Accueil🇫🇷Chercher

CORPAC

La Société Péruvienne des Aéroports et de l'Aviation Civile (CORPAC) (en espagnol : Corporación Peruana de Aeropuertos y Aviación Comercial) est une société de gestion d'infrastructure aéroportuaire qui exploite les aéroports péruviens.

Corporación Peruana de Aeropuertos y Aviación Comercial
logo de CORPAC

Création 25 juin 1943
Siège social Lima
Drapeau du Pérou Pérou
Activité Transport aérien
Produits Services et gestion aéroportuaire
Site web www.corpac.gob.pe

Histoire

La Corporación Peruana de Aeropuertos y Aviación Comercial est fondée le 25 juin 1943 comme entreprise d'État (décret législatif n° 99 - Loi CORPAC S.A) par le gouvernement de Manuel Prado Ugarteche[1].

Le 30 décembre 1965, le CORPAC inaugure l'ouverture de l'aéroport international Jorge-Chávez[1].

En 1981, l'entreprise ouvre son capital au secteur privé[1].

Le 14 février 2001, la CORPAC perd la gestion de l'aéroport international Jorge-Chávez. Entre 2006 et 2008, la CORPAC perd la gestion d'une dizaine d'aéroports : Tumbes, Talara, Chachapoyas, Tarapoto, Iquitos, Pucallpa, Anta-Huaraz, Trujill, Cajamarca, Pisco, Chiclayo et Piura[1].

En février 2014, des soupçons de détournements sur le budget de 44 millions de sols péruviens (13 millions d'euros) destiné à la construction de la nouvelle maison-mère de la CORPAC mobilisent la justice financière du pays[2]. Le 30 octobre 2015, le gouverneur de la région de Callao Félix Moreno et 16 autres personnes sont condamnées à 11 ans de prison pour collusion dans la conduite du projet de construction[3].

Références

  1. (es) « Nuestra historia », sur Corpac.gob.pe (consulté le )
  2. (es) « Corpac: hallan indicios de corrupción en construcción de sede », sur Elcomercio.pe, (consulté le )
  3. (es) « Fiscalía pidió 11 años de cárcel para Félix Moreno por construcción inconclusa de sede de Corpac », sur Peru21.pe, (consulté le )

Voir aussi

Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.