Bureaucratie, l'utopie des règles

Sous le titre The Utopia of Rules : On Technology, Stupidity, and the Secret Joys of Bureaucracy est publié par Melville House Publishing en 2015.

• Éric Aeschimann, évoque dans L'Obs, « une réflexion passionnante, qui s’ouvre par un récit à la première personne, où Graeber raconte sa propre rencontre avec le Léviathan bureaucratique »[1].

• Pour le quotidien Libération, l'auteur « analyse comment la société libérale, plus que les sociétés socialistes, produit procédures, formulaires et règlements. Une «utopie bureaucratique» mise en place par les puissants pour leurs seuls profits, et mettant fin au développement technologique. »[2]

• Sasha Mitchell, David Graeber, l'indigné qui s'attaque à la bureaucratie libérale, Politis, 8 octobre 2015, [lire en ligne].

• Margherita Nasi, Haro sur la bureaucratisation totale, Le Monde, 4 décembre 2015, [lire en ligne].

• Christophe Alix, Anastasia Vécrin, David Graeber : « La bureaucratie permet au capitalisme de s’enrichir sans fin », Libération, 16 octobre 2015, [lire en ligne].

• Éric Aeschimann, À quoi sert la paperasse ?, L'Obs, 11 octobre 2015, [lire en ligne].

• Agnès Rousseaux, Rachel Knaebel, David Graeber : « Le néolibéralisme nous a fait entrer dans l’ère de la bureaucratie totale », Basta !, 19 octobre 2015, [lire en ligne].

• Thibault Le Texier, Bureaucratie, l'utopie des règles, OpenEdition Journals, 15 septembre 2016, [lire en ligne].

• (en) Tomas Hachard, Please Fill In This Form In Triplicate Before You Read « Utopia Of Rules », National Public Radio, 28 février 2015, [lire en ligne].