Christian Violy
Christian Violy est un poète québécois, né le 3 décembre 1971 au Québec.
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Biographie
Christian Violy a fait ses études à l’Université Laval (Québec), où il a obtenu un baccalauréat en littérature d’expression française en 1996 et une maîtrise en littérature québécoise en 1999[1]. Coordonnateur à la Division de l’éducation permanente au Collège universitaire de Saint-Boniface[2], il a également œuvré comme chargé de cours au Campus Saint-Jean (Université de l'Alberta) et adjoint aux programmes – services techniques et créatifs à la Direction de l’éducation française (Alberta Education).
Il a remporté l'un des Grands prix des saisons littéraires (catégorie « essai ») par Guérin éditeur en 1996 pour une œuvre intitulée Du rire à l’enchantement – d'après l'œuvre de Francis Jammes.[3] Il a également participé à plusieurs soirées littéraires, dont le Winnipeg International Writers Festival (2000 et 2007), le Festival international de la poésie de Trois-Rivières (2002) et le Marché francophone de la poésie de Montréal (2006)[4].
Dans sa poésie, Christian Violy met en scène des situations souvent tabous et donne à lire une poésie engagée qui dénonce les abus subis par son entourage[5]. Sa poésie canalise le désespoir pour mieux le plonger dans un recueillement salvateur[6].
Publications
- Les silences immobiles, Éditions des Plaines, 2000.
- Avant la chute, Éditions des Plaines, 2002.
- Exaucée, Éditions des Plaines, 2007.
Notes et références
- Sophie Roch, « La poésie taboue », La liberté, 28 novembre 2002, p.20.
- Sophie Desruisseaux, « Vive les mots de tête! », La liberté, 23 janvier 2008, p.13.
- https://ustboniface.ca/cvioly/page.aspx?pid=6612
- Paul Ruban, « Christian Violy à Trois-Rivières », La liberté, 7 octobre 2009, p.21.
- Sophie Desruisseaux, « Une autre perspective », La liberté, 21 novembre 2007, p.14.
- Jennyfer Collin, « Autour de la relève franco-manitobain », La liberté, 3 mai 2006, p. 16.