Château de Piolant
Le château de Piolant est situé sur la commune de Dangé-Saint-Romain, dans le département de la Vienne.
| Château de Piolant | ||||
| Fin construction | XIXe siècle | |||
|---|---|---|---|---|
| Propriétaire initial | Famille d'Aviau | |||
| Destination initiale | Résidence seigneuriale | |||
| Propriétaire actuel | Privé | |||
| Coordonnées | 46° 54′ 38″ nord, 0° 36′ 30″ est | |||
| Pays |  France |
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| Région | Nouvelle-Aquitaine | |||
| Département | Vienne | |||
| Commune | Dangé-Saint-Romain | |||
| Géolocalisation sur la carte : Vienne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : France
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| Site web | http://www.chateau-piolant.com | |||
Historique
Le domaine appartient au XVIe siècle à François d'Aviau qui épouse une espagnole, Marie de Ceppede, de la lignée de sainte Thérèse d'Avila. Le , Louise d'Aviau de Piolant, fille aînée de Louis d'Aviau, seigneur de Piolant, épouse Jean d'Armagnac, gouverneur de Châtellerault, qui devient seigneur de Piolant[1].
Le château est construit au XVIIe siècle sur un manoir ruiné, dont une ancienne tourelle sur la façade nord subsiste.
Balzac y trouve refuge en 1828, chez Raoul Cassin de Kainlys.
En 1914, le domaine passe au baron de Ravignan, propriétaire des éditions Mame. Il devient par la suite la propriété du général de Gallet et de la comtesse de Mascureau.
L'Union nationale des Maisons familiales rurales l'acquiert en 1960, pour y installer le Centre nationale de formation de monitrices rurales, puis le Centre de promotion sociale de Piolant et le Centre régional de formation de Piolant. Il redevient en 2003 une demeure privée.
Notes et références
- Alfred Barbier, « Jean II d'Armagnac, gouverneur de Loudun, et Urbain Grandier (1617-1635) », Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest, série II, t. 8, 1885, p. 183 et suiv. (en ligne). Sur le château de Piolant, voir p. 230.