans cette mĂŞme commune[44]. La mĂŞme journĂ©e la Croix du Magny est la cible d'un nouvel attentat, la deuxième marche est brisĂ©e mais la croix rĂ©siste[41].
  • Le , une charge explose contre la demeure d'un garde-chasse personnel de M. Chagot, Ă  Sanvignes-les-Mines. L'explosion dĂ©truit une porte et brise soixante-deux vitres dans le voisinage[41].
  • Dans la nuit du 1er au , attentat contre une Ă©picerie tenue par un contremaĂ®tre de l'usine de produits cĂ©ramiques Ă  Ciry-le-Noble. Les dĂ©gâts sont considĂ©rables[45].
  • Le , la maison du marqueur Etienney Ă  Montceau-les-Mines est la cible d'une tentative d'attentat, la mèche est Ă©teinte par un voisin[46].
  • Le , un tube en fer rempli de dynamite est retrouvĂ© sur le seuil de la chapelle du Magny, la mèche s'est Ă©teinte avant l'explosion[47].
  • le , nouvelle tentative de dynamitage contre la maison du marqueur Etienney, mais un piège est montĂ© dans le mĂŞme temps par la gendarmerie et un informateur. La personne, nommĂ©e Gueslaff, censĂ©e poser la bombe tire alors sur deux gendarmes et sur le marĂ©chal des logis qui sont tous les trois grièvement blessĂ©s[46].

1885

  • En janvier, un paquet de poudre accompagnĂ© d'une mèche qui n'a pas brĂ»lĂ© est retrouvĂ©e contre un rĂ©servoir d'huile de schiste dans une usine au lieu-dit de Le Ruet dans le hameau de La Comaille, la Bande noire est accusĂ©e[48].
  • Le , attentat contre les bureaux de la tuilerie de Montchanin, les dĂ©gâts sont lĂ©gers[49].
  • Le , une charge explose dans la cour du presbytère Ă  Sanvignes-les-Mines[49].
  • Le , une religieuse en charge de l'Ă©cole de la tuilerie Ă  Montchanin dĂ©couvre un engin explosif qui ne cause qu'une petite dĂ©tonation[49].
  • Le , une cartouche de dynamite explose Ă  Perrecy-les-Forges, sans causer de dĂ©gâts[49].
  • Le , une nouvelle explosion a lieu dans la cour du presbytère Ă  Sanvignes-les-Mines, les dĂ©gâts sont matĂ©riels[50] - [51].
  • Le , une cartouche explose au domicile d'Anne Vannier, Ă©pouse du mouchard Brenin. C'est le dernier attentat connu des Bandes noires[52].

Bibliographie et sources

  • R. Beaubernard, Montceau-les-Mines. Un « laboratoire social » au XIXe siècle, coll « Pierre Ă©crite », Ă©ditions de Civry, Avallon, 1981, 316 p.
  • Guillot, Il y a cent ans les attentats anarchistes Ă  Montceau-les-Mines dans Revue de la Police nationale/113, p. 47-50, .
  • Emmanuel Germain, La Bande Noire : sociĂ©tĂ© secrète, mouvement ouvrier et anarchisme en SaĂ´ne-et-Loire (1878-1887), revue Ă©lectronique Dissidences, no 3, printemps 2012, [lire en ligne].
  • Yves Meunier, La Bande noire - Propagande par le fait dans le bassin minier (1878-1885), L'ÉchappĂ©e,

Notes et références

  1. Meunier 2017, p. 27.
  2. R.Beaubernard, Montceau-les-Mines : Un "laboratoire social" au XIXe siècle, p. 132
  3. Meunier 2017, p. 42-43.
  4. « L'Univers », sur retronews.fr,
  5. « Les troubles de Montceau-les-Mines », sur retronews.fr, Le Progrès de la Côte-d’Or,
  6. « Courrier de Saône-et-Loire », sur retronews.fr, Courrier de Saône-et-Loire,
  7. « Gazette nationale ou le Moniteur universel », sur Retronews.fr,
  8. « Ephéméride Anarchiste lettre A », sur ephemanar.net (consulté le ).
  9. Meunier 2017, p. 45.
  10. R. Beaubernard, Montceau-les-Mines. Un « laboratoire social » au XIXe siècle, , p. 136
  11. Meunier 2017, p. 51.
  12. Jean-Baptiste Dumay, Pierre Ponsot, MĂ©moires d'un militant ouvrier du Creusot, 1841-1905 p. 368, 1976
  13. « Courrier de Saône-et-Loire 28 août 1882 », sur RetroNews - Le site de presse de la BnF (consulté le )
  14. La Bande noire, Propagande par le fait dans le bassin minier (1878-1885), p. 53
  15. Meunier 2017, p. 65-66.
  16. « Mémorial de la Loire et de la Haute-Loire », sur retronews.fr,
  17. « L'Evénement », sur retronews.fr,
  18. Meunier 2017, p. 66.
  19. « Le Constitutionnel », sur retronews.fr,
  20. « L'univers », sur retronews.fr,
  21. « La liberté », sur retronews.fr,
  22. « Courrier du Berry », sur retronews.fr,
  23. Meunier 2017, p. 67.
  24. Yves Meunier, La Bande noire - Propagande par le fait dans le bassin minier (1878-1885), , p. 67
  25. Meunier 2017, p. 176.
  26. « Courrier de Saône-et-Loire », sur retronews.fr,
  27. « Les anarchistes en France », sur retronews.fr, L’Espérance,
  28. « Le Français », sur retronews.fr,
  29. « L'Espérance », sur retronews.fr,
  30. Meunier 2017, p. 96.
  31. « Le Temps », sur retronews.fr,
  32. « Journal de la ville de Saint-Quentin et de l’arrondissement », sur retronews.fr,
  33. Meunier 2017, p. 101-102.
  34. Germain, Emmanuel, « La Bande Noire : société secrète, mouvement ouvrier et anarchisme e... », sur bourgogne.fr, Dissidences, (ISSN 2118-6057, consulté le ).
  35. « Courrier de Saône-et-Loire », sur retronews.fr, Courrier de Saône-et-Loire,
  36. « Agression nocturne », sur retronews.fr, Courrier de Saône-et-Loire,
  37. Meunier 2017, p. 104.
  38. « Courrier de Saône-et-Loire », sur retronews.fr, Courrier de Saône-et-Loire
  39. Corinne Krouck, professeur d’histoire, Louis_Chevallier-1860-1952, sur entreprises-coloniales.fr, consulté le 4/09/2019
  40. Meunier 2017, p. 108.
  41. Meunier 2017, p. 112.
  42. « La Croix », sur retronews.fr, La Croix,
  43. « Encore la Bande Noire », sur retronews.fr, Journal de la ville de Saint-Quentin et de l’arrondissement
  44. « Courrier de Saône-et-Loire », sur Retronews,
  45. Meunier 2017, p. 110.
  46. Meunier 2017, p. 135.
  47. « Courrier de Saône-et-Loire », sur retronews.fr, Courrier de Saône-et-Loire,
  48. « L’Avenir des Hautes-Pyrénées », sur retronews.fr, L’Avenir des Hautes-Pyrénées,
  49. Meunier 2017, p. 150.
  50. « Le Français », sur retronews.fr,
  51. « la Gazette », sur retronews.fr,
  52. Meunier 2017, p. 157.
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