Accueil🇫🇷Chercher

Centre national de recherche agronomique

Le Centre national de recherche agronomique (CNRA), est un centre de recherche agronomique ivoirien, fondé en avril 1998 par la fusion de plusieurs instituts de recherche agronomique spécialisés, notamment de l’IDESSA (Institut des savanes), l’IDEFOR (Institut des forêts) et du CIRT (Centre ivoirien de recherche technologique)[1]. Son directeur général est Abdourahamane Sangaré. Son siège est situé à Abidjan. Le CNRA, dont le statut juridique est celui d'une société anonyme à participation financière publique, assure un service public de recherche avec une gestion de type privé. Le capital social, de 500 millions de francs CFA, est détenu pour 60 % par l'État de Côte d'Ivoire et pour 40 % par les opérateurs agricoles et agro-industriels opérant en Côte d'Ivoire[2].

Centre national de recherche agronomique
Histoire
Fondation
Cadre
Sigle
CNRA
Type
Siège
Pays
Organisation
Site web

Principalement en Côte d’Ivoire et en tous pays, le CNRA place au cœur de ses actions, l’accroissement de façon durable de la production et de la productivité dans les domaines agricole et agro-industriel par des recherches sur les productions végétales, animales et forestières, les systèmes de production, les méthodes de conservation et de transformation, ainsi que par l’adaptation des innovations technologiques en milieu rural ; le transfert des acquis scientifiques et techniques auprès des opérateurs publics ou privés, locaux ou extérieurs et la valorisation de l’expertise des ressources humaines auprès des opérateurs publics ou privés, locaux ou extérieurs.

Le CNRA dispose de plusieurs stations de recherche sur l'ensemble du territoire ivoirien, à Abidjan, Bouaké, Gagnoa, Korhogo et Man[3].

Partenariats

Le CNRA a mené des recherches en partenariat avec l’IRD et le CIRAD sur les plantes cultivées africaines telles que le café, igname, sorgho, riz, mil, fonio[3].

Notes et références

Liens externes

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.